ENOA recommandé par les startuppers

Le 18/07/2017 – Tribune d’Emilie Roman, co-fondatrice & directrice associée d’Enoa RH Consulting
Aujourd’hui, les recruteurs accordent de plus en plus d’importance aux qualités humaines. Pour être Avec l’arrivée sur le marché du travail des Millenials – ou Génération Z –, la tendance s’intensifie encore : le salaire et/ou le titre ne suffisent plus à convaincre les talents de rejoindre une entreprise et, surtout, d’y rester. Aujourd’hui, ces jeunes collaborateurs, qui constitueront une bonne partie des effectifs de demain, font passer les convictions avant les profits, que cela soit dans leur vie personnelle ou vis-à-vis de leur employeur.
Quoi : montrer l’entreprise sous son plus beau jour
L’entreprise doit redoubler d’effort pour capter le lien, attirer, fédérer, fidéliser les jeunes générations zapping – deux tiers des salariés issus. Lire la suite de l’article
“Stratégies”
Capacité d’écoute, créativité, adaptabilité, convivialité… Les qualités comportementales seraient-elles garantes du succès professionnel ? Statistiquement, oui. C’est ce que montre l’étude menée en 2014 par le cabinet en transition de carrière Oasys Consultants auprès d’une centaine de cabinets de recrutement. 94% des consultants interrogés ont déclaré que la personnalité était le deuxième critère le plus important pour leurs clients, après l’expérience métier. Les « soft skills », littéralement « compétences douces », sont ainsi devenues capitales aux yeux des recruteurs. Lesquels, d’après le baromètre 2017 du moteur de recherche d’offres d’emploi en ligne Adzuna, rechercheraient en priorité la rigueur, l’autonomie et le dynamisme… Lire la suite de l’article
“Webzine Emploi Parlons Net”
Les mots clés de la fiche de poste incluaient ainsi des termes comme “paie”, “formation”, “mobilité”, “élections”, et d’autres plus douloureux comme “PSE”, “licenciements”, “Prud’hommes”…
Ces dernières années, cependant, ont connu de telles évolutions, à tant de niveaux – économique, législatif, sociétal, technologique… –, qu’elles ont profondément impacté à la fois le champ des possibles des initiatives RH et les responsabilités inhérentes au métier.
Transformation digitale, renforcement de la responsabilité sociale et environnementale, renforcement de la concurrence, recherche toujours plus poussée de performance : voici les nouvelles notions que les professionnels des ressources humaines doivent désormais prendre en considération et intégrer dans leur quotidien… Lire la suite de l’article
“FocusRH”
BRUNO ASKENAZI Le 17/05 à 07:00
Embaucher un premier salarié est une opération délicate. Pour éviter les déconvenues, voici les principaux pièges à éviter.
Le premier recrutement fait souvent peur aux entrepreneurs. Surtout lorsqu’il s’agit d’un poste stratégique. Se tromper dans le choix d’un responsable commercial ou d’un développeur Web peut être mettre toute la société en péril. Pour ne rien arranger, la tête dans le guidon et focalisé sur le développement du business, l’entrepreneur a trop tendance à expédier le processus de recrutement. L’erreur est répandue, mais ce n’est pas la seule. Elsa Brager, associée fondatrice du cabinet conseil en RH Enoa RH consulting, décrypte les principales erreurs à ne surtout pas commettre au moment de recruter son premier salarié.
Cela peut paraître abstrait mais ne pas avoir réfléchi sur ses valeurs avant de recruter est une belle et magistrale erreur. Celle qui pourrait vous coûter le plus cher ! Pour Elsa Brager, « il faut que ces valeurs, ce qui résume l’histoire de l’entreprise, sa vision, ses convictions, soient le fil conducteur du recrutement ». Pourquoi ? D’abord parce que le candidat veut savoir où il met les pieds. Ensuite, parce que raconter ses valeurs est une façon de donner envie au candidat de participer à l’aventure. Un point capital pour convaincre des profils ultra sollicités.
Exemples de valeurs à mettre en avant : la bienveillance, l’engagement, l’innovation, l’esprit collaboratif… Dans une entreprise comme BlablaCar par exemple, on les résume par des slogans affichés sur les murs des Open Spaces comme « Déjà fait est mieux que parfait » ou bien « L’utilisateur est le vrai patron ».
Définir un profil à recruter ne suffit pas. En amont, beaucoup d’entreprises oublient de se pencher de manière précise sur les missions confiées au nouvel arrivant et de les hiérarchiser. Même s’il faut garder une certaine souplesse dans son approche, il convient d’être précis sur la définition des missions. Sinon la personne recrutée ne comprendra pas qu’on lui confie des taches dont on ne lui a jamais parlées. Et au final, c’est le clash assuré … Lire la suite de l’article
“Les Échos Entrepreneurs”
Chronique de Céline Mochino – 15/01/17 13:19
Les plateformes numériques de mise en relation “à la Uber” n’épargnent pas le secteur du recrutement. Ces dernières années ont en effet vu fleurir de nombreux services pour recruter autrement : aux banques de CV en ligne et réseaux sociaux, succèdent désormais de nombreuses solutions digitales.
L’arrivée sur le marché de l’emploi de la génération Y, et plus récemment de la génération Z, n’est pas non plus anodine dans l’émergence de ces nouveaux services. Ces hyperconnectés attendent des processus de recrutement qu’ils soient à l’image de leur quotidien : simples, mobiles et digitaux. Chercher un emploi sur son smartphone est désormais une évidence pour beaucoup, et les entreprises s’adaptent.
Prisés à la fois des entreprises et des candidats, ces outils numériques qui promettent des recrutements en direct, plus rapides et à moindre coût, sont-ils en passe de signer l’arrêt de mort des cabinets de conseil en recrutement ? … Lire la suite de l’article
” journaldunet.com”
« Les start-up qui connaissent de forts taux de croissance doivent anticiper et planifier les prochaines étapes et recrutements à venir dans chacune de leurs équipes », conseille Elsa Brager, fondatrice d’Enoa RH en charge de l’accompagnement des start-up. Si les fondateurs doivent souvent recruter dans l’urgence, ils restent très exigeants. L’entreprise Tradelab, qui propose de l’achat d’espace en temps réel, est passée de 30 personne en 2013 à 120 aujourd’hui, avec 5 bureaux à l’international. Avec de nouveaux arrivants chaque semaine, elle prévoit d’en recruter encore 100 cette année. La start-up a connu (selon les calculs de Deloitte) 840% de croissance depuis 2011, soit plus de 100% par an. « Gérer la croissance, c’est conserver notre démarche et notre dynamique de départ, même en doublant d’effectifs chaque année », témoigne Yohann Dupasquier, CEO et cofondateur de Tradelab. La clé, la vision. « Il faut avoir des objectifs carrés et savoir où l’on veut aller. » … Lire la suite de l’article
“Les Echos.fr”
France Inter | vendredi 17 février 2017 à 6h00
LinkedIn, Viadeo, Twitter et désormais Facebook. Les recherches d’emploi ne se font plus toujours auprès des institutions en déposant des CV mais aussi grâce aux clics sur les réseaux sociaux. Si leur efficacité n’est pas prouvée, les recruteurs en usent de plus en plus, d’après l’Association pour l’emploi des cadres (Apec). Selon l’organisation, un tiers des recruteurs utilisaient les réseaux sociaux en juin 2016. Selon Bond, une entreprise spécialisée dans les solutions de recrutement, LinkedIn était le plus utilisé à 79 %, suivi de Facebook à 26 % et Twitter à 14 % (chiffres de 2016)… Lire la suite de l’article et écouter les explications de Céline Mochino et Géraldine Rieucau au micro de Manuel Ruffez
“franceinter.fr”
|02 décembre 2016, 9h54
Chez eux, rendez-vous est pris demain. Le groupe Keyrus, cabinet spécialisé dans la data, le digital et le conseil en management et transformation des entreprises, organise ce 29 novembre un « afterwork » à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) afin de recruter de nouveaux talents dans le domaine du numérique. A pourvoir : des postes de chefs de projet, développeurs, responsables CRM et autres ingénieurs JAVA J2EE. « Malgré un plan de recrutement de 300 personnes sur 2016, nous avons encore de nouveaux besoins générés par des projets supplémentaires, résume Rebecca Meimoun, la directrice des ressources humaines. Pour capter ces profils en pénurie, nous organisons plusieurs fois par an des sessions de speed recruiting. » Entre deux entretiens, les candidats pourront échanger de façon informelle avec des opérationnels autour d’un verre ou d’activités ludiques. « C’est plus agréable pour les participants, une façon de développer notre marque employeur, et aussi l’occasion, pour nous, d’élargir nos horizons vers des candidats peut-être plus atypiques… » Lire la suite de l’article
“leparisien.fr”
Elsa Brager |27 décembre 2016
Ses yeux bleus perçants, rehaussés par son pull à col roulé gris, ne regardent pas seulement l’interlocuteur avec intensité. C’est la réalité qu’Elsa Brager, 39 ans, observe. Celle des affaires et du recrutement dans les entreprises, puisqu’elle a rejoint, en 2012, un cabinet spécialisé RH en cours de création, sans oublier l’évolution des mentalités, en particulier chez les jeunes candidats. S’ils aspiraient, il y a quelques années encore, à rejoindre un groupe pour y faire une carrière toute tracée, voire à être fonctionnaires, « nombreux sont ceux aujourd’hui qui ont envie de sortir de leur zone de confort et de participer à une aventure », dit-elle.
Comme elle, en somme. Après des études de droit (droit des affaires, droit privé puis droit de la presse), elle fait d’abord des chroniques juridiques sur RTL, puis une étude marketing pour le Midi Libre, qui cherche à comprendre pourquoi les annonceurs, principalement des entreprises locales, rechignent à acheter de l’espace publicitaire. « J’ai adoré aller au contact des entreprises et comprendre leur histoire », se souvient-elle. C’est à cette époque qu’elle a un premier déclic : elle a la fibre commerciale, et qui plus, entrepreneuriale. Elsa Brager rejoint, dans les années 2000, une petite agence de communication, Concept Image. « J’ai vraiment participé à l’aventure – et à la croissance de l’entreprise », souligne-t-elle. En quatre ans, le nombre de salariés, une poignée à son arrivée, est passé à 40. Et comme les nouveaux candidats actuels, elle avait elle aussi quitté sa zone de confort – et un CDI pour, au départ, un statut précaire, assorti d’une baisse de salaire… C’est cette culture de prise de risques qu’elle cherche aussi bien à développer parmi ses clients actuels (une quarantaine) et les candidats qu’elle approche… Lire la suite de l’article
“bpifrance.fr”
Elsa Brager | 22/12/2016 07:00
On lit beaucoup de choses sur la bienveillance au travail. Si le fait de remettre l’humain au centre des relations et d’instaurer un climat engageant de confiance semble être une tendance qui fait son chemin dans l’entreprise, il ne faut pas oublier que ces relations débutent bien avant, dès le processus de recrutement.
La bienveillance améliore en effet l’engagement et la motivation, et également la marque employeur. L’entreprise n’est pour autant pas la seule à devoir adopter cet état d’esprit. Ce sont toutes les parties prenantes du recrutement qui sont concernées, y compris les candidats. Et dans cette équation, le cabinet de recrutement joue un rôle central. Il est le garant du respect des règles de bienveillance à chaque étape du processus d’embauche, celui par lequel un cercle vertueux se crée et se perpétue… Lire la suite de l’article
“huffingtonpost.fr”
La Rédac’ | 09/04/2014
Consultantes RH, Emilie et Céline veulent repenser le recrutement et insister sur sa dimension humaine. A l’inverse des grands cabinets aux équipes pyramidales, multipliant entretiens et rencontres avec plusieurs interlocuteurs différents, ENOA s’appuie sur son expertise métier et suit ses candidats tout au long du processus de recrutement.
« Le recrutement n’est pas une science exacte et nos clients recherchent des profils toujours plus spécialisés », précisent-elles. Pour répondre à ces exigences, ce trio anti-conventionnela ouvert un cabinet à taille humaine depuis plus d’un an, où elles pratiquent « l’anti-clonage » et s’attachent à mieux comprendre les envies des candidats, comme des recruteurs.
ENOA instaure une relation basée sur la transparence et l’honnêteté en cherchant avant tout à s’imprégner de la culture et de la réalité économique des entreprises, pour leur présenter le bon candidat. Elsa apporte sa touche digitale en développant les « focus » sur les candidats et en fédérant sur les réseaux sociaux. « Mais rien ne remplace le vrai contact », concluent en cœur les fondatrices d’ENOA… Lire la suite de l’article
“lebonbon.fr”