Découvertes

Clitty & le tiers-payant menstruel

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Rencontre avec Elodie Placide, fondatrice de Clitty, une marque de serviettes hygiéniques et de culottes menstruelles bio qui propose aussi des ateliers de sensibilisation aux écoles et entreprises

 

Chez Enoa (cabinet recrutement digital paris), on est particulièrement sensibles sur le sujet des règles au travail et on a voulu en savoir un peu plus sur ce concept de “tiers payant menstruel”.

Hello Elodie, peux-tu nous en dire un peu plus sur ton parcours ? Pourquoi t’être lancée dans Clitty ? Quel a été l’élément déclencheur ? 

Originaire de Martinique, le début de l’histoire, c’est mon parcours avec l’endométriose. J’ai mis du temps à être diagnostiquée. Alors que je souffrais de mes menstruations depuis l’âge de 12 ans, ce n’est qu’à l’âge de 20 ans que j’ai enfin obtenu un diagnostic. J’ai été traitée avec des hormones, mais cela n’a pas aussi bien fonctionné que ce que j’aurais pu espérer.

Quand je suis partie en France hexagonale pour mes études, j’étais inquiète à l’idée de gérer mes problèmes de règles, en plus des études et j’ai souvent raté des cours à la Fac. J’ai consulté plusieurs médecins pour trouver un traitement efficace.  L’impact psychologique de cette maladie est énorme. C’est alors que j’ai commencé à me renseigner sur l’endométriose – j’ai contacté l’Association Endo France. Via cette asso, j’ai réussi à trouver un gynécologue en qui j’avais confiance et qui m’a accompagné sur l’opération. En parallèle, j’ai poursuivi mes études : après une licence d’anglais, je me suis dirigée vers la communication. Lorsque je suis entrée en Master Communication, j’ai dû créer un business plan pour une entreprise fictive, à la place de mon mémoire. C’est alors que j’ai eu l’idée de créer Clitty, une entreprise proposant des produits et des services pour aider les femmes à gérer leurs problèmes de règles, sans perturbateurs endocriniens.

Concrètement, Clitty c’est quoi à la base ? 

Le projet Clitty débute en B2C avec l’idée de commercialiser des serviettes hygiéniques lavables. Je voulais créer un produit abordable pour les femmes qui préfèrent les serviettes réutilisables ou les culottes menstruelles aux moyens de protection industriels souvent nocifs pour la santé. J’ai commencé par la phase de prototypage avec mon atelier, et j’ai travaillé dessus pendant un an. En novembre 2021, j’ai lancé mon produit sur le marché. Au départ, j’étais seule sur ce projet, mais j’ai été accompagnée par des incubateurs pour me guider dans mes démarches. Aujourd’hui, je réfléchis à la possibilité de recruter de nouvelles personnes pour m’aider à développer mon entreprise.

Depuis, le business modèle a évolué vers du B2B2C car je propose aussi des ateliers de sensibilisation en entreprise.

Mon objectif est de positionner Clitty comme une référence dans le domaine de la gestion des règles, en proposant des produits et des services de qualité tout en sensibilisant le public à l’importance de prendre soin de sa santé menstruelle.

Peux-tu nous en dire un peu plus sur ton système de production ? 

Je travaille avec un atelier basé dans la région lyonnaise pour la fabrication des produits Clitty. Nous avons à cœur de travailler avec des fournisseurs en circuit court et de privilégier les matières premières locales autant que possible. Pour nos serviettes hygiéniques, nous utilisons du coton biologique certifié GOTS, et pour nos culottes, nous utilisons du modal, une matière très douce au toucher. Vous pouvez acheter nos produits principalement en ligne, mais nous avons également quelques revendeurs tels que Le Tiroir à Culotte ou encore une marketplace aux Antilles.

Comment t’est venue l’idée de faire du B2B2C ? – Qu’est-ce que tu appelles le “tiers-payant menstruel” ? 

Je suis convaincue de l’importance de rendre les produits d’hygiène menstruelle réutilisables, accessibles à toutes les femmes. Bien que j’aie fait de mon mieux pour rendre mes produits abordables, je sais que le passage aux produits réutilisables de qualité peut être un vrai budget pour certaines femmes. C’est pourquoi j’ai décidé de proposer un concept de tiers-payant menstruel pour que les entreprises puissent offrir ces produits à leurs employées sans qu’elles aient à dépenser de l’argent de leur poche. En parallèle, je suis convaincue de l’importance de sensibiliser les collaborateurs à l’hygiène menstruelle et aux problèmes associés (pathologies gynécologiques) que peuvent rencontrer les salariées au quotidien, au travail. Mais aussi sur la mise en place d’actions en entreprise comme le congé menstruel.

Par exemple, le pack onboarding quand on arrive dans son entreprise. On fournit bien des gourdes, des stylos, etc, donc pourquoi pas une serviette réutilisable ?

Si l’entreprise est capable de payer des séances de sport pour le bien-être de ses salariés, cela fonctionne aussi pour les produits menstruels de qualité ou des ateliers de sensibilisation.

J’ai donc commencé à animer des ateliers de sensibilisation et je souhaite désormais développer cette initiative en proposant des conférences et des tables rondes, pour sensibiliser les managers et les employés. Pendant ces ateliers je fournis à l’entreprise des pack de serviettes pour chaque participant à l’atelier. Je crois également que cette approche peut s’appliquer à d’autres milieux, tels que les associations et organisations publiques, pour co-créer des solutions sur mesure adaptées aux besoins spécifiques de chacune.

Des ateliers de sensibilisation sur les menstruations, c’est possible ? Quels sont les différents formats d’atelier proposés ? 

En entreprise, nous proposons des ateliers pour une vingtaine de collaborateurs (managers et salariés) sur des formats d’1h30.

Bien sûr nous déclinons et adaptons aux besoins de l’entreprise (webinaires, conférences, tables rondes …). Et pourquoi pas de nouveaux formats demain ;)

En parallèle, Clitty est distributeur pour des écoles ou espaces de formation, pour aller plus loin sur la sensibilisation des solutions écologiques mais aussi meilleures pour la santé.

L’idée c’est d’accompagner ces acteurs à repenser le système et la santé pour réussir à faire quelque chose de plus égalitaire.

A qui s’adressent ces ateliers de sensibilisation ? Des clients déjà conquis ? Et niveau tarifs ? 

A date, nous venons juste de lancer les ateliers, donc nous sommes dans une phase d’amorçage commerciale assez importante.

Nous avons pu tester nos ateliers en entreprise, et les retours sont positifs.

Pour les ateliers d’1h30 avec distribution de produits menstruels (1 produit par salarié) nous facturons 1000 euros HT, l’atelier.

Ensuite les tarifs sont adaptables en fonction du format d’atelier.

Comment est-ce que cela peut s’inscrire plus globalement dans une politique RH ? 

L’idée c’est de parler responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et de qualité de vie au travail (QVT). Nous avons à cœur de sensibiliser les entreprises et autres organismes à l’importance du réutilisable pour l’environnement et de promouvoir une approche durable dans toutes nos activités. De plus, nous mettons en place des politiques d’égalité hommes-femmes pour favoriser la diversité et l’inclusion dans les entreprises. Nous sommes conscients que les pathologies menstruelles en entreprise sont encore un sujet tabou, et nous travaillons donc à mettre en place un accompagnement au changement. Nous croyons que ces efforts contribueront à renforcer notre engagement en faveur d’une société plus durable et équitable.

Les ambitions pour Clitty sur les prochains mois ? 

Je travaille sur le lancement d’un maillot menstruel pour cet été, et à plus long terme, j’aspire à étendre Clitty et la solution de tiers-payant menstruel au niveau de l’État et des collectivités pour aider à rendre l’hygiène menstruelle plus accessible pour toutes les femmes.

Le mot de la fin ?

Quand on croit en quelque chose, on peut aller loin.

Et pour cela, j’aimerai collaborer avec des acteurs qui ont envie d’initier le changement.

Aussi, vous pourrez aussi me retrouver à la Foire de Lyon fin mars, début avril, pour des journées de sensibilisation.

 

Retrouvez tous nos focus découverte, par ici 

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Zoom sur les styles de communication

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Quel est mon style de communication et comment m’adapter au style de communication des membres de mon équipe ?

 

Travailler en équipe de manière efficace et productive, dans le but d’atteindre les objectifs de l’entreprise, ça peut être simple. Pour cela, il faut connaître son style de communication, celui des autres, s’appuyer sur les complémentarités des membres de l’équipe, et identifier les éventuels dysfonctionnements dans celle-ci pour travailler dessus. Ça vous intrigue ? Suivez le guide !

Le DiSC, un outil puissant pour mettre des mots sur son style de communication, celui de ses collègues, et s’y adapter. 

Avez-vous déjà entendu parler du DISC ? C’est l’un des outils les plus utilisés en phase de recrutement, aux Etats-Unis notamment (il faut dire qu’il est né là-bas), et qui permet de mettre en avant le style de communication d’un candidat.

Rien à voir avec les tests de personnalité. Avec le DISC, on s’intéresse à la manière dont une personne réagira dans des contextes précis et face à différentes typologies d’interlocuteurs. Le DISC sert à connaître le style de communication d’un candidat et, se faisant, à projeter sa manière d’interagir dans une équipe avec les interlocuteurs qui seront les siens.

Qui a déjà recruté des collaborateurs sait que, dans une équipe, ce que l’on recherche, c’est la complémentarité des styles de communication. Aurélie Prévault, consultante en recrutement chez Enoa, nous apporte son éclairage : “Il est important de recruter un style de communication qui s’accorde avec l’équipe et avec le métier. Si je grossis le trait, imaginons que l’on ait, dans une équipe, uniquement des personnes qui sont dans le contrôle, sachant prendre des décisions sans problème, et majoritairement tournées vers le résultat, alors on sait qu’il y aura des moments (nombreux) où des conflits apparaîtront dans le groupe. À l’inverse, si l’on imagine une équipe exclusivement composée d’individus très empathiques, tournés vers les autres et la relation à autrui, alors on aura des soucis pour trancher lorsqu’il le faut. ”

Certifiée DISC, Aurélie utilise régulièrement cet outil (via ENOA CONSEIL notamment) dont la finalité est d’atteindre un fonctionnement plus fluide et une amélioration de la performance.

“Il existe quatre profils de communication : Dominant, Influent, Stable, Consciencieux. Chacun a une dominante. Souvent les gens sont entre deux profils. L’intérêt du DISC est double. D’abord, lorsqu’on sait quel est notre style de communication, et que l’on connaît celui des autres, on se comprend mieux et on s’adapte mieux. Ensuite, si l’on en revient au recrutement, le DISC permet d’identifier un profil à rechercher en priorité lorsqu’on souhaite compléter une équipe.”

Comment utiliser le DISC ?

Mais alors dans les faits, comment ça se passe ? Avant le recrutement, on procède à un travail d’audit de l’équipe.

À moins que celle-ci soit réduite, il n’est pas forcément envisageable de faire passer le DISC à tout le monde. En revanche, entendre le dirigeant, le manager, parler des membres de l’équipe donne généralement un aperçu assez fin des styles de communication qui la composent. Avec eux, on challenge ensuite le profil à trouver, en fonction du périmètre de responsabilité qui sera celui de la personne à recruter, et de ses interactions avec les uns et les autres.

On fait alors passer le DISC à chaque candidat – 10 minutes de questions-réponses et un rapport d’une vingtaine de pages qui en ressort. “Le rapport met au jour le style de communication de la personne. Il donne par ailleurs des pistes pour s’adapter aux différents styles de communication. Il donne des clés de développement pour accroître son efficacité au travail”, précise Aurélie Prévault.

Finalement, le DISC est une aide à la décision durant le process de recrutement, un éclairage, qui n’évalue pas un savoir-faire mais une capacité à s’intégrer dans une équipe.

Les 5 behaviors

Bien sûr, connaître les styles de communication des personnes qui composent une équipe n’empêche pas, parfois, de constater des dysfonctionnements au sein de celle-ci. Il existe alors, en complément du DISC, un autre outil précieux, lui aussi anglo-saxon : les 5 behaviors.

Les 5 behaviors permettent de mieux nous connaître en tant que collègue, et ce qu’on apporte de précieux à l’équipe.

“Le modèle est de Patrick Lencioni, auteur d’un livre intitulé The Five Dysfunctions of a Team qui met en avant 5 dysfonctionnements par lesquels une équipe peut passer et qui l’empêcheront d’atteindre des résultats. Cela peut servir à faire le point dans une équipe lorsqu’on se rend compte qu’on n’arrive pas au but visé, qu’on n’arrive pas à décider, qu’on n’est pas suffisamment performant.”

Pour qu’une équipe fonctionne, 5 étapes sont, selon cet outil, nécessaires et il faut les franchir une à une pour arriver aux résultats. Les voici :

la confiance ;

le débat d’idées ;

l’engagement ;

la responsabilité ;

les résultats.

“Chez Enoa, nous utilisons les 5 behaviors pour faire réfléchir les parties prenantes d’une équipe qui a envie de mieux travailler ensemble, d’être plus performante. Cela de manière globale, ou pour les besoins d’un projet”, explique Aurélie Prévault.

Là encore, les participants répondent à un questionnaire. Il en résulte un profil, ainsi qu’un diagnostic complet de l’équipe. “En tant que consultants, nous proposons ensuite un travail de team building pour que chacun prenne conscience de la cause du dysfonctionnement et que l’on travaille dessus, ensemble.”

Chez Enoa, nous sommes certifiés DISC et formés aux 5 behaviors. Un projet de recrutement ? Contactez-nous.

 

Retrouvez toutes nos prises de parole, par ici 

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Recrutement : comment être à la page ?

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Recrutement : comment être à la page ?

Pour convaincre des candidat.e.s d’intégrer une entreprise, il faut leur offrir un processus de recrutement de qualité et dans l’air du temps. Bons outils, bon discours, transparence, rapidité, feuille de route précise, expérience candidat.e aux petits oignons …

Émilie Roman-Laval, co-fondatrice et directrice associée d’Enoa, vous partage ses clés pour être à la page quand on recrute.

Quelles sont les bases aujourd’hui pour être à la page en matière de recrutement ?

Une équipe de recruteurs à la page doit d’abord avoir à sa disposition de bons outils : ATS / CRM / SIRH performants pour optimiser les tâches répétitives, améliorer le suivi candidat.e, et in fine, proposer des recrutements plus courts et efficients.
À côté de cela, le discours présenté aux candidat.e.s doit être ciselé. Lorsqu’une personne postule dans une entreprise, elle attend qu’on lui parle non seulement du poste à pourvoir, mais aussi de l’histoire de l’entreprise, de son identité, de sa marque employeur, de ses équipes, de ses valeurs (exemples concrets d’actions pour les faire vivre), de ses engagements (RSE par ex) du process… Le tout « sans habiller la mariée » bien sûr.  Rien de pire pour les candidat.e.s que de découvrir qu’une entreprise fait du washing sur ces sujets.
En ligne (à travers la stratégie social média de l’entreprise typiquement) ou à l’occasion des échanges en direct, il faut avoir tout cela en tête. Si on arrive à fédérer les salarié.es, qui sont les meilleurs ambassadeurs de la marque, on attire d’autant plus les candidat.es.
Pour proposer un recrutement dans l’air du temps, j’ajouterais : des job descriptions claires, exhaustives et inclusives, une visibilité donnée sur le processus de recrutement, une optimisation des rencontres, et des business cases en adéquation avec le poste proposé (pour évaluer les compétences des candidat.es).
Enfin, pratiquer un recrutement inclusif garantissant l’égalité de traitement entre tout.es les candidat.e.s.

 

A quoi ressemble un entretien dans l’air du temps ?

Un entretien dans l’air du temps est personnalisé au maximum !
En amont, lors de la pré-qualification téléphonique,  le.a recruteur.se aura donné le maximum d’informations aux candidat.es.
Il.elle aura envoyé l’ordre du jour de l’entretien pour leur permettre de se challenger sur les questions qui seront posées. Le but n’est pas de piéger un.e candidat.e.
Au moment de la rencontre, la bienveillance est fondamentale. Tout comme le fait de mettre les candidat.e.s au même niveau que l’entreprise. 
Cet échange est aussi l’occasion de s’intéresser à ses envies, son projet et son évolution professionnelle, ce qui est important pour le next move.
On s’intéresse également à son métier, on parle le même langage, on comprend l’environnement de nos candidat.e.s. Cela semble évident, mais c’est encore trop peu fait par les recruteur.ses, et pourtant tellement apprécié par les personnes qui postulent ou se font approcher.
Finalement cet entretien fait partie intégrante de l’expérience candidat.e qui doit être peaufinée, et donner un avant-goût de ce qui sera vécu ensuite en entreprise.

Qu’attendent plus précisément les candidat.e.s ?

Ils attendent de la transparence, de la réactivité et du feedback !
Ils sont très attentifs à ce qu’il se passe au sein de l’entreprise. Avant de postuler, ils font des recherches (Glassdoor, WTTJ, LinkedIn…), des prises de références sur l’entreprise, activent leur réseau…
Ils apprécient fortement la transparence sur le salaire qui devrait apparaître en amont sur la job desc, les process de recrutement courts, efficients, avec de la bienveillance et de l’optimisation, comme je le disais à l’instant.

Naturellement, ils.elles attendent un feed-back constructif de la part des recruteur.ses. Important de savoir pourquoi leur candidature a été ou non retenue. C’est aussi le moment de leur prodiguer des conseils pour de futurs process.

J’ajouterais que l’onboarding, qui fait partie intégrante du recrutement et de l’expérience candidat, doit répondre à la promesse qui a été faite aux candidat.e.s pendant la phase de recrutement. Cela peut passer par un sms ou une vidéo reçue avant l’arrivée dans l’entreprise, par des entretiens déjà organisés avec des collaborateur-trices de l’entreprise, par un petit-déjeuner et/ou des goodies à l’arrivée, par des points réguliers pour savoir comment les premières semaines se passent.

Que nous réserve l’avenir en matière de recrutement ?

Je pense que nous nous dirigeons vers la fin du CV et vers une importance grandissante des compétences, des soft skills, de la formation. Les recrutements qui incluront de l’intelligence artificielle tireront leur épingle du jeu. Cela peut passer par des chatbots qui auront la capacité de répondre à des questions d’ordre rédhibitoire pour le recrutement et qui permettront à tout le monde de gagner du temps (recruteur.ses et candidat.e.s). La réalité virtuelle pourrait également changer le paysage du recrutement, en permettant de faire vivre des expériences immersives aux candidat.e.s. On peut imaginer des offres d’emploi postées dans le métavers, des business case dans un environnement qui ressemble à ce que le.a candidat.e vivra dans l’entreprise…
La gamification aussi peut être intéressante, avec la proposition de jeux en ligne qui permettront de voir comment les candidat.e.s réfléchissent.

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Zoom sur le quiet quitting

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Comment prévenir le quiet quitting dans votre entreprise ?

 

Le rapport que les salariés entretiennent avec leur travail a évolué depuis la COVID-19. Le quiet quitting, phénomène sérieux et massif, en est l’une des dernières illustrations. Il touche un nombre croissant de salariés et inquiète dirigeants, RH, et managers. Si certaines entreprises peuvent être tentées de laisser passer l’orage, autant dire que celui-ci ne va pas passer tout de suite.

Voici les explications d’Enoa, et nos solutions.

Qu’est-ce que le quiet quitting ?

Le quiet quitting, ou “démission silencieuse”, consiste à respecter sa fiche de poste et à s’en tenir là. Pas de travail en dehors du cadre des missions habituelles. Pas de “acting as” dans l’idée de briguer une promotion. Pas d’heures supplémentaires non rémunérées. On réalise ce qui est prévu dans le cadre de ses fonctions, sans plus, ni moins.

Alternative à une véritable démission pour certains salariés. Manière de remettre le travail à sa juste place pour d’autres (dans l’idée de cultiver l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, ou pour remettre à niveau ce qu’il ont le sentiment de donner à l’entreprise au regard de ce qu’ils en reçoivent). Toujours est-il que le phénomène est sérieux et qu’il a de quoi inquiéter à tous les étages de l’entreprise.

Dans le cadre d’une étude IFOP pour Les Makers réalisée en octobre dernier, 37 % des répondants déclarent refuser les heures supplémentaires, les sollicitations en dehors des horaires de travail et les responsabilités qui ne font pas partie de leur poste. 45 % disaient s’impliquer “juste ce qu’il faut” et 45 % ne travailler que pour l’argent.

 Quel remède contre le quiet quitting ?

Alors que faire lorsqu’on est manager, RH, dirigeant ? Les leviers sont heureusement multiples :

  • Engager la discussion, via des communications internes, des événements, et bien sûr un dialogue avec les collaborateurs qui ont “démissionné silencieusement” (pour les  comprendre et identifier des solutions avec eux : évolution de poste, enrichissement des missions, évolution des conditions de travail…) ;
  • Travailler sur l’engagement de ces salariés ayant adopté le quiet quitting, et de tous les salariés de l’entreprise. Sonder les collaborateurs, instaurer un suivi anonyme de l’engagement des salariés, mettre en place des actions ciblés sont autant de bonnes pratiques à adopter ;
  • Travailler sur la qualité de vie au travail des collaborateurs. Des bureaux attractifs, des horaires raisonnables, des réunions que l’on ne planifie pas au-delà d’une certaine heure, des mails que l’on n’envoie pas passée une certaine heure, une politique télétravail claire, entre autres, sont reconnus comme de véritables plus pour les salariés.
  • Proposer un environnement de travail positif dans lequel la valorisation des salariés et de leur travail ont toute leur place. A travers la mise en place d’incentives, de primes, mais aussi avec une systématisation des feedbacks, il est possible de montrer régulièrement la reconnaissance de l’organisation.
  • Travailler sur le développement des compétences et des carrières des salariés. L’envie d’apprendre et d’évoluer est plus présente que jamais, chez les jeunes générations, mais aussi chez les salariés plus expérimentés (à qui l’on ne propose plus forcément de formations ou d’évolution au sein de l’entreprise).

Il est évidemment essentiel de ne pas ignorer le phénomène, pour ne pas connaître, à terme, de vraies démissions, et une performance de l’entreprise en baisse.

 

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Les 4 accords Toltèques

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Comment les quatre accords toltèques peuvent transformer la vie en entreprise ?

 

Les quatre accords toltèques, c’est un best-seller vendu à plus de dix millions d’exemplaires rien qu’aux États-Unis, et traduit en 48 langues. Dans ce livre, une série de règles de vie développées par l’auteur mexicain Don Miguel Ruiz pour se libérer de nos croyances limitantes, et trouver “la voie de la liberté personnelle”. Ces principes, nous pensons chez Enoa qu’ils peuvent être appliqués au monde de l’entreprise et faciliter notre vie professionnelle à toutes et tous. Démonstration.

Que votre parole soit impeccable 

Le premier accord toltèque, “que votre parole soit impeccable”, est une invitation à se dire que les mots peuvent faire le bien comme le mal. Et qu’avoir une parole (y compris intérieure) qui ne nuit à personne (ni à nous-même, ni aux autres) peut s’avérer libératoire. L’idée ? Ne pas être médisant, ne pas colporter de rumeurs, ne pas se dénigrer ou dénigrer les autres…
Au sein de l’entreprise, cela suppose de faire attention à la manière dont on communique avec ses collègues ou ses clients. Cela signifie aussi qu’on ne doit pas sans cesse avoir des pensées négatives envers soi-même ou envers les autres.

Autrement dit, plutôt que de penser, et/ou de dire à Sylvain du service comptabilité qu’il a encore oublié de rembourser vos notes de frais, et que cela n’est ni professionnel, ni respectueux, demandez-lui si quelque chose bloque, s’il lui manque des éléments, si vous pouvez compter sur ce remboursement prochainement.
Pratiquez la parole impeccable et vous aurez de meilleures relations avec vos collègues, vos clients, et vous-même. Apaisement garanti !

Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle

Vient ensuite le deuxième accord : “Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle”. Nous avons tous tendance à prendre au sérieux les paroles des autres. Or, lorsqu’une personne dit quelque chose qui, a priori, vous concerne (positif ou négatif), il ne s’agit que de la perception de cette personne, et non de la réalité. Se détacher de cela permet de se mettre en sécurité.
Si Sylvain de la compta, à la suite de votre e-mail – dans lequel vous avez pratiqué la parole impeccable – vous répond que le traitement de vos notes de frais serait bien plus rapide si vous et vos collègues preniez soin de lui fournir vos notes de frais dans les délais impartis, de remplir correctement le tableau qui accompagne lesdites notes de frais, et d’éviter par exemple de vous tromper dans le plafond de l’indemnité repas… N’en faites pas une affaire personnelle.
Plutôt que de prendre ces reproches à votre compte, dites-vous que Sylvain a partagé SON point de vue. Soyez imperméable à son agacement, mais pas à ses arguments. En l’occurrence, vous prendrez soin, la prochaine fois, de remplir votre tableau de notes de frais correctement et de l’envoyer dans les temps.

Ne faites pas de suppositions 

“Ne faites pas de suppositions”. C’est le troisième accord toltèque. Nous avons tous tendance à supposer. Supposer que si l’on postule à un poste ouvert en interne, on ne voudra pas nous recevoir, supposer qu’un mail resté sans réponse est une réponse (négative) en soi… La réalité est souvent loin de celle qu’on s’imagine.

Dans le monde de l’entreprise en particulier, personne ne verra une candidature à un poste ouvert en interne d’un mauvais œil (ok, peut-être certains collègues de mauvaise humeur, mais dans ce cas, “n’en faites pas une affaire personnelle” !). Un mail sans réponse, cela arrive chaque jour, et c’est souvent un manque de temps pour répondre sur le moment. Encore une fois, rien de personnel.
Ne pas faire de suppositions, cela libère l’esprit et ouvre le champ des possibles dans l’entreprise, et dans votre vie professionnelle.

Faites toujours de votre mieux 

Le quatrième accord est « faites toujours de votre mieux ». Donner le meilleur de soi, cela ne veut pas dire obtenir des résultats incroyables tous les jours. C’est tendre vers l’excellence. Cela est vrai dans le cadre de la vie personnelle bien sûr. C’est aussi vrai dans la vie professionnelle.
En s’appropriant cet accord, donc en faisant de son mieux en tout temps, les regrets n’ont plus leur place. Un prospect qui n’accepte pas le devis présenté, alors que vous lui avez fait la meilleure proposition possible et que celle-ci a été présentée de la meilleure façon qui soit, cela s’encaisse mieux que si l’on n’a pas fait tous les efforts nécessaires pour travailler avec ce prospect.
Côté entreprise, il est bien sûr essentiel de reconnaître et de valoriser les efforts des collaborateurs. Les résultats sont importants. L’implication l’est tout autant.

Finalement, en appliquant les quatre accords toltèques en entreprise, il est possible de créer un environnement de travail plus harmonieux, plus productif et plus sain. Chez Enoa, non seulement on trouve que ça se tente, mais on essaie de s’approprier ces règles au quotidien dans notre activité de conseil RH et de recrutement.

 

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La parentalité en entreprise

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Issence, accompagner la parentalité en entreprise : un nouvel atout pour le recrutement ? 

 

Nous sommes heureuses de vous présenter Isma Lassouani, co-fondatrice d’Issence et du Parental Challenge.

Bonjour Isma, et merci infiniment de répondre à nos questions ! Chez Enoa, cabinet de recrutement, nous sommes sensibles au sujet de la parentalité.

Nous sommes nous-même signataires du Parental Challenge !

Présentez-vous dans les grandes lignes :  votre parcours et pourquoi Issence ? 

J’ai d’abord travaillé dans le secteur de l’impact social dans le secteur public et auprès de donateurs privés. Je conseillais les structures et les aidais à construire et mettre en oeuvre leur action de mécénat.

En 2018, j’ai rencontré Clémence, mon associée, qui est doula, accompagnante à la parentalité.

Assez rapidement, nous avons décidé de créer Issence en unissant nos deux expertises : comment aider les entreprises à être plus vertueuses et plus inclusives en accompagnant la parentalité de leurs salarié.e.s.  C’est comme ça que Issence est née.

En 2021, on a lancé deux grandes initiatives qui répondent à deux missions qui nous tiennent à coeur :

  • créer des entreprises plus inclusives avec le Parental Challenge : on donne des outils concrets aux RH, aux CEO, aux managers qui veulent se lancer dans une politique parentalité grâce au guide et à la charte du Parental Challenge
  • sensibiliser le grand public aux enjeux de la reprise du travail post congé maternité, ce qu’on appelle le “5ème trimestre”, auquel on a consacré une grande enquête, des ateliers de formation et une application dédiée, Melly Demelo

Pourriez-vous nous en dire plus sur Issence et ce que vous proposez concrètement ? 

Issence accompagne les entreprises et leurs salariés-parents sur l’articulation parentalité-travail. On intervient auprès des salariés parents bien sûr pour les aider à trouver un équilibre qui leur convient. On intervient aussi auprès des managers et des équipes RH pour justement faire évoluer les cultures de travail et ne pas laisser sur les épaules des parents le fait de s’adapter.

Auprès des salariés parents, On organise essentiellement des ateliers, des formations ou/et des coaching pour les accompagner sur 3 sujets phares :

  • Le retour de congé maternité,
  • Le congé second parent (paternité),
  • L’équilibre de vie pro-perso et la gestion du temps avec un enfant en bas âge

 

Nos ateliers reposent toujours sur un triptyque : informer (donner des ressources, connaître le cadre légal …), échanger (se rendre compte qu’on est pas seuls, déculpabiliser, co-construire des solutions) et outiller (rendre autonomes les participants dans la gestion de leurs défis quotidiens).

Auprès des managers, ce sont des ateliers et des formations pour les aider à bien accompagner les futurs et jeunes parents dans leurs équipes, connaître leurs obligations légales et leur donner un espace pour échanger et trouver des solutions pratiques qui leur ressemblent.

Les managers sont à la fois les premiers interlocuteurs des parents et les premiers ambassadeurs de la culture de leur entreprise.

Depuis notre naissance on cherche toujours de nouvelles façons de sensibiliser et de mobiliser les entreprises sur ces sujets.

L’année dernière, c’est dans cette optique que nous avons lancé avec Judith Acquien et Selma El Mouissi le Parental Challenge. Il permet aux entreprises de toutes tailles et secteurs :

  • de bénéficier d’un guide pratique rappelant les bases pour accompagner leurs salarié.e.s futurs et jeunes parents
  • de construire une politique parentalité inclusive et innovante en appliquant la charte du Parental Challenge.

En parallèle, nous avons également lancé Melly Demelo, la coach digitale du retour de congé maternité, que nous avons co-créé avec Gaëlle Bassuel de la start up YesWeShare. 

Melly Demelo est une plateforme en ligne pour faciliter la transition entre la maison et le bureau. Elle fonctionne comme une messagerie instantanée qui se glisse dans la poche de la jeune mère en reprise pour répondre à toutes ses questions tant pro que perso avec des ressources, des vidéos …

Melly Demello est née du constat que le “5ème trimestre”, le moment du retour au travail, reste la phase trop oubliée, tant dans le parcours de mère que dans la carrière de femme. Pour le reste du monde c’est un retour à la normale. Pourtant, les femmes vivent cette période comme un tsunami, où tout se bouleverse à la maison comme au bureau, et elles se retrouvent souvent à le vivre seules et en silence.

Qui sont vos clients et qu’attendent-ils ? 

Notre cible est essentiellement B2B.

Les mentalités ont évolué très vite sur le sujet et on remarque que nos clients sont aujourd’hui plus mûrs et prêts à construire une politique parentalité. Ils voient clairement les avantages à mieux accueillir et accompagner leurs collaborateurs dans leurs vies de parents ou dans leur projet de parentalité. Cela leur permet de mieux attirer et retenir les talents qu’ils recherchent, de réduire les inégalités femmes-hommes, de créer un environnement de travail plus sain et sécure, …

Ce n’est pas toujours facile de se lancer. Parmi les freins souvent cités par nos clients figurent le manque de temps ou de personne dédiée sur le sujet, la peur de se tromper et de mal faire, l’impression que c’est un sujet délicat et intime à aborder …

Mettre en place des ateliers et bénéficier du regard d’un prestataire extérieur permet de dépasser ces blocages et de s’assurer d’une qu’on respecte la loi et de deux qu’on avance dans la bonne direction pour ses équipes.

Quelles sont les valeurs du projet, la promesse ? Ce qui vous tient à cœur !

Promouvoir l’égalité hommes-femmes en entreprise et faire avancer les droits des parents !

Devenir mère ne doit pas signifier le démarrage d’un itinéraire bis “voie de garage” pour sa carrière ! Et il en va de même pour tous les parents quel que soit son parcours.

Il faut en parler le plus possible, sensibiliser aux enjeux des parents au travail. Et d’ailleurs, une politique d’entreprise favorable aux parents devient une politique favorable à tous les employés, l’amélioration de la flexibilité et de l’équilibre vie pro- vie perso bénéficiant à tous.

Le mot de la fin ? Un message à faire passer aux entreprises ? 

Agir sur la parentalité est accessible et facile ! Cela ne demande pas de gros budget ni d’avoir six mois devant soi. Toutes les entreprises, quels que soient leur taille, leur secteur d’activité, leur santé économique, peuvent avancer. Cela commence par écouter les besoins de ses salariés, et choisir une mesure accessible et qui a du sens pour les parents : travailler sur la flexibilité ? Construire une fiche synthèse des droits des parents dans l’entreprise ? Organiser un groupe de parole ? On conseille à tout le monde de trouver une première initiative qui réponde aux besoins des salarié.e.s et à sa culture d’entreprise, et de se lancer, un pas après l’autre !

 

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Ascension avec Orianne Aymard

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Rencontre avec Orianne Aymard Himalayiste, diplomate, humanitaire, chercheuse et écrivaine (oui rien que ça…)

 

Nous avons eu la chance de recevoir Orianne en décembre dernier chez Enoa (cabinet de recrutement & conseil RH).

Une rencontre singulière, riche d’échanges, d’émotions, où elle nous a livré en toute simplicité son parcours hors norme… L’occasion également de nous présenter et dédicacer son livre : “Sous l’œil de la Déesse” (que nous vous recommandons vivement) où Oriane relate son incroyable ascension du Lhotse (8,516m – sommet satellite de l’Everest et 4e plus haut sommet au monde) et explique les raisons qui lui ont donné envie de grimper si haut !

Une histoire que nous souhaitons aujourd’hui vous partager.

Bonjour Orianne, peux-tu te présenter en quelques mots ? Ton parcours et les raisons qui t’ont amené à l’ascension du Lhotse.

Je suis née dans la région parisienne (92), et j’ai grandi à Sceaux, où j’ai effectué une partie de ma scolarité. Après des études de biologie marine à Brest, je me suis orientée ensuite vers les sciences sociales (Master en ‘Social Policy’) à Londres, puis en sciences humaines (PhD en sciences religieuses) à Montréal. Ce parcours m’a amenée à travailler dans différents milieux, principalement à l’étranger. J’ai tour à tour été diplomate, humanitaire, chercheure, enseignante à l’université, et aujourd’hui, je suis auteure et conférencière 

Un événement majeur a marqué ce parcours. A 25 ans seulement, alors que j’étais dans le nord de l’Inde, au pied de l’Himalaya, j’ai été victime d’une hémorragie cérébrale. J’ai survécu, et à la suite d’une grosse opération au cerveau, j’ai dû renoncer à certaines de mes passions, telle que la plongée, et les treks en haute altitude. 

Surmontant mon handicap, et alors que rien ne me prédisposait à vivre une telle aventure, quinze ans plus tard, j’ai effectué l’ascension d’un 8000, le Lhotse (8,516 m), un rêve que j’avais depuis mon jeune âge et que j’avais littéralement mis de côté, voire étouffé, depuis mon accident cérébral. 

Depuis, je me suis installée à Chamonix, et je donne des conférences un peu partout en France et à l’international sur mon ascension du Lhotse. J’ai également publié un livre « Sous l’œil de la Déesse », aux Éditions du Mont-Blanc (Catherine Destivelle), qui relate mon ascension du Lhotse. C’est avant tout une histoire de résilience.  

Pourquoi as-tu souhaité raconter ton histoire dans un livre ? Quels messages as-tu voulu transmettre ?

Avant la publication de mon livre « Sous l’œil de la Déesse », j’avais déjà écrit un livre universitaire « When a Goddess Dies » (Oxford University Press à New York). Mais je voulais sortir du champ académique et écrire des livres pour le grand public. Il a fallu l’ascension du Lhotse pour déclencher le processus et oser ! Au retour de l’expédition, je me suis dit, c’est maintenant ou jamais. Écrire un livre sur mon ascension n’était pas planifié, je n’avais d’ailleurs pris aucune note pendant mon périple.  

Les messages dans mon livre, il y en a plusieurs, mais si je devais résumer en quelques mots, je dirais « croire en soi, être fidèle à qui l’on est ». Dans mon cas, rien ne me prédestinait à grimper le Lhotse pour plusieurs raisons : mes antécédents médicaux ; le fait que je ne sois pas une himalayiste / alpiniste à la base (je suis partie de quasi zéro) ; les incidents successifs qui ont marqué l’expédition et qui n’ont favorisé en rien l’ascension ; enfin, le fait que je n’ai pas été soutenue en tant que femme (j’étais l’unique femme au sein d’un groupe de 25 à 30 hommes, népalais et occidentaux confondus).  

Conférencière (entre autres) tu interviens aujourd’hui auprès d’entreprises ? Quelles sont-elles ? Et dans quel contexte font-elles appel à toi ?

Quels parallèles peut-on faire entre ton ascension et le monde du travail ?

J’interviens régulièrement en tant que conférencière auprès d’entreprises diverses et variées (compagnies d’assurance, laboratoires pharmaceutiques, cabinets d’audit, compagnies de gaz et pétrole, automobile, banques, etc.), en France et à l’international, en français et en anglais (je peux également intervenir en espagnol, mais n’en ai pas encore eu l’occasion). 

Mes conférences ont lieu bien souvent dans le cadre de séminaires d’entreprises, et sont bien évidemment adaptées à l’audience (rdv préparatoire avec le client), et durent généralement une heure, puis il y a le temps des questions, et enfin les échanges plus informels.  

Lors de mes conférences, j’aborde beaucoup de thématiques propres au monde du travail, telles que la prise de décision, la gestion du risque, la préparation (spécialement mentale, pour casser les croyances limitantes), le syndrome de l’imposteur, l’adaptation au changement rapide, la confrontation à l’inconnu, la gestion du stress, etc. Je parle également d’humilité, d’acceptation de ses limites (pour mieux les dépasser), de la vulnérabilité (pour mieux affronter l’incertitude), du lâcher prise, et bien sûr de la capacité de rebondir en dépit des difficultés. En fonction de l’audience, j’insiste sur certains points en particulier, mais globalement, ce sont des conférences axées essentiellement sur le leadership, la résilience, et le dépassement de soi

Après tout cela … Quels sont les projets à venir !

Aujourd’hui j’ai le projet de réaliser le « Grand Chelem des Explorateurs » (Explorer’s Grand Slam), soit l’ascension du plus haut sommet de chaque continent (7 summits) et l’atteinte du pôle Nord et du pôle Sud à skis. Mon objectif principal est d’inspirer, plus particulièrement les femmes, à se dépasser, à faire preuve d’audace et oser aller plus haut ! Dans l’histoire, seules quelques femmes dans le monde ont réalisé ce défi. 

Le projet a débuté en janvier 2022 avec l’ascension de l’Aconcagua (6,962m), plus haut sommet des Amériques, situé en Argentine, et se poursuit avec l’ascension de l’Everest (8,849m), au printemps 2023. Pour ce projet, je suis soutenue par une association, DareWomen, qui vient d’ailleurs de créer une cagnotte. Toute contribution, aussi minime soit-elle, est bien entendu la bienvenue !

On sent un côté presque viscéral à grimper…

Arrives-tu à expliquer ce besoin d’aventures et de dépassement de soi ? Quel est ton driver ?

J’ai toujours eu ce besoin d’aventures, cette envie de me dépasser. Je pense que c’est, avant tout, une question de tempérament. Et puis mes parents m’ont toujours encouragée à aller de l’avant, à oser. Après, il y a probablement autre chose qui explique ce besoin, quelque chose d’ordre plus irrationnel je dirais. Parfois, je ressens juste une force en moi qui me tire vers le haut, et là, je n’ai plus vraiment le choix, je dois foncer !  

Quel conseil donnerais-tu aux personnes qui souhaitent se lancer dans un projet quel qu’il soit, et qui n’osent pas ?

Je leur dirais tout d’abord de commencer petit, d’y aller par étapes, au fur et à mesure. Un peu comme un enfant qui apprend à marcher. Il tombe, il se relève, puis tombe à nouveau et se relève, etc., jusqu’à ce qu’il arrive à avancer. Rien ne sert d’aller trop vite, il faut y aller progressivement, sans se mettre de pression inutile. 

La deuxième chose que je leur dirais, c’est de penser à ce qu’elles feraient si elles apprenaient qu’il leur reste peu de temps à vivre…  un mois à vivre par exemple, ou une année. Cela donne tout de suite une autre perspective ! 

Enfin, je leur dirais simplement de s’écouter, et ne pas se laisser trop influencer par leur environnement, qui parfois, peut les freiner dans leur élan. C’est important d’écouter sa petite voix intérieure, et de se faire confiance.      

Une anecdote secrète d’aventurière à nous partager ;)

J’ai beaucoup d’anecdotes (sourire)… des drôles et des moins drôles, mais toujours très instructives. 

Je les partagerais bien volontiers lors d’une conférence ! 

 

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Caroline Arditti, @SunshineMakers

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Rencontre avec Caroline Arditi Founder @SunshineMakers & Creative entrepreneur

 

Au sein de la team Enoa (cabinet recrutement Paris), la notion de « lien » est forte : dans nos vies personnelles, mais aussi dans notre métier de recruteuses. Au quotidien, où nous prenons plaisir à créer du lien, des rencontres, jusqu’au bon « match » candidat/entreprise.

On y est par ailleurs d’autant plus sensibles que chez Enoa, nous sommes une vraie tribu, très soudée.

Ce lien nous porte au quotidien, depuis la création du cabinet, et nous donne envie d’aller toujours plus loin ensemble.

Nous sommes donc très heureuses aujourd’hui de recevoir Caroline Arditti qui vient justement de creuser ce sujet du lien dans son ouvrage « NOUS : l’art de s’entourer pour rayonner ensemble » aux éditions Solar.

Bonjour Caroline, peux-tu te présenter en quelques mots ? Ton parcours, ton business ?

Bonjour la team ! Je travaille depuis 20 ans dans la communication et l’événementiel. C’est d’abord à Sydney que j’ai découvert la production et le terrain pour la première fois autour d’expériences que j’imaginais pour des marques grand public comme Nivea, Lipton…De retour en France, je me suis intéressée à la stratégie de marque et aux RP, toujours avec une forte dimension événementielle. Et depuis 3 ans, j’ai créé l’agence Sunshine Makers avec laquelle j’accompagne des marques à rayonner auprès de leurs communautés. En dehors de ce métier de conseil en communication, je suis aussi facilitatrice d’expériences positives au sein d’équipes internes, de réseaux, de communautés…

L’idée ? J’encourage les gens à se déconnecter pour mieux se reconnecter à soi, aux autres et au monde qui nous entoure. Ce sont des expériences positives et créatives qui reboostent tout en ré-enchantant nos liens aux autres. J’ai assez vite compris que l’humain devait être au centre de toutes les démarches que j’allais entreprendre et je crois bien que c’est mon fil rouge depuis tant d’années.

Comment est venue l’idée de ton livre « Nous » que nous avons adoré chez Enoa  ?

Avec « NOUS » j’ai eu envie de ré-insister sur l’importance d’être bien entouré dans la vraie vie, en dehors de toute virtualité et écrans connectés. Les recherches sont unanimes sur le sujet : les personnes qui sont les plus heureuses et qui vivent le plus longtemps sont celles qui sont le plus proches de leur famille, amis, communautés. Il est vraiment question ici de santé physique et mentale. Raison pour laquelle j’avais envie d’y mettre un coup de projecteur sous la forme d’un guide pratique ultra accessible.

C’est drôle comme nous avons très largement questionné nos fondamentaux depuis 2020 à deux niveaux : le premier autour du sens au travail : Est-ce que j’ai envie de continuer à faire ce que je fais aujourd’hui ? Et d’autres questionnements davantage géographiques : ai-je besoin de plus d’espace ? Vivre dans une grande ville ou décider d’être au vert plusieurs jours par semaine ? En revanche, très peu de sujets sont sortis sur nos relations humaines qui sont pourtant fondamentales. Pourtant nous aurions aussi tout intérêt à nous demander : Qui m’apporte de l’énergie ? Qui m’aide à réaliser mes rêves ? Qui est là pour célébrer les petites victoires du quotidien ? Qui m’accompagne dans les moments moins faciles ?…

J’avais donc à cœur d’encourager le monde à prendre soin de ces relations, de semer les graines nécessaires et d’adopter des rituels positifs quotidiens pour se connecter aux autres et raviver la flamme dans nos amitiés en permanence. Il n’y a pas de hasard et ce n’est pas non plus une question de chance. Savoir bien s’entourer et cultiver le lien est une routine à adopter et incarner quotidiennement. C’est la multiplication de ces petits gestes qui fait la différence et qui nous permet d’avoir des relations saines, bienveillantes, inspirantes autour de nous.

Comment fais-tu concrètement pour raconter et transmettre ce NOUS en entreprises ?

En ce sens, je partage tout le travail et la philosophie d’Enoa derrière l’expérience que vous faites vivre aux candidats que vous rencontrez.

Vous vous attachez à soigner toujours plus l’expérience candidat et les « à côtés » qui participent largement à rendre la relation avec toutes les parties prenantes aussi fluide que possible.

De la même manière, depuis toujours, j’imagine des expériences collectives qui encouragent à se connecter à sa boussole tout en passant à l’action.

J’encourage les participants à prendre soin de leur boussole et des gens qui les entourent.

Quand certains vous réapprennent à respirer, moi je réapprends aux gens à être en lien. J’installe un climat ultra bienveillant et de confiance qui fait tomber les masques pour être dans le vrai. Et c’est souvent dans ces bulles de déconnexion que la magie opère, que des équipes se redécouvrent alors que bien souvent elles travaillent ensemble depuis plus de 3, 4, 5 ans.

Ces ateliers peuvent toucher tout type d’entreprise ? peu importe la taille ?

Oui, tout à fait. Je propulse ces expériences en présentiel ou en format digitale. Selon les demandes, j’adapte le format, la durée (2h, 3h, 4h…) et la personnalisation de l’expérience à l’entreprise. Quand les équipes ne sont pas dans les mêmes villes ou pays, c’est en anglais et en digital, l’interactivité est toujours très présente même derrière un écran.

En début d’année, je propose un « Sunshine créatif kick off » pour se mettre dans les meilleures conditions pour l’année. Au lieu de parler de « bonne résolutions » qu’on a tendance à ne jamais tenir, j’encourage les équipes à réfléchir à leur GPS pour l’année à venir et les ingrédients à intégrer pour avancer ensemble vers la lumière, un pas après l’autre. C’est une mise en action individuelle et collective.

Si tu devais donner un conseil aux entreprises qui nous lisent en ce moment ?

Prenez vraiment soin de vos équipes. Le capital humain est bien le plus précieux, ne le laissez pas perdre en vitalité ! Soyez attentifs à leur énergie. Offrez-leur des moments de déconnexion. C’est d’ailleurs souvent dans ces moments informels où on déplace le curseur que des déclics agissent en faveur de l’entreprise, du collectif, des projets communs.

Et enfin pour les candidats qui nous lisent ?

Soyez vrai ! Plus vous accumulez les carapaces, moins vous laissez passer la lumière. Du coup, vous passerez à côté d’une rencontre. C’est en étant très clair sur votre boussole que vous arriverez au meilleur match avec l’entreprise et la mission proposée. Mettre toutes les chances de son côté, c’est aussi et surtout se poser les bonnes questions en amont : sur vos valeurs, ce qui vous anime, vos envies, les talents qui vous caractérisent…Et mon petit doigt me dit que l’équipe Enoa est aussi très forte pour vous accompagner dans cette réflexion.

 

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Le sport en entreprise

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Pourquoi et comment favoriser la pratique du sport au sein de l’entreprise

 

A l’heure où la santé a repris une place de premier rang, il est primordial pour les organisations de veiller à celle de leurs salariés. Les bienfaits du sport pour la santé physique et pour la santé mentale ne sont plus à démontrer. Les possibilités pour les entreprises de favoriser sa pratique sont multiples. La vôtre a-t-elle déjà sauté le pas ?

Les chiffres du sport

Selon l’Eurobaromètre publié par la Commission européenne en septembre 2022, consacré au sport et à l’activité physique :

  • 38 % des Européens pratiquent un sport ou font de l’exercice au moins une fois par semaine ;
  • 17 % font de l’exercice moins d’une fois par semaine ;
  • jusqu’à 45 % des Européens ne font jamais d’exercice ou ne participent jamais à une activité physique…

Sans surprise, pendant la pandémie liée à la COVID-19, la moitié des Européens ont réduit leur niveau d’activité, voire ont tout arrêté.

Pourtant, l’étude relative à l’impact économique de la pratique du sport en entreprise publiée sur le site institutionnel de France Olympique – étude confiée à Goodwill management par le Comité national olympique et sportif français et le MEDEF, avec le soutien d’AG2R La Mondiale – est formelle : une activité physique et sportive régulière représente :

  • 5 à 7 % de dépenses de santé en moins pour les salariés ;
  • + 3 ans d’espérance de vie, 6 à 9 % d’amélioration de la productivité ;
  • une augmentation de la rentabilité nette de 1 à 14 % pour les entreprises…

L’activité physique et sportive est donc trop peu répandue, alors que ses effets sur la santé de chacun (RH et dirigeants inclus) ne sont plus à démontrer, et qu’il y a par ailleurs un bénéfice notable pour les entreprises dont les salariés sont sportifs.

Les actions possibles pour encourager l’activité physique et sportive dans l’entreprise

Dans une démarche d’amélioration de la QVT des salariés, de plus en plus d’organisations encouragent l’activité physique et sportive avec des actions concrètes. Il y a de nombreuses possibilités pour cela.

Il peut s’agir de :

  • négocier un tarif préférentiel pour les collaborateurs avec une salle de sport en particulier (ou avec une franchise) ;
  • faire venir un coach sportif au sein de l’entreprise (pourquoi pas avec l’aide financière du CSE) ;
  • faciliter l’initiative d’un salarié qui propose de pratiquer un sport entre collègues, sur le temps de la pause déjeuner par exemple (natation, running…) ;
  • proposer un challenge aux salariés. Pourquoi ne pas participer, avec tous ceux qui le souhaitent, à une course organisée chaque année par la ville ? Et bien sûr encourager puis mettre à l’honneur les participants sur le réseau social de l’entreprise.

Effectuer les trajets domicile travail à pied, en vélo ou en trottinette, c’est également de l’activité physique et sportive, et l’impact sur l’environnement est moindre qu’avec la traditionnelle voiture. En encourageant, via des communications internes, cette habitude, même quelques jours par semaine, vous aurez forcément un impact.

Depuis 2020, dans le but d’encourager les transports plus propres, le forfait mobilités durables (FMD) permet d’ailleurs aux employeurs de prendre en charge tout ou partie des frais des salariés liés à l’utilisation de certains modes de déplacements pour leurs trajets domicile travail.

La liste est longue pour favoriser la pratique de l’activité physique et sportive en entreprise. Il y a fort à parier que l’une d’elles peut encourager vos collaborateurs à (re)chausser les baskets !

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Les leviers RH pour faire face à l’inflation

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Quel rôle pour les RH face à l’inflation ?

 

Si les entreprises sont touchées par l’inflation et mettent en place des actions pour contrebalancer les effets de cette dernière, une étude SD Worx avec OpinionWay révèle que 79 % des salariés pensent que c’est le rôle des entreprises de les aider face à ce phénomène.

Augmentation des salaires et/ou prime de partage de la valeur (PPV) pour aider les salariés à faire face à l’inflation

Parmi les outils à leur disposition, on pense bien sûr et en premier lieu aux salaires et avantages sociaux qui représentent le premier critère d’attractivité et de motivation des salariés français (enquête Randstad 2022). Lors des négociations annuelles obligatoires (NAO), il est effectivement question d’augmentations générales. Les RH, lorsqu’ils le peuvent, vont dans ce sens.

Pour de multiples raisons, cela peut se révéler compliqué à mettre en place. Il y a alors des alternatives. La loi du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat a instauré la « prime de partage de la valeur » (PPV) (anciennement appelée prime Macron ou prime de pouvoir d’achat) qui permet de verser, jusqu’au 31 décembre 2023 et sous conditions, jusqu’à 3 000 € de prime annuelle exonérée de cotisations sociales – Le montant peut aller jusqu’à 6 000 € si l’entreprise a mis en place d’un accord d’intéressement ou de participation à la date du versement de la prime, ou dans l’année du versement.

Des avantages financiers et non financiers pour booster le pouvoir d’achat des salariés 

Cette loi facilite également, jusqu’au 31 décembre 2022 et sous certaines conditions, le déblocage anticipé de la participation et de l’intéressement pour les salariés qui bénéficient d’un PEE. Ces derniers peuvent récupérer jusqu’à 10 000 € en une fois si la somme est destinée à financer l’achat d’un bien ou la fourniture d’une prestation de service. Le montant débloqué est exonéré d’impôts et de prélèvements sociaux.

Des entreprises, notamment des scale-up, mettent en place l’actionnariat salarié. Il n’est pas nécessaire d’être une société cotée pour cela. C’est un excellent moyen d’augmenter le pouvoir d’achat des collaborateurs à long terme, et de conforter leur engagement.

Encourager le télétravail est un autre moyen d’aider les collaborateurs. Malgré la hausse du coût de l’énergie, le télétravail permet de minimiser les dépenses d’essence, d’entretien d’un véhicule, mais aussi celles faites habituellement dans le cadre du travail. En tant que RH, pourquoi ne pas étudier, en outre, la possibilité d’une prise en charge partielle des factures d’énergie de vos salariés en télétravail ?

Le rachat de RTT, lui, est facilité jusqu’en 2025 et fait partie des mesures envisageables pour les RH pour aider les salariés à faire face à l’inflation. Ceux qui optent pour cette possibilité, en permettant aux salariés de travailler au lieu de prendre leurs RTT, les rémunèrent en heures supplémentaires.

Les avantages sociaux (en numéraires ou en nature) peuvent aussi accroître le pouvoir d’achat des collaborateurs (tickets resto, CESU, frais de transport, mise en place du forfait à mobilités durables, mise en place d’une offre pour favoriser la pratique du sport à moindre coût…).

La proposition de travailler davantage pour compenser la hausse des prix, avec des heures supplémentaires, est également une option.

Enfin, travailler sur la formation des collaborateurs et leur permettre de travailler sur leur montée en compétences est également un moyen de leur permettre d’augmenter leur pouvoir d’achat dans la durée.

Quels que soient les leviers privilégiés, les RH répondent une nouvelle fois à l’appel. En pleine crise, ils montrent à quel point ils sont un rouage essentiel dans les organisations : à la fois aux côtés des salariés pour les aider dans leur quotidien, et en tant que business partner pour préserver la pérennité des entreprises.

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La plateforme pour vos formations

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atomota :  plateforme de booking de formations, d’ateliers et de conférences en ligne qui met en avant les Travailleurs Indépendants Handicapés 

 

Nous sommes heureuses de vous présenter Thomas Lauféron, co-fondateur de la plateforme atomota.

Bonjour Thomas, et merci infiniment de répondre à nos questions !

Chez Enoa, cabinet de recrutement, nous sommes sensibles aux évolutions du marché de l’emploi et aux nouveaux outils qui émergent sur le marché de la formation. 

 

Peux-tu stp te présenter dans les grandes lignes : ton parcours et pourquoi atomota ?

Moi c’est Thomas Lauféron, j’ai 31 ans et j’ai abandonné l’idée de figurer dans le classement Forbes des personnalités influentes de moins de 30 ans. Depuis 1 an, à peu près. J’ai commencé ma “carrière” dans le “monde du handicap” en Master 1, en stage, dans l’association “Signes de sens”, qui conçoit des outils pour faciliter l’accès à la culture et à l’information des personnes en situation de handicap. J’ai ensuite travaillé plus de 6 ans dans une agence événementielle qui faisait de la sensibilisation au handicap. C’est à la suite de cette expérience que j’ai eu l’idée d’atomota.

Peux-tu nous en dire plus sur atomota ? Comment est venue l’idée ?

atomota c’est une plateforme BtoB qui met en relation et qui facilite l’organisation d’événements en ligne (conférences, ateliers et formations).

L’idée m’est venue en plusieurs étapes. Tout d’abord, c’est parti d’une demande client (Bureau Veritas) : organiser 70 ateliers en ligne sur le premier semestre 2022. Lorsqu’on organise un atelier en ligne, on ne se rend pas forcément compte de tout le travail que cela demande en amont pour un seul atelier (brief, proposition commerciale, communication aux collaborateurs, booking des agendas…). L’idée de base était donc de concevoir un site internet qui recenserait l’ensemble des ateliers que je proposerais et d’automatiser toutes ces tâches chronophages.

J’ai donc fait appel à une développeuse web, Amandine Arnould (qui deviendra par la suite mon associée), nous avons commencé à travailler sur le projet et rapidement, nous nous sommes rendus compte que le projet prendrait une toute autre ampleur et serait bien plus vertueux si tous les animateurs/formateurs proposaient leurs contenus.

Que propose atomota ?

Pour les entreprises : réserver des événements en ligne et partager l’information à tout ou partie de de leurs collaborateurs, le tout en quelques clics seulement. De profiter de la formation et de faire un  retour d’expériences. Simple, rapide, des tarifs attractifs et un suivi poussé.

Pour les animateurs / formateurs : reprendre le pouvoir ! C’est eux qui détiennent la compétence et l’expertise, ils devraient pouvoir fixer leurs conditions.

Est-ce une plateforme de formation spécialisée sur les sujets de sensibilisation au handicap ou proposez-vous d’autres événements ? 

Nous sommes spécialisés sur les sujets liés au handicap, mais pas uniquement à la sensibilisation. Les TIH peuvent, évidemment, avoir un domaine d’expertise qui n’est pas lié au handicap. Nous souhaitons même encourager le partage de ce type d’expertise sur la plateforme. Nous sommes persuadés que cela sera un vecteur puissant pour opérer des déclics et un réel changement de perspective dans la tête des participants.

Comment est-ce que la plateforme met en avant, les Travailleurs Indépendants Handicapés ?

D’abord, en leur donnant un espace de créativité : “c’est votre profil, c’est vos compétences, à vous !”.

Par facilité, les entreprises font appel à des agences ou à des organismes de formation, qui ensuite vont faire travailler les formateurs. Cela a malheureusement pour effet de brider la créativité et les capacités d’innovation de personnes qui ont pourtant dû s’adapter, compenser, innover toute ou partie de leur vie.

Après, pour celles et ceux qui le souhaitent, nous les accompagnons dans la rédaction et même la création de leurs contenus. Nous avons un vrai rôle de conseil vis-à-vis de nos formateurs. Nous proposons également la mise à disposition d’un “assistant” pour les visioconférences. Par exemple, pour les personnes déficientes visuelles, il peut être complexe de faire rentrer les participants dans la réunion, de lire les questions dans le chat, de donner la parole lors d’un atelier. L’assistant va donc gérer toutes les tâches qui pourraient mettre en difficulté l’animateur.

Enfin, nous sommes convaincus qu’avec la force du nombre, la plateforme atomota donnera un gain de visibilité à l’ensemble des animateurs.

Quels types d’ateliers proposez-vous par exemple ?  

A termes, on l’espère, tout type d’atelier sur des sujets très variés (en fonction de l’expertise des animateurs). Aujourd’hui, des ateliers autour du bien-être et de la QVT, des initiations à la Langue des Signes Française, des “quiz et jeux”.

A qui s’adresse ton projet ? Qui sont tes clients ?

A toutes les entreprises qui souhaitent pratiquer la sensibilisation au handicap ou proposer à leurs collaborateurs des ateliers et formations sur des sujets divers, mais toujours traité un peu différemment puisque dispensé par des personnes issus de cette diversité.

Nous ciblons particulièrement les entreprises de plus de 20 salariés qui ne respectent pas (encore) l’obligation d’emploi de travailleurs handicapés et qui, donc, paie une taxe à l’agefiph ou au fiphfp.

Faire de la sensibilisation au handicap, tout comme faire appel au secteur protégé et adapté (dont les TIH font partie), permet de réduire la “taxe”.

Quelles sont les valeurs de ton projet, ta promesse ? Ce qui te tient à cœur ?

Demain ? La promesse d’un monde plus inclusif !

Nous souhaitons faciliter au maximum les conditions de la rencontre avec nos “experts” du handicap. Nous souhaitons mettre de la diversité, même ponctuellement, le temps d’un atelier, dans les équipes de nos entreprises partenaires.

Nous souhaitons, in fine, rendre le handicap “banal” mais au sens mélioratif du terme : nous rêvons d’un monde où le handicap ne serait plus vu comme quelque chose de pesant, de lourd, de difficile à gérer. Mais plutôt comme une opportunité : une opportunité de s’adapter, de créer, d’innover.

Mais il y a du travail, nous allons procéder par étapes ;)

Le petit + à tes yeux, de la plateforme ?

Le petit plus produit, c’est que la plateforme a été pensée pour tous !

Déjà en termes d’accessibilité (normal quand on fait notre métier, mais c’est toujours bien de le dire).

Ensuite, pour les entreprises, la plateforme est adaptée à toute taille de structure. Pour les petites PME, des événements pour tous les budgets, et pour les grosses entreprises, la possibilité de créer des équipes et de communiquer la bonne formation aux bons collaborateurs et ce, en quelques clics.

Et pour l’ensemble de nos utilisateurs, une mise en relation directe qui permet aux deux parties d’échanger (via un chat) et permet donc de créer des ateliers sur-mesure, pleinement adaptés aux problématiques des clients, en tenant compte, bien sûr, des expertises du formateur.

Quelles perspectives d’évolution ?

Nous avons deux grandes perspectives d’évolution :

  • proposer des abonnements aux entreprises avec des propositions mensuelles d’ateliers, de formations et de conférences pertinentes en fonction de ce qu’ils ont proposé auparavant à leurs collaborateurs et de ce que ces derniers ont préféré.
  • proposer également du présentiel. Nous sommes persuadés que le digital est un formidable outil pour diffuser des messages plus facilement et pour tous les budgets. Cela étant, nous sommes aussi convaincus que rien ne remplace la rencontre.

Le mot de la fin ? Un message à faire passer aux entreprises ?

Le handicap est une incroyable source d’innovation, faites-en profiter vos équipes ! ;)

 

Réservez vos ateliers, par ici : https://www.atomota.fr/

 

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Recruter plus juste

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Maki : un outil s’appuie sur des tests de compétences pour évaluer les candidats

 

Nous sommes heureuses de vous présenter Maxime Legardez, co-fondateur de Maki.

Bonjour Maxime, et merci infiniment de répondre à nos questions !

Chez Enoa, cabinet de recrutement, nous sommes sensibles aux évolutions du marché de l’emploi et aux nouvelles méthodes de recrutement.

 

Bonjour Maxime, peux-tu nous présenter ton parcours et ton rôle chez Maki ?

Je suis l’un des trois associés de Maki et CEO. Nous avons démarré l’aventure Maki l’été 2021 donc il y a maintenant un peu plus d’un an.

Sur mon parcours : Je suis originaire du nord de la France. Dès que j’ai pu, je suis devenu entrepreneur. J’ai passé une dizaine d’années chez Rocket Internet, où j’ai eu l’opportunité de développer pleins de start up. J’ai commencé en Allemagne dans une boîte qui s’appelle Tirendo. Cette boîte a été vendue donc je suis allé en Asie du Sud-Est. J’ai monté un city commerce qui vend des lunettes de soleil & lunettes de vue qui s’appelle my glasses on line. Puis, je suis allé en Russie, au Kazakhstan et en Ukraine et j’ai dirigé pendant un an food Panda, qui était la première vague de livraison de nourriture à domicile. J’ai fini par aller le développer au Brésil, qui est l’un de nos plus grands marchés. Par la suite, j’ai monté une autre boîte qui s’appelle Vaniday, qui est une plateforme de réservation de beauté en ligne comme on a pour La Fourchette avec les restaurants, mais sur le secteur de la beauté.

Et quand tu rentres en France, encore une autre aventure ?

Oui je suis rentré en 2016 en France pour monter Everoad, spécialisé dans l’optimisation du transport routier de marchandises, que j’ai vendu en 2020. Et c’est à partir de ce moment-là que j’ai réfléchi à ma prochaine étape et, avec deux de mes anciens manager, nous avons créé Maki.

Peux-tu nous en dire plus sur Maki ? Comment est venue l’idée ?

Je voulais créer un business qui réponde à trois critères :

  • Développer quelque chose qui me plaise !
  • Deuxième critère : un business qui ait un impact sociétal ou environnemental.
  • Et enfin : créer une solution qui puisse être utilisée aux quatre coins du monde.

J’ai commencé à regarder différents secteurs de l’industrie et à me projeter en me disant : à quoi ressemblera l’entreprise dans 10, 20, 30 ans ? dans quel type d’entreprises travailleront mes enfants ? Sur ces problématiques, on s’interroge sur comment on travaille, où on travaille, comment on recrute…. Toutes ces thématiques m’intéressaient ! Du coup, j’ai commencé à me plonger sur tous les sujets autour de l’expérience candidat, le recrutement objectif, la diversité… J’ai rencontré beaucoup de DRH de start up comme de grands groupes. Et après toute cette phase d’échange et d’observation, on a décidé de se lancer à 100 %.

Que propose Maki ?

L’idée est de permettre de gagner du temps car le recrutement reste aujourd’hui une activité extrêmement chronophage. D’être beaucoup plus objectif, c’est à dire basé uniquement sur les compétences des candidats. Proposer des recrutements qui soient beaucoup plus fun aussi, d’un point de vue expérience candidat. Et enfin proposer un process de recrutement qui soit plus juste en intégrant les notions d’inclusion, de diversité et d’égalité des chances.

Concrètement, la première brique produit qu’on a développée, c’est un outil en anglais qu’on dit de Pré Assessment, qui permet en moins de trois minutes à un recruteur  ou manager de tester les aptitudes des candidats (soft skills et hard skills). Le but c’est que ce soit extrêmement simple à passer et simple à partager aux candidats.  L’objectif : que les recruteurs gagnent du temps, entre 40 à 70 % en amont du processus de recrutement.

En plus de gagner du temps, l’idée est de pouvoir créer une expérience candidat la plus fluide possible. On propose une expérience immersive, simple, agréable.

Enfin, l’idée est de ne passer à côté d’aucun talent caché. Trop de candidats sont encore mis de côté parce qu’ils n’ont pas le bon nom de famille, le bon nom d’école, le bon parcours….

Peux-tu me détailler les tests précis que vous proposez ?

Nous avons plus de 160 tests, qui répondent tous à trois critères :

  • Le premier c’est que le test devait être ludique et court pour que les candidats aiment les passer.
  • Le deuxième, c’est que ce sont des tests faits par des experts.
  • Le troisième, c’est qu’ils doivent couvrir toutes les dimensions importantes à évaluer quand on veut recruter.

Tu vas retrouver des tests de personnalité qui ont été faits par des profs de Harvard, Columbia, Cambridge, etc. Sur des modèles déjà existants dans le monde.

Tu vas retrouver des tests d’habilité cognitive pour s’assurer que les candidats savent raisonner, régler un problème, être attentifs …

Nous avons également des tests d’outils ; savoir utiliser Excel, World…Et des tests de compétences métiers (marketing, service client, comptabilité, finance…).

Enfin, nous avons aussi des tests transverses : diversité, inclusion dans une équipe, capacité à faire un feedback…

A côté de cette « bibliothèque » de tests, tu peux aussi complètement personnaliser, customiser ton assesment.

Tu peux, par exemple, partir d’un test que tu utilises déjà au sein de ton entreprise et y intégrer des modules de nos tests.

Et sinon…d’où vient le nom Maki ? 

C’est une bonne question ! Le Maki catta, c’est un petit lémurien qui vit à Madagascar et qui a comme particularité de vivre en bande et d’être extrêmement agile. En tout cas, dans son milieu. On trouvait marrant l’image. Et en plus, c’est un mot universel et connu aux quatre coins du monde. Donc c’est aussi extra pratique.

Nous avons parlé, au début de l’ITV, de la naissance de Maki. Aujourd’hui, quelle est votre promesse ? Ce qui te tient particulièrement à cœur ? Vos valeurs ?

Pour nous, il y a vraiment deux points à améliorer de façon urgente sur le sujet du recrutement et qui rejoignent nos envies, notre promesse chez Maki.

D’une part, proposer une véritable expérience de recrutement aux candidats et leur proposer des job, des missions qui aient du sens pour eux, sur lesquels ils se sentent investis et utiles.  Notre souhait est de donner envie aux candidats de postuler à un job en étant mieux armés, de s’assurer un maximum de chance de trouver …le job de leurs rêves. Ensuite, proposer des process de recrutement les plus inclusifs possibles et faire de la diversité un des enjeux majeurs des entreprises. Il y a encore beaucoup de progrès à faire sur le sujet.

Et sur vos perspectives de croissance ?

On est déjà extrêmement contents car nos clients sont aujourd’hui de super ambassadeurs qui utilisent Maki et en parlent autour d’eux !

L’idée est maintenant d’accélérer notre développement à l’international et de continuer, toujours, à améliorer notre produit, l’expérience que l’on propose, aussi bien côté recruteur, que côté candidat.

Le mot de la fin? Un message à faire passer ?

Un message pour les candidats qui postulent : « You are more than your cv ».

Le CV n’est plus révélateur de ce que tu « es ». S’arrêter au CV peut même être dangereux.

Faîtes vous confiance, développez vos soft skills !

Merci Maxime ! A bientôt :)

Vous souhaitez en savoir plus : https://www.makipeople.com/fr/

 

 

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Zoom sur Qobra

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Qobra : le logiciel de gestion de la rémunération variable des commerciaux, conçu pour les équipes commerciales, opérations, finance et RH

 

Fidéliser ses talents passe par une somme d’actions, et en particulier un pilotage simple des objectifs et de la rémunération variable. C’est l’objectif de Qobra, qui permet aux managers de faciliter la rémunération des commerciaux. Nous sommes heureuses de vous présenter aujourd’hui Antoine Fort, Co-fondateur et CEO de Qobra

Bonjour Antoine, merci de prendre le temps de répondre à nos questions :)

 

Peux-tu stp te présenter dans les grandes lignes : ton parcours et ton rôle chez Qobra ?

Antoine, cofondateur et CEO de Qobra. Je me suis historiquement occupé de toute la partie vente chez Qobra. J’ai un diplôme d’ingénieur de Centrale Paris et j’ai directement créé Qobra après l’école avec mes associés, Tanguy Moullec et Axel Poitral.

Peux-tu nous en dire plus sur Qobra ? Comment est venue l’idée ?

Qobra, c’est la plateforme dédiée à la performance et la rétention des commerciaux. L’idée est naturellement venue en regardant des entrepreneurs, dirigeants et commerciaux de mon réseau fonctionner sur des fichiers Excel. Pourtant, tous me répétaient l’importance stratégique d’un tel sujet. L’opportunité était là, il ne restait plus qu’à la saisir.

Que propose Qobra concrètement ?

On développe un SaaS B2B qui permet de gérer la rémunération variable des commerciaux. Qobra se synchronise aux différents CRM et ERP du marché et permet de gérer les différents plans de commissionnement, tout en offrant de la visibilité en temps réel aux commerciaux pour 1/ booster leur motivation 2/ diminuer le turnover.

A qui s’adresse cet outil ? Qui sont tes clients ?

Nous avons près de 50 clients, dont Doctolib (500 Sales), Spendesk (150 Sales), Agicap (100 Sales) … et venons de lever 5M€. Les entreprises de tous secteurs, toutes géographies, à partir de 20 commerciaux sont concernées.

Quelles sont les valeurs de ton projet, ta promesse ? Ce qui te tient à cœur !

Notre promesse, c’est de mettre fin à la frustration des commerciaux et de les aider à être plus performants. C’est si dommage de voir des équipes s’entre-déchirer sur le sujet des commissions, alors que le variable devrait être un levier de motivation, et pas de frustration.

Quelles perspectives d’évolution ?

Territoires de vente, fixation des objectifs, planification commerciale .. le variable des commerciaux n’est qu’une porte d’entrée vers une plateforme plus globale !

Le mot de la fin ? Un message à faire passer aux managers et aux dirigeants ?

Investissez dans votre équipe ! Comme le disait Mark Roberge, ex-VP Sales de Hubspot : “Que vous soyiez CEO ou VP Sales, le variable des commerciaux est certainement l’outil le plus puissant à votre disposition pour atteindre vos objectifs business.”

 

Merci pour ton temps Antoine!

Vous souhaitez en savoir plus : https://fr.qobra.co/

 

 

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RH à temps partagé

DRH à temps partagé

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5 bonnes raisons de faire appel à un RH à temps partagé

 

Que ce soit pour intégrer des nouveaux talents dans votre entreprise, les fidéliser, travailler votre marque employeur, ou tout simplement pour prendre en charge des sujets réglementaires, les services d’un RH sont indispensables. Toutes les organisations n’ont pas la possibilité financière, ou le besoin, de recruter un RH en CDI et à temps plein. Pour elles, des solutions existent. Celle notamment de recourir aux services d’un RH à temps partagé est de plus en plus plébiscitée. Voici cinq raisons de sauter le pas !

Un RH à temps partagé répond aux justes besoins de l’entreprise qu’il accompagne 

Vous avez besoin d’un RH prompt à mettre en place les actions nécessaires aux besoins de votre entreprise, sans être mobilisé sur un temps complet ? Un RH à temps partagé évaluera, avec vous, vos besoins RH et la charge de travail correspondante. Une fois le devis signé, il vous fera bénéficier de son œil neuf et de son expertise. Il adressera les sujets pour lesquels vous le mobilisez : attractivité, fidélisation, conflits, perte de performance, vague de démissions, refonte du sujet paies, travail avec les partenaires sociaux sur la mise en place du télétravail…

Il propose une solution flexible

Prestataire de services, le RH à temps partagé n’est pas à confondre avec un RH à temps partiel (avec lequel vous auriez signé un CDD ou un CDI). La prestation, qu’elle soit prévue sur du long terme ou en mode « one shot », pourra évoluer dans le temps. Le tarif du RH à temps partagé sera défini en début de mission. Si les besoins deviennent plus importants, ou s’ils sont revus à la baisse, vous pourrez rediscuter de la mission avec votre RH – le montant des factures évoluera aussi. Si vous n’êtes pas satisfait, ou si vous connaissez un aléa financier, vous pourrez mettre fin à la mission, sans risque financier.

Un RH à temps partagé a une forte expertise, en lien avec les besoins des entreprises qu’ils accompagnent

Parmi les avantages à faire appel à un RH à temps partagé, citons également celui-ci. Recruter un RH sénior à temps complet, cela a un coût – Un coût important. Lorsqu’un RH fait le choix de devenir RH à temps partagé, il a le plus souvent atteint un niveau d’expertise élevé qui lui permet de jongler avec les sujets très divers de ses clients. Vous bénéficiez donc de l’expertise importante d’un RH senior pour un budget annuel inférieur à celui d’un RH au niveau similaire, mais salarié sur un poste à temps plein.

Il connaît les équipes et les enjeux des entreprises qu’il accompagne aussi bien qu’un RH en interne

Même à temps partagé, et même avec son statut de prestataire de services, le RH à temps partagé prendra régulièrement le temps de faire le tour des bureaux pour prendre le pouls des salariés. Rapidement, il connaîtra chacun d’eux. Il jaugera le climat social de l’entreprise. Il gérera chaque dossier avec tout le professionnalisme que vous pourrez attendre de lui. Il saura vous conseiller au même titre qu’un “RH maison”.

Il sait se rendre disponible pour ses clients en cas d’urgence

Si la mission d’un RH à temps partagé est évidemment cadrée, et que le RH est mobilisé sur des jours précis pour votre entreprise, il ne sera jamais aux abonnés absents. En cas d’urgence RH, il ne vous laissera pas tomber. Le sens du service propre aux fonctions RH engagera votre RH à temps partagé à prendre le temps de vous prodiguer un conseil, d’“éteindre un feu”, et ce même s’il est chez un autre client. Cela en toute transparence.

 

3 questions à Aurélie Prévault, consultante en recrutement chez Enoa

Pourquoi avoir développé chez Enoa, cette possibilité de faire appel à des RH à temps partagé ?

Nous pensons que chaque entreprise, à partir de 15 collaborateurs, doit réfléchir à son organisation RH. Notre offre Enoa Conseil, intègre trois briques : stratégie RH, acquisition de talents, fidélisation des collaborateurs – toujours avec cette proposition de valeur : désacraliser le sujet des RH, accompagner les dirigeants, faciliter leur compréhension des fonctions RH. En permettant l’accès aux RH à temps partagé, nous rendons les RH accessibles à des entreprises qui n’en ont pas. C’est une porte d’entrée pour commencer à se familiariser, se confronter, mettre en place des actions.

Quelles typologies d’entreprises font appel à des RH à temps partagé ?

Il y a deux grandes typologies d’entreprises qui font appel aux RH à temps partagé. La première, ce sont les structures qui ne peuvent pas se permettre, financièrement, d’avoir un RH salarié à temps complet mais qui ont néanmoins besoin d’un RH un ou deux jours par semaine. Cela pour démêler un certain nombre de sujets (réglementaires, de recrutement, d’intégration et de fidélisation si la structure se développe…). La seconde, ce sont les entreprises de taille plus importante, qui n’ont pas d’équipe RH en interne et qui sont confrontées à une problématique précise (transformation, accélération, frein dans le business…) Elles font appel à un RH à temps partagé pour gérer cette problématique. Parfois, c’est en amont d’un recrutement plus pérenne.

La demande est-elle croissante aujourd’hui ?

Dans la même veine que l’augmentation des freelances, de la prestation de service en général, la réponse est oui. La collaboration avec un RH à temps partagé permet plus de souplesse, plus de réactivité. Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à envisager ce type de collaboration, à faire le test qui est en général très concluant pour elles.

 

 

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Entreprise à mission, késako ?

Entreprise à Mission

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Si vous n’êtes pas encore une entreprise à mission, vous allez le devenir

 

C’est un challenge majeur pour les entreprises d’aujourd’hui et de demain. C’est clé pour les recruteurs – Ces derniers ont à cœur de répondre aux enjeux de quête de sens, d’attractivité, de fidélisation des collaborateurs. Devenir une entreprise à mission inspire pourtant souvent bon nombre de questions. Pourquoi et comment devenir une entreprise à mission ? Comment définir (et faire vivre) la raison d’être de votre entreprise ? Le tout sans bullshit ? On fait le point avec vous..

Entreprise à mission : un impératif en 2022

Cela fait quelque temps qu’on l’entend monter, cette petite musique. Et force est de constater que de plus en plus d’entreprises ont envie de l’écouter !

Clients, consommateurs, et plus largement individus, attendent des organisations qu’elles jouent un rôle social et/ou environnemental, en plus de leur rôle économique. Ils veulent les voir participer, à leur niveau, à relever certains des grands défis mondiaux (protection de l’environnement, réduction de la pauvreté et des inégalités, éducation…). De fait, il est question aujourd’hui, pour toutes les entreprises, d’apporter des réponses à ce besoin (besoin que partagent bien souvent les dirigeants). Et une partie d’entre elles prennent le chemin de l’entreprise à mission.

La loi PACTE de 2019 a officialisé la qualité de société à mission (ou entreprise à mission). Avec elle, il s’agit d’inscrire dans les statuts de l’entreprise la notion de raison d’être de l’entreprise, un ou plusieurs engagements sociaux et environnementaux, les modalités de suivi de l’exécution des missions. Le but ? Rechercher la réussite financière de l’entreprise tout en contribuant à l’intérêt général. La vocation d’une entreprise ne peut plus être, aujourd’hui et demain, exclusivement d’engranger des bénéfices. Elles sont attendues sur les sujets liés à la  Responsabilité Sociétale des entreprises (RSE), sur les engagements qu’elles peuvent avoir…

Avoir officialisé, dans les statuts de l’entreprise, une raison d’être, des engagements, c’est d’ailleurs un point différenciant pour les candidats (et les salariés d’une organisation), quelle que soit la taille de l’entreprise.

Alors, prêts à devenir une entreprise à mission ?

Devenir une entreprise à mission

L’article 176 de la loi n°2019-486 du 22 mai 2019 relative à la croissance et la transformation des entreprises (dite “loi PACTE”) liste, entre autres, les conditions à respecter pour une entreprise qui souhaite “faire publiquement état de la qualité de société à mission” :

« 1° Ses statuts précisent une raison d’être, au sens de l’article 1835 du code civil ;

« 2° Ses statuts précisent un ou plusieurs objectifs sociaux et environnementaux que la société se donne pour mission de poursuivre dans le cadre de son activité ;

« 3° Ses statuts précisent les modalités du suivi de l’exécution de la mission mentionnée au 2°. Ces modalités prévoient qu’un comité de mission, distinct des organes sociaux prévus par le présent livre et devant comporter au moins un salarié, est chargé exclusivement de ce suivi et présente annuellement un rapport joint au rapport de gestion, mentionné à l’article L. 232-1 du présent code, à l’assemblée chargée de l’approbation des comptes de la société. Ce comité procède à toute vérification qu’il juge opportune et se fait communiquer tout document nécessaire au suivi de l’exécution de la mission ;

« 4° L’exécution des objectifs sociaux et environnementaux mentionnés au 2° fait l’objet d’une vérification par un organisme tiers indépendant, selon des modalités et une publicité définies par décret en Conseil d’Etat. Cette vérification donne lieu à un avis joint au rapport mentionné au 3° ;

« 5° La société déclare sa qualité de société à mission au greffier du tribunal de commerce, qui la publie, sous réserve de la conformité de ses statuts aux conditions mentionnées aux 1° à 3°, au registre du commerce et des sociétés, dans des conditions précisées par décret en Conseil d’Etat.

Entreprise à mission : engager les équipes

Quelques exemples d’entreprises à mission ? Danone, MAIF, Aigle, le Groupe Rocher, la Banque postale, pour ne citer qu’elles.

Les entreprises qui se sont déjà lancées font souvent ces mêmes constats : la raison d’être de l’entreprise gagne à être portée et incarnée par la direction. Elle doit aussi être co-construite en interne, avec l’ensemble des collaborateurs et collaboratrices. C’est généralement un long processus. Lorsque les équipes participent à la définition (ou à la redéfinition) de cette raison d’être, elles sont plus à même, par la suite, de la porter en interne et à l’externe. Cela augure des échanges passionnés, une réflexion dans la durée, et une nécessité de se préparer à la plus grande cohérence. Les partenaires et fournisseurs, seront, par exemple, choisis en conscience, dans le respect de raison d’être de l’entreprise. Enfin, sur le chemin de l’entreprise à mission, le bulshitt et le washing n’ont pas droit de cité, les slogans pensés pour marquer les esprits non plus.

 

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Les clés pour votre démarche RSE

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Les clés pour lancer et piloter votre démarche RSE ?

 

Parce qu’elle est au cœur des préoccupations de vos collaborateurs et de vos clients, qu’elle est un enjeu majeur pour vous, la démarche RSE de votre entreprise est un chemin sur lequel il faut s’engager avec méthodologie, et quelques clés. Par où commencer lorsqu’on souhaite mettre en place sa politique RSE ? Comment la faire grandir ? Pourquoi et comment la promouvoir à l’interne et à l’externe ? Voici nos clés !

Pour que votre démarche soit effective, soyez convaincu

Impossible de conduire une démarche RSE (responsabilité sociétale des entreprises) sans être intimement convaincu de ce que celle-ci peut apporter à l’entreprise et aux collaborateurs, et quel peut être son impact sur le plan social et environnemental. Une bonne démarche RSE est une démarche qui vous ressemble et que vous aurez envie de porter à l’interne et à l’externe. Avant même de réaliser un diagnostic RSE, prenez le temps de poser la raison d’être de l’entreprise mais aussi vos valeurs, celles que vous souhaitez porter à travers votre activité et à travers la manière dont vous la pratiquez.
Si par le passé, la RSE a pu être considérée par certains comme une ligne à part dans la stratégie de l’entreprise, elle doit aujourd’hui être présente dans toutes les actions de celle-ci (dans les grandes entreprises mais aussi dans les TPE/PME). Chacun sait ce qu’elle apporte en termes d’engagement des collaborateurs, de fidélisation clients, de performance globale de l’entreprise, entre autres. Elle doit donc être incarnée par les dirigeants et portée par les équipes.

Il est essentiel d’impliquer les collaborateurs, en plus du management, mais aussi toutes les parties prenantes de l’entreprise. Cela démarre avec la définition de la raison d’être de votre entreprise, évoquée plus haut, et qu’il est judicieux de travailler collectivement, avec les équipes – Ces dernières s’impliquent au quotidien pour faire vivre vos produits ou services. Elles ont une certaine vision de l’entreprise et de ses actions. Cela continue avec les missions des collaborateurs, dans lesquelles la RSE peut être incluse, avec des appels à initiatives pour porter la RSE dans l’entreprise et en dehors… Il est également possible d’intégrer les partenaires, clients, fournisseurs de l’organisation dans la démarche RSE de l’entreprise, en prenant en compte leurs intérêts, leurs préoccupations, mais aussi en valorisant la démarche auprès d’eux, en les sensibilisant. Achats responsables, protection de l’environnement, amélioration continue des conditions de travail, entre autres, méritent d’être mis en avant avec la plus grande transparence.

Faites vivre votre démarche RSE dans le temps

Lorsqu’elle votre démarche RSE est en place, ayez enfin conscience qu’il s’agit de la première étape. Pour qu’elle soit pérenne, une démarche RSE soit non seulement vivre au quotidien dans l’entreprise, être intégrée aux pratiques, être présente à l’occasion d’initiatives dédiées (participation au travail d’une association, évènements en interne…) mais aussi évoluer avec le temps et avec les personnes qui composent l’entreprise. Vos collaborateurs d’aujourd’hui seront rejoints demain par d’autres personnes, avec une personnalité des préoccupations qui leur seront propres. Vos produits et services évolueront peut-être.

Impliquez vos équipes et vos partenaires

Par ailleurs, définissez des KPI, mesurez vos actions, produisez des reportings. Ainsi vous serez assuré de suivre le cap que vous vous êtes fixé, et d’ajuster vos pratiques le cas échéant. Et étudiez l’impact que pourraient avoir certains labels et certaines certifications comme la certification ISO 9001, norme du management de la qualité, la certification ISO 14001, norme du management environnemental, ou encore la norme ISO 26000 qui propose des lignes directrices pour mener une démarche RSE. Plus qu’un acronyme, la RSE peut et doit, plus que jamais, être un guide dans vos pratiques entrepreneuriales et dans l’entreprise.

 

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Zoom sur Le Bon Cheval

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En équipe ou en individuel, renforcez votre leadership et vos soft skills d’une manière inédite puissante et durable, grâce au cheval

 

Fanny Barutel, CEO et fondatrice du cabinet Le Bon Cheval, répond à nos questions.

Chez Enoa nous avons testé l’équicoaching en équipe. Une expérience étonnante, riche en émotions, pleine de surprises, un moment suspendu dans le temps en pleine nature …

On vous recommande vivement de tester l’expérience aux côtés de Fanny.

En attendant on vous en dit plus sur cette pratique encore (trop) peu connue.

 

Quelques mots pour te présenter Fanny ! Es-tu celle qui murmure à l’oreille des chevaux ?

Enchantée !

Alors non, moi c’est plutôt l’inverse : ce sont les chevaux qui murmurent à mes oreilles ;)

Après 10 ans à différents postes RH, j’ai monté mon cabinet, dans lequel je propose entre autres du coaching avec les chevaux, sous forme de séminaire d’équipe ou bien de coaching individuel.

Je travaille aujourd’hui avec des grands groupes ou bien des PME, et toujours sur-mesure en fonction de leurs besoins.

Peux-tu nous raconter l’histoire du Bon Cheval ou comment mettre le pied à l’étrier et se lancer plein fer dans l’entrepreneuriat ?

Je vois que chez Enoa on est calé en expressions équestres !

Jamais je n’aurais imaginé monter mon entreprise un jour ! Initialement, j’ai mis le pied dans l’entrepreneuriat parce que je n’avais pas le choix : j’ai eu envie de me bâtir une vie professionnelle sur mesure, dans laquelle j’étais libre de proposer tout ce en quoi je crois, avec le ton et la manière qui me ressemblent… et je ne reviendrai plus en arrière, j’adore !

Mais concrètement, c’est quoi l’équicoaching ? 

L’équicoaching c’est l’accompagnement assisté par le cheval.

Il s’agit d’un accompagnement (individuel ou en équipe) où le cheval intervient comme miroir grossissant du comportement et des intentions du/des participants.

Le cheval est un être extra sensible, à qui on ne peut pas mentir, et qui révèle à coup sûr où vous en êtes de votre posture, de votre intelligence émotionnelle et relationnelle. Il est un accélérateur de prise de conscience en matière de soft skills (et notamment leadership) et d’intelligence collective.

Si le cheval a réussi à survivre aux millénaires, c’est grâce à sa grande intelligence sociale et émotionnelle, dont nous nous inspirons dans les séminaires.

A qui s’adresse l’équicoaching ? Qui sont tes cibles/clients ? 

A vrai dire, l’équicoaching s’adresse à tous.

En ce qui me concerne, j’interviens uniquement sur les problématiques professionnelles, et mes clients sont soit des particuliers soit des entreprises.

Pourquoi est-ce qu’on utilise des chevaux tout particulièrement ? 

Le cheval est une proie, ce qui le rend hypersensible à son environnement, et il en va de sa survie. Il est un maître pour percevoir tous les micro-signaux de nos comportements, le moindre clignement d’œil, la variation de notre rythme cardiaque… il ressent nos émotions, nos intentions et même celles dont nous n’avons pas encore conscience, et les reflète par son comportement.

Son non-jugement : Le cheval n’est ni poli ni impoli, ni gentil ni méchant. Il est dépourvu de jugement ou d’intention à notre égard, il n’a que faire de votre statut social. Son retour est nécessairement juste et objectif, sans tricherie ni faux-semblant.

Son feedback est instantané : Le cheval n’anticipe pas le futur et ne ressasse pas le passé, contrairement à nous ! Il ne vit que dans le présent, et ne réagit qu’à ce qu’il se passe « dans l’instant » pour lui : il est le miroir exact de ce qui se passe au moment précis où cela se passe.

Son rapport aux émotionsQuand vous êtes en train de réfléchir, dans vos pensées, le cheval ne ressent plus rien et se déconnecte instantanément de vous. Il nous oblige alors à quitter notre seule tête pour habiter notre corps et nos ressentis.

Sa vie sociale : Comme nous, le cheval vit en communauté. Il est un as de la collaboration. Dans un groupe, chaque cheval a un rôle à jouer selon ses aptitudes : certains auront le rôle de garantir la sécurité du troupeau, d’autres de trouver les meilleurs points de nourriture par exemple.

Pourquoi faire appel à un.e equicoach (pour aller chercher quoi) ?

Bien souvent, je suis sollicitée sur les thèmes du leadership, de la cohésion d’équipe de l’intelligence relationnelle, l’intelligence émotionnelle et l’intelligence collective.

Dans des accompagnements individuels, on peut travailler sur des thèmes type gagner en leadership, l’affirmation de soi, la réussite de sa prise de poste etc, la gestion des émotions et du stress, la confiance en soi, etc.

Dans les séminaires collectifs, le travail peut également porter sur ces thèmes-là bien sûr, et ils revêtissent également une dimension collective : intelligence collective, collaboration efficace, cohésion d’équipe etc.

Faut-il savoir monter à cheval ? Et si nous n’avons pas le pied cavalier ou … simplement peur ?

L’équicoaching n’est absolument pas de l’équitation !

Tout le monde garde ses pieds au sol !

Nous travaillons en interaction avec un ou plusieurs chevaux en liberté. Sans contrainte, l’animal est ainsi libre de s’exprimer et de bouger.

Il n’est pas rare qu’il y ait une personne inquiète par les chevaux dans un groupe. La mise en contact avec les chevaux est progressive tout au long de la journée, de manière à faire connaissance en douceur avec cette grande bête. Par ailleurs la peur s’accompagne, se gère, et si certains exercices sont « too much » pour le participant il n’y a pas de problème, nous lui trouverons une autre façon d’y participer !

Peux-tu nous décrire une journée de séminaire d’équicoaching ? 

Le contenu de la journée est toujours sur-mesure. Il est étroitement lié à la demande du client, au niveau de maturité des équipes et des outils ou acquis déjà présents dans l’entreprise.

En ce qui me concerne, j’ai mis en place un itinéraire pédagogique en deux temps : je pars du principe que pour bien fonctionner en collectif sur un thème donné, il faut déjà se connaître personnellement sur ce même thème. Par conséquent, la journée est divisée en deux grands moments : des ateliers individuels puis des ateliers collectifs.

Nous sommes bien d’accord que les participants ne managent pas des poneys au quotidien (parfois des bourrins, éventuellement 12), par conséquent nous passons du temps en débriefing à la fin de chaque expérience : je traduis au participant le feedback délivré par le cheval, et nous avons un temps d’échange autour des transpositions entre ce qui vient de se jouer avec le cheval et ce qui se joue dans la vie professionnelle du participant.

Selon quels critères les chevaux sont choisis pour une journée d’équicoaching ? 

Je dirais qu’il y a avant tout un vrai critère de caractère : avant un séminaire, j’évalue les chevaux qui vont être utilisés afin de m’assurer de leur curiosité et de leur respect envers l’homme, mais aussi pour cerner leur caractère, car selon les sujets il peut être intéressant d’avoir des chevaux au caractère bien précis.

D’une manière générale, nous évitons les chevaux trop grands qui pourraient être trop impressionnants pour les clients. Certains exercices supposent par ailleurs plutôt d’utiliser des petits poneys.

Que peux-tu nous dire sur l’éthique et le bien être animal dans ton métier ?

Comme je le disais, les chevaux sont évalués avant d’être utilisés en équicoaching. Il en va de la sécurité des participants mais aussi de la sécurité des chevaux eux-mêmes : bien sûr ils doivent être physiquement aptes, mais aussi ils doivent être émotionnellement capable d’accueillir les participants. Et cela pour deux raisons : la plupart ne connaissent pas le cheval, isl feront de leur mieux mais il y a fort à parier que les gestes ne soient pas toujours le plus précis / adaptés qu’ils soient. Et deuxième raison majeure, beaucoup d’émotions et d’énergies circulent pendant les interactions avec les chevaux, et tous ne sont pas prêts à accueillir tout cela. Pour faire une comparaison avec nous autres humains : tout le monde n’est pas fait pour faire le même métier, et nous avons tous un seuil de tolérance différent aux émotions de l’autre. Et bien pour les chevaux c’est pareil. Certains seront de formidables coachs équins, d’autres seront formidables pour d’autres activités.

Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier et que tu as envie de transmettre ?

Pendant mes 10 années en tant que RH, j’ai souvent trouvé que les formations autour des soft skills manquaient de concret et d’impact dans le temps, et ça me frustrait beaucoup.

Selon moi c’est notamment dû au fait qu’il n’est pas toujours évident de s’approprier concrètement, pour soi, des postures qu’il nous ait conseillé de développer.

Prenons la fameuse formation au leadership par exemple : Nous « comprenons » (dans notre tête !!) tous ce qu’est le leadership, mais il y a plusieurs façons efficaces de l’incarner efficacement. Certaines nous conviendront plus ou moins.

Je peux jouer le jeu du leader alpha pour faire plaisir à mon formateur, mais si ce n’est « pas moi », je ne me servirai jamais de cette posture en dehors de la salle de formation. Hors vous ne pouvez pas faire plaisir à un cheval : vous êtes convaincu (et donc convainquant) ou vous ne l’êtes pas, et à ce moment-là on cherche ensemble quelles ressources mobiliser pour obtenir un résultat satisfaisant. La solution trouvée sera VOTRE solution.

Pour moi, s’il faut avoir une chose en tête, c’est que les soft skills ne devraient pas s’apprendre uniquement dans une salle de réunion, car cela ne mobilise pas seulement une « énergie de tête », mais véritablement s’expérimenter, se vivre pour « entrer dans les muscles ».

Penser et comprendre ce qu’on souhaite développer c’est super, mais vivre je vous promets que c’est encore mieux !

Vous souhaitez en savoir plus : https://www.cabinetlbc.com/

 

Retrouvez tous nos focus découverte, par ici 

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Bonanza – Recrutez des 18-35 ans

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Avec Bonanza, diffusez vos campagnes de recrutement sur les réseaux sociaux

 

La recherche des talents devient l’un des enjeux majeurs des entreprises.

Enoa s’intéresse aux solutions digitales innovantes qui bousculent les méthodes de chasse classique.

Nous sommes heureuses de vous présenter aujourd’hui Mathieu Marziou, Directeur des relations entreprises chez Bonanza.

Bonjour Mathieu , merci de prendre le temps de répondre à nos questions :)

Peux-tu stp te présenter dans les grandes lignes : ton parcours et ton rôle chez Bonanza.

Hello la team Enoa. Mon parcours est assez bref car j’ai monté Bonanza avec Franck Magnan directement en sortie d’école fin 2016 :).

Au sein de Bonanza, je suis en charge de la stratégie et du développement commercial.

Peux-tu nous en dire plus sur Bonanza ? Comment est venue l’idée ? 

L’entreprise est spécialisée dans le recrutement sur les réseaux sociaux (Facebook, Instagram, TikTok, Twitter…) L’idée nous est venue alors que nous cherchions notre stage de fin d’étude.

Nous nous sommes rendu compte des difficultés de recrutement qu’il pouvait y avoir, côté entreprise, comme candidat et que les réseaux sociaux n’étaient pas ou peu utilisés, alors que cela représente un terrain de chasse important pour les entreprises étant donné le temps que nous passons tous dessus…

Que propose Bonanza concrètement ?

Concrètement, nous proposons à nos clients d’élargir leur vivier de recrutement en allant chercher des candidats actifs et passifs sur les réseaux sociaux. Des candidats qu’ils n’auraient pas trouvé sur Linkedin ou les Jobboards.

Pour cela, nous diffusons leurs offres d’emplois sur les réseaux sociaux sous forme de publicité. Nos algorithmes automatisent ensuite le placement publicitaire en fonction de la performance de la campagne.

A qui s’adresse ton projet ? Qui sont tes clients ? 

Cela s’adresse aux entreprises qui connaissent des problématiques de recrutement  et/ou qui souhaitent développer leur image sur les réseaux sociaux. Nous collaborons avec plus de 150 entreprises, (généralement ETI,  Grand compte et quelque PME)  sur tous secteurs d’activité.

Parmi nos clients nous comptons : Caterpillar, Umanis, L’Oréal, Suez, TIP Trailer Service, RATPDev, La Caisse d’Épargne

Quelles sont les valeurs de ton projet, ta promesse ? Ce qui te tient à cœur !

C’est de pouvoir faire découvrir à un grand nombre de personnes les métiers de nos clients.

À notre humble niveau, nous permettons aux futurs candidats de découvrir des métiers et de postuler à des entreprises auxquelles ils n’auraient pas pensé jusqu’à présent !

Quelles perspectives d’évolution ? 

De nombreuses perspectives d’évolution sont prévues sur 2022/2023. Premièrement, nous recrutons plusieurs profils techs pour consolider la technologie Bonanza et développer de nouvelles offres. Nous prévoyons d’attaquer le marché européen fin 2023, les problématiques de recrutement y sont autant présentes que sur le marché français. Et, également de développer notre offre afin de la rendre plus accessible au TPE.

Le mot de la fin ? Un message à faire passer aux candidats et aux entreprises ? 

Une petite citation : L’emploi qu’un homme finit par obtenir est rarement celui pour lequel il se croyait préparé et dans lequel il pensait pouvoir être utile. [Marguerite Yourcenar]

Merci pour ton temps Mathieu !

Vous souhaitez en savoir plus : https://www.bonanza.co/

 

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Découvrez le Parental Challenge

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Vous aussi devenez une entreprise engagée, avec le Parental Challenge 

 

Chez Enoa, le sujet de la parentalité est clé.

Nous rencontrons au quotidien, dans l’exercice de notre profession, beaucoup d’entreprises qui cherchent des solutions/actions à mettre en place autour de la parentalité.

Il y a encore beaucoup à faire ! Et nous avons été séduites par l’approche du Parental Challenge.

Nous sommes ainsi très heureuses de vous présenter aujourd’hui Selma El Mouissi, Lead Program Manager chez Haigo et l’une des 4 co-fondatrices du Parental Challenge.

Bonjour Selma, merci de prendre le temps de répondre à nos questions :) On est vraiment ravies que tu puisses tout nous expliquer !

Qu’est ce que le Parental challenge ?

Le Parental Challenge est un mouvement que j’ai créé avec Judith Aquien, autrice de Trois mois sous silence, le tabou de la condition des femmes en début de grossesse, et Isma Lassouani et Clémence Pagnon, qui sont les co-fondatrices d’Issence, une entreprise dédiée à l’accompagnement de la parentalité en entreprise, grâce à des formations pour les managers, des coaching pour les salarié-es, etc.

Nous ne sommes ni une entreprise, ni une association, et nous avons lancé ce mouvement en parallèle de nos jobs respectifs.

Nous n’avons également aucun objectif de rentabilité financière. Notre seul objectif est d’aider les entreprises à mieux accompagner ce sujet, en leur mettant à disposition des outils concrets et pragmatiques, qui facilitent le passage à l’action.

Concrètement, nous mettons à disposition, gratuitement, sur notre site parentalchallenge.com :

> un guide pratique et très complet qui apporte, à chaque étape de la parentalité, des idées d’actions à lancer pour mieux accompagner les parents-salarié-es, des exemples concrets de mesures mises en place par d’autres entreprises, des rappels du cadre légal…

>une charte : nous invitons les entreprises à la signer pour signifier leur engagement à mettre en œuvre, intégralement, les 12 mesures qui la compose dans l’année suivant leur signature.

Nous avons aujourd’hui 92 organisations signataires de la charte, qui se sont ainsi engagé-es à améliorer le quotidien de leurs 5,493 salarié-es.

Comment vous est venue l’idée de créer ce mouvement ?

Je crois que c’est parti d’abord d’un constat personnel / individuel, lorsque nous avons été confrontées à la maternité. Pour Judith, Isma et moi, cela a été en attendant un enfant, puis en devenant mères. Et pour Clémence, dans son expérience de doula.

Au-delà, de nos expériences personnelles, nous avions toutes les 4 pris conscience du côté systémique de ce problème, avant même de nous rencontrer, et nous avions commencé à agir chacune à notre façon : Judith en écrivant son livre Trois mois sous silence, le tabou de la condition des femmes en début de grossesse (Payot, 2021), Isma et Clémence en montant leur entreprise Issence. Et enfin moi-même lorsque j’ai mené mes recherches pour lancer la première politique parentale d’Haigo, mon entreprise.

Nous avons toutes été confrontées à des statistiques et à des témoignages édifiants.

On peut citer notamment, le fait qu’1 femme sur 10 cache sa grossesse le plus longtemps possible par crainte de la réaction de son employeur (1). Ou que près d’un tiers des femmes ont eu le sentiment que l’annonce de leur grossesse a dérangé leur manager. (2)

Que 66% des parents confient des difficultés de conciliation vie pro – vie perso avec un enfant 0-3 ans. (3)

Que 80% des femmes ont entendu, sur leur lieu de travail, des remarques sexistes liées à la maternité, et 56% des hommes en ont été témoins (4). Par exemple : “Mieux vaut recruter un homme, au moins il ne partira pas en congé maternité” (entendu par 47% de femmes et 29% d’hommes témoins),

Et que 59% des hommes ont entendu, sur leur lieu de travail, des remarques sexistes liées à la paternité, et 60% des femmes en ont été témoins. Par exemple : “C’est pas ta/sa femme qui récupère ton/tes/son/leur enfant(s) le soir ?” (entendu par 44% d’hommes et 43% de femmes témoins) (5),

Nous avions envie d’agir pour que cela cesse. Convaincues que les entreprises pouvaient être à la genèse de grands changements sociétaux, nous souhaitions initier un changement en profondeur du traitement réservé à la parentalité au sein des organisations. C’est pourquoi la charte ne comporte pas 1 mais 12 mesures, et que le coût de ces mesures est bien plus souvent humain et culturel, que financier.

Parle nous de la team Parental Challenge ! Vous êtes 4. Comment vous êtes-vous rencontrées ?

Il y a 2 ans, je suis tombée enceinte, en même temps que 2 autres femmes d’Haigo, l’entreprise que je travaille, qui est un studio de transformation par le design.

Nous sommes une vingtaine de salarié-es et nous n’avions pas eu de parents salarié-es jusqu’à présent. Côté entreprise, on manquait d’expérience pour gérer au mieux la situation, et côté salarié-es on étaient un peu perdues étant donné qu’il n’y avait pas de précédent, et que les choses n’avaient pas encore été processisées, documentées, etc.

Bref, je me posais mille questions aussi terre-à-terre qu’essentielles comme : est-ce que mon salaire va être maintenu à 100% pendant mon congé maternité ?

J’ai posé ces questions au fondateur d’Haigo, Guewen Loussouarn, qui m’a encouragée à recueillir les besoins des collaboratrices concernées pour voir comment Haigo pourrait nous accompagner au mieux. J’ai donc appliqué nos méthodologies design sur nous-mêmes et j’ai construit la 1ère politique parentale d’Haigo, en lançant une dizaine de mesures.

J’ai fait beaucoup de recherches à cette période. Et j’ai rencontré Isma et Clémence lors d’un événement de Welcome To The Jungle consacré à l’accompagnement de la parentalité en entreprise. Avec elle, est née l’idée d’un “petit” guide pratique à destination des RH (on était encore loin du guide super complet, de quasi 200 pages que l’on a finalement écrit). En parallèle, j’ai aussi rencontré Judith, dont j’avais adoré le livre, et avec qui est née l’idée de la charte.

Je me suis dit qu’il y avait des synergies évidentes entre nous 4, et entre ces 2 idées de guide et de charte. En effet, le guide pouvait permettre de donner une vision complète et détaillée du champ d’action possibles et aurait aussi une dimension pédagogique avec les rappels du cadre légal, tandis que la charte serait une sélection de mesures du guide, pour aider les entreprises à savoir par où commencer pour se mettre à l’action rapidement.

J’ai joué l’entremetteuse, le quatuor s’est créé, nous nous sommes mises au travail.

Peux-tu nous décrire les entreprises qui ont déjà signé le pacte ?

Quelles typologies d’entreprise ? Ce qui les a motivé à signer et s’engager ?

Nous avons aujourd’hui 92 organisations signataires de la charte, qui se sont ainsi engagé-es à améliorer le quotidien de leurs 5,493 salarié-es. Comme le ratio entreprises vs. salarié-es le montre, ce sont plutôt des entreprises à taille modeste.

Nous avons de très petites structures comme, par exemple, le podcast Bliss qui compte 2 salariée-s, ou encore vous Enoa RH Consulting 12, que nous sommes ravies de compter parmi nos signataires les plus engagés.

Nous avons également des PME (Veja, Morning, SoPress le groupe de press de So Foot et So Film) et des plus grandes entreprises, comme ManoMano, Dataiku, Payfit et Openclassrooms, qui comptent entre 500 et 1,000 salariée-s.

Quels sont vos objectifs (quanti & quali) d’ici la fin de l’année ?

Avant de vous expliquer nos objectifs, j’aimerais en dire un peu plus sur la philosophie dans laquelle s’inscrit le Parental Challenge.

Si je n’avais qu’un mot pour la résumer ce serait l' »inclusion« .

En lançant ce mouvement, nous avons à cœur l’inclusion des parents dans les entreprises, afin que leur parentalité ne vienne plus entraver leurs carrières.

Mais aussi l’inclusion des femmes, qui sont souvent les premières victimes des discriminations liées à leur maternité (à l’embauche comme en poste).

Nous souhaitons inclure tous les parcours parentaux : PMA, adoption, seconds parents.. qui figurent, tous, dans le guide ainsi que dans la charte.

Et, enfin, il est important pour nous d’inclure tous types d’organisations : entreprises, administrations publiques associations, petites et grandes structures, implantées partout en France (et parfois même au-delà), c’est pourquoi les actions du guide sont classées selon leur coût et que 2/3 d’entre elles sont 100% gratuites. Et que la charte, bien que comportant quelques actions coûteuses, reste très accessible.

Cela étant dit, concernant nos objectifs, nous souhaitons bien sûr avoir le plus grand impact possible, cela se traduit bien sûr par un enjeu de volume : obtenir le plus grand nombre d’entreprises signataires possibles, et donc, cumuler un grand nombre de salarié-es impactée-s. Nous souhaitons continuer à toucher des petites entreprises, mais nous souhaitons également avoir des grands groupes comme signataires. Les grands groupes sont structurellement plus lents à signer car il y a des échéances bien précises de renégociation des accords salariaux avec les représentants du personnel. Mais nous avons, dès le lancement du Parental Challenge, échangé avec des grands groupes, et nous devrions annoncer de belles signatures très prochainement.

Au-delà du volume, parce que l’inclusion est notre mantra, nous avons également un enjeu de diversité parmi les signataires. Pour l’instant, nous avons beaucoup d’entreprises parisiennes parmi les signataires, tout simplement car nous sommes 3 des 4 fondatrices du mouvement à habiter Paris. Et que nous avons, naturellement, commencé par contacter les signataires qui gravitent dans notre écosystème. Un autre de nos objectifs est, donc, de toucher davantage d’entreprises implantées en région.

Quelle est LA mesure du pacte qui te parle le plus ?

C’est difficile d’en choisir une, car on les a sélectionnées avec soin et conviction et que chacune a une signification particulière pour nous.

Je triche un peu et en garde deux.

LA seule mesure qui est le prérequis de tout le reste, qui peut paraître hyper basique, mais qui est trop peu appliquée, c’est le fait d’appliquer la loi, et de communiquer leurs droits concernant la parentalité à tous les salarié-es.

Concrètement, cela veut dire recenser dans une sorte de guide (peu importe son format) les droits des salarié-es afin que le salarié puisse accéder à cette information, en autonomie, à tout moment. Et donc, que personne n’ait pas à annoncer son désir de parentalité (dans le cadre d’un parcours PMA, ou au début d’un parcours adoption, qui sont des parcours qui donnent déjà accès à des droits particuliers), ou sa parentalité à venir (grossesse), pour connaître ses droits.

Aujourd’hui, plus de la moitié des salarié-es déclarent mal connaître leurs droits liés à la parentalité(6). Et je pense que ce chiffre est largement sous-estimé, car en créant le Parental Challenge, je peux vous dire que j’ai pris conscience de plein de mes droits que je ne connaissais pas, et que je continue à en apprendre chaque jour. Les droits sont déjà parfois méconnus des RH, donc je ne parle pas des salariée-s.

Or le savoir c’est le pouvoir. Comment faire valoir ses droits quand on ne les connaît pas ? C’est la base de tout !

Dans le guide nous proposons des rappels légaux du droit du travail, ce qui facilite le travail de recensement pour les RH (qui devront néanmoins compléter ces mesures de celles de leur convention collective, et de celles qui ont été mises en place proactivement par leur entreprise)

L’autre mesure dont j’ai envie de parler, c’est la mesure qui s’est imposée comme une évidence pour tous nos signataires, sans exception : les 3 jours d’arrêt rémunérés en cas de fausse couche.

Une fausse couche, c’est évidemment un traumatisme énorme, physique, pour la femme enceinte, qui le vit dans sa chair, mais aussi psychique, pour le-s futur-s parent-s, femmes comme hommes.

Certains se demandent quel rôle l’entreprise a à jouer dans une épreuve si intime. Déjà, il faut savoir qu’une grossesse sur quatre n’arrive pas à son terme (on parle de “fausse couche”, ce qui correspond concrètement à un arrêt naturel de la grossesse)(7). C’est énorme ! Il y a beaucoup de salarié-es qui vivent cette épreuve en silence, et retournent parfois travailler, dès le lendemain, car les professionnels de santé ne pensent pas tous à proposer un arrêt médical. Certains recommandent même à leurs patients d’aller travailler pour ne pas trop ruminer…

Pour expliquer pourquoi 3 jours d’arrêt : cela correspond au nombre de jours de carence. Certaines entreprises s’en affranchissent, mais pas toutes, et pour les salarié-es de celles qui ne le font pas, c’est une double peine, car en plus de traverser un véritable drame, certaines femmes, qui ne peuvent pas se permettre cette perte de salaire, se retrouvent ainsi précarisées.

Cette mesure, ça a été vraiment le “no brainer” / l’évidence pour tous nos signataires.

Le mot de la fin ? Un message à faire passer aux entreprises ?

Le Parental Act l’a prouvé, les entreprises ont un grand rôle à jouer dans l’évolution de la société. L’allongement du congé second paternité est venu des entreprises privées, et c’est cela qui a permis de faire avancer le droit du travail. Passez à l’action, pour le bien-être de vos salarié-es mais aussi pour prendre votre part dans l’évolution de la société, et devenez signataire du Parental Challenge ! : https://parentalchallenge.com/

Merci pour ton temps, Selma !

Vous souhaitez rejoindre les organisation signataires de la charte, ou lire le guide Parental Challenge dés maintenant ici : https://parentalchallenge.com

 

1 Sondage ODOXA pour PremUp, Femme enceinte et environnement, avril 2015.

2 Étude menée auprès de 37 000 salariés par le CSEP et l’Institut BVA en 2018.

3 INSEE : Conséquences sur l’emploi des femmes, 2020.

4 Étude menée auprès de 37 000 salariés par le CSEP et l’Institut BVA en 2018, publiée en 2019.

5 Étude menée auprès de 37 000 salariés par le CSEP et l’Institut BVA en 2018, publiée en 2019.

6 Étude menée auprès de 37 000 salariés par le CSEP et l’Institut BVA en 2018, publiée en 2019.

7 Martine Lochouarn, La fausse couche concerne une femme sur quatre”, LeFigaro.fr, 12 décembre 2013.

 

Retrouvez tous nos focus découverte, par ici 

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Métavers et recrutement

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Futur du recrutement : bienvenue dans le métavers ? 

 

Et si, après le recrutement à distance, vous franchissiez bientôt une nouvelle étape ? En installant le parcours candidat dans un univers virtuel, le métavers, les possibilités devraient être démultipliées et la gestion des ressources humaines pourrait se réinventer. Êtes-vous prêt ? On vous aide à répondre.

Le métavers appliqué au recrutement : un avenir pas si lointain

Contraction de méta (au-delà) et univers, le métavers est un avenir pour les jeux vidéo, pour la socialisation, et c’est le nouveau terrain de jeu de Mark Zuckerberg, entre autres. Dans l’entreprise, il devrait bientôt trouver des applications.

Les cabinets de recrutement et les fonctions RH, notamment, imaginent déjà comment ce monde virtuel pourrait les aider dans le recrutement de profils.

L’attraction des talents est un défi pour toutes les entreprises et tous les recruteurs. Le travail à distance s’est largement démocratisé avec la crise sanitaire liée à la Covid-19 – et avec lui les process de recrutement à distance. Alors imaginer utiliser le métavers pour faire du sourcing de candidatures et pour recruter, rien ne semble plus plausible. Faire passer un entretien d’embauche dans un métavers pro, ce pourrait donc être l’une des possibilités offertes dans un avenir proche. Ça n’est pas la seule.

L’immersion au service d’un entretien quasi-réel, mais pas seulement 

Casque de réalité virtuelle vissé sur la tête, consultants RH mais aussi DRH ou responsables des ressources humaines dans les entreprises, pourraient donc se retrouver dans le métavers avec les candidats pour un entretien d’embauche, quel que soit le poste à pourvoir et le domaine d’activité de l’entreprise (Plus réel qu’un entretien sur Zoom, Google Meet ou Teams, n’est-ce pas ?). Mais ce n’est pas la seule possibilité annoncée.

Faire réaliser des tests d’évaluation pratiques pour les futurs collaborateurs, analyser leurs réactions en temps réel, la technicité de leurs gestes professionnels à l’occasion de simulations, voilà l’application qui pourrait finalement être la plus intéressante. Fonctions marketing, futurs collaborateurs de l’IT ou un chef de projet, vous pourriez bientôt les rencontrer et les tester sous leur forme d’avatar.

Et si l’âge et l’accès à la technologie (équipements connectés, accès à un réseau performant…) restent des points d’interrogation auxquels il faudra répondre rapidement, le métavers laisse deviner un énorme avantage en termes de recrutement. Il devrait permettre le recrutement de candidats divers, et de se prémunir de discriminations à l’embauche liées au genre, à l’âge, ou aux origines par exemple grâce au principe du candidat avatar (à condition d’être vigilant sur la manière dont l’algorithme de l’intelligence artificielle a été construit).

Recruter dans le métavers, c’est pour quand ? 

A priori, aucune expérience de recrutement n’a pour l’instant été menée dans le métavers, et les premières applications hors jeux et réseaux sociaux devraient apparaître dans l’e-commerce.

Pourtant, dans un contexte où il faut sans cesse faire la différence pour trouver et attirer les bons profils, le métavers pourrait être un moyen de se démarquer. Qu’il s’agisse de travailler la marque employeur, de partager l’univers d’une entreprise, de trouver des talents, le terrain de jeu semble sans limites. Et la prime ira aux premiers à tenter l’expérience. ET OUI !

Finalement, si le besoin de se rencontrer dans le monde réel pour sceller une proposition de collaboration sera toujours indispensable, ne serait-ce que pour savoir si la personne derrière le casque est bien le candidat potentiel et non un ami complice caché derrière l’avatar, le métavers ne devrait pas avoir de mal à s’imposer.

Les offres d’emploi en lien avec le métavers, d’ailleurs, fleurissent. Meta a annoncé prévoir d’embaucher 10000 personnes en Europe pour des rôles métavers. Les équipes de Microsoft travaillent à une adaptation de la solution de visioconférence Teams. Et chez Disney, on fait également savoir qu’on est sur les rangs. Alors, vous sautez le pas ?

 

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Zoom sur Vendredi

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« Vendredi »
La start-up sociale qui permet à chacune et chacun de changer le monde sans changer de travail !

 

Nombreux.ses sont celles et ceux qui souhaitent apporter leur pierre à l’édifice en participant à des actions citoyennes, le souci c’est que l’on ne sait pas toujours par où commencer. On se rend bien compte de l’importance de la notion de “sens” surtout post covid : le sens que l’on donne à son travail et celui que l’on donne à nos actions !
Nous sommes heureuses de vous présenter Andreea Badea, Partnerships & Social Innovation chez Vendredi : la plateforme d’engagement citoyen des entreprises.
Nous avons souhaité en savoir davantage sur l’impact positif sociétal, auquel nous sommes particulièrement sensibles et que nous souhaitons mettre en lumière aujourd’hui avec  VENDREDI.
Alors, comment contribuer à l’impact positif sociétal ?

Bonjour Andréea, merci de prendre le temps de répondre à nos questions :)

Quelques mots pour te présenter dans les grandes lignes ! 
Je travaille chez Vendredi depuis un an et demi, principalement sur des sujets de partenariats et d’innovation sociale. Avec d’autres acteurs de l’engagement, on met de l’énergie pour se structurer en tant que secteur : mesurer notre impact de façon collective, identifier les axes réglementaires que nous aimerions voir évoluer. Notre ambition est de faire en sorte que demain, tous les citoyens puissent s’engager dans la résolution des défis sociaux et environnementaux. Je participe à l’animation de cette démarche.

Comment est venue l’envie de créer Vendredi  ? Selon quels constats et surtout quelles convictions ?
Avant Vendredi, il y a eu l’association Stagiaires Sans Frontières, créée en 2015 par Félix, pour “réenchanter le monde du travail”. L’idée était de permettre à des stagiaires de dédier une partie de leur temps de travail, souvent un jour par semaine, à des projets d’intérêt général. La proposition de valeur a rapidement évolué quand on s’est rendu compte que le sujet du sens au travail devenait primordial pour tous les salariés. Cela a donné envie de concevoir une offre qui puisse concerner tout le monde.

Peux-tu nous expliquer le concept de Vendredi ?

Vendredi c’est le partenaire de la transition sociale et environnementale des entreprises. Sur notre plateforme SaaS, nous centralisons une grande diversité d’actions solidaires: missions de compétences, bénévolat, team building solidaire, parrainage, appel à projets et campagne de vote, dons financiers, sensibilisation et challenges entre équipes… Avec la volonté d’aider chaque salarié à passer à l’action.

Pourquoi le nom “Vendredi” ?

Parce que les étudiants en stage partagé choisissent d’aller en association essentiellement le vendredi.
Et aussi  parce que dans le plus célèbre roman de Michel Tournier, c’est Vendredi, le sauvage, qui donne finalement à Robinson Crusoé un sens à son existence sur une île déserte.

Qu’est ce que vous proposez concrètement comme services aux entreprises ? A qui s’adresse t-ils ? Comment cela se concrétise ?

Nous mettons à leur disposition notre plateforme, du contenu et des experts de l’engagement, pour leur permettre de mobiliser tous leurs salariés autour de la transition sociale et environnementale.
Cela s’adresse à toute entreprise qui souhaite mettre les salariés au cœur de sa stratégie RSE, indépendamment de sa taille.

Qui sont vos clients ? 

Nous travaillons avec plus de 200 entreprises de toute taille, des PME aux grands groupes, de Luni à Suez, en passant par Payfit et Electro Dépôt.

Aujourd’hui,  40 000 personnes utilisent la plateforme et 1 600 associations en bénéficient, et ce dans toute la France mais aussi dans 15 pays.

Quel est votre business modèle ?

On fonctionne sur un modèle SaaS : nos entreprises partenaires paient un accès annuel à la plateforme Vendredi. La plateforme est gratuite d’accès pour les citoyens et les associations.

Peux-tu nous expliquer comment Vendredi répond à l’impact positif sociétal ?

Vendredi a un impact sociétal positif à trois niveaux :

>Nous aidons les entreprises d’être actrices dans la résolution des défis sociaux et environnementaux.

>Les actions de sensibilisation et d’engagement des salariés les permettent de s’impliquer pour l’intérêt général (ce qui, souvent,
induit des comportements individuels plus vertueux: par exemple un plus grand respect de l’environnement).

>Nous permettons aux associations de bénéficier d’un soutien issu du monde de l’entreprise – et des compétences qui vont avec.

Il y a t-il une volonté d’exemplarité du côté des entreprises pour attirer, fidéliser et engager ses salarié.e.s ?
Est-ce que vous considérez que VENDREDI est un levier de rétention des talents ?

Aujourd’hui, les salariés attendent de leurs entreprises qu’elles mettent tout en œuvre pour avoir un impact social et environnemental positif.  Les dirigeants ont bien compris cette nouvelle attente exprimée également par les consommateurs. C’est pour ça qu’aujourd’hui toutes les entreprises cherchent à sensibiliser et mobiliser leurs salariés autour de leur stratégie d’impact. Ce qui était marginal il y a quelques années est devenu la norme et cela a forcément un impact fort sur l’attractivité de la marque employeur et la rétention des salariés.

Quelles sont vos perspectives futures ?

Continuer à aider les entreprises à jouer leur rôle dans cette transition. Notamment en engageant 100 000 salariés dans les prochains mois. Et puis inventer et incarner ensemble un autre modèle d’entreprise, focalisée sur l’impact, et le partage de la valeur créée.

Combien de personnes aujourd’hui chez Vendredi ? et demain ?

Nous sommes aujourd’hui 40 salariés, et nous serons près de 80  fin 2022.

Quelle est la particularité des équipes de vendredi ?

On est enthousiastes, conscients des enjeux sociaux et environnementaux actuels et convaincus que chacun peut faire sa part. On est très sensibles à notre impact écologique. On est adeptes d’une sobriété très heureuse. Et on adore jouer à Catan.

Le mot de la fin ! Un message à faire passer aux salarié.e.s et aux entreprises ? 

Qu’on n’a pas à changer de travail pour pouvoir changer le monde  ;)

Merci pour ton temps Andreea !

Vous souhaitez en savoir plus ? 
Rendez-vous sur le site internet

 

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moka.care & la santé mentale

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Avec moka.care, prenez soin de la santé mentale de vos équipes

Nous sommes heureuses de vous présenter Pierre-Etienne Bidon & Guillaume d’Ayguesvives associés et co-présidents de Moka.care.

Bonjour à vous deux et merci infiniment de répondre à nos questions.

La santé mentale chez Enoa est un sujet auquel nous sommes particulièrement sensibles et que nous souhaitons mettre en lumière aujourd’hui avec moka.care.

Quelques mots pour vous présenter dans les grandes lignes ! 

Nous sommes les fondateurs et CEO de moka.care.

Nous nous sommes rencontrés à l’ESCP en 2011. Après 4 années passées au BCG, nous avons décidé de nous lancer dans l’entrepreneuriat ensemble en 2020. Nous sommes passionnés de sport, Pierre-Étienne de vélo, running, kitesurf & parapente. Guillaume de tennis, vélo ou encore ski de rando.

Comment est venue l’envie de co-créer ensemble Moka.Care et de développer le sujet de la santé mentale en entreprise  ?

Selon quels constats et surtout quelles convictions ?

Persuadés que la démarche d’aller voir un psychologue devrait être valorisée et non stigmatisée, nous avons décidé de fonder moka.care pour qu’il soit « aussi simple d’aller voir un psy que de prendre un café ». Trop souvent, nous attendons la dernière urgence (le burnout, la dépression, etc) pour nous préoccuper de notre santé mentale. Et il est souvent difficile de passer le pas de consulter un praticien. Nous souhaitons faciliter cette démarche pour rendre la santé mentale enfin accessible à tous. Par ailleurs, nous sommes convaincus que les entreprises ont un rôle à jouer dans la santé mentale de leurs collaborateurs.trices  et même qu’elles ont tout à gagner à en prendre soin avec des solutions comme moka.care !

Est-ce difficile d’aborder la santé mentale en entreprise en France ? On a l’impression que c’est encore un sujet tabou.. 

Lorsqu’il est question de santé mentale, une chose est sûre : nous sommes encore trop démunis. En tant qu’employé, il est souvent difficile de se confier auprès de ses collègues ou de ses managers. Le sujet reste tabou et nous craignons d’être jugé.

Si les entreprises souhaitent agir pour la santé mentale de leurs équipes, elles ne sont quant à elles pas toujours légitimes ou formées pour y parvenir. En créant moka.care, nous souhaitons offrir une réponse humaine, sur-mesure et confidentielle pour prendre enfin soin de sa santé mentale.

Selon vous  “santé mentale” en entreprise et “bonheur au travail” sont-ils liés ?

Elles sont souvent utilisées de manière synonyme. À tort. Car elles recouvrent des notions et des implications bien différentes.

La santé mentale en entreprise, souvent liée au bien-être au travail, s’appuie sur la notion de qualité de vie au travail. Un bien-être qui s’insère dans un collectif, celui de l’entreprise.

La notion de bonheur est plus subjective : un état personnel et individuel de complète satisfaction, caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. Le bonheur repose sur le fait de pouvoir accéder à un large éventail d’émotions positives, comme l’espoir, l’optimisme, la confiance en soi, la gratitude, l’inspiration et l’admiration. C’est un concept philosophique.

A quel besoin précis répondez-vous ?

La santé mentale est une nouvelle priorité pour les entreprises.

  • Un besoin profond et urgent :
    80% des salariés ont exprimé avoir déjà ressenti un problème de santé mentale

2,5 millions de salariés déclarés en burn-out sévère

  • Une demande des collaborateurs :
    76% des salariés considèrent que leur employeur est responsable de la santé mentale de ses équipes
  • Un coût pour les entreprises :
    15 jours non travaillés par salarié et par an en moyenne pour motif lié à la santé mentale.

 

Expliquez nous concrètement quels sont les 3 grands piliers de Moka.Care et à qui s’adressent-ils  ? 

Nos 3 piliers :

Des sessions individuelles de thérapie et de coaching, pour pouvoir parler de tout, avec la bonne personne et au bon moment :
A tout moment, les employés peuvent réserver une session entièrement confidentielle avec l’un de nos psychologues, coachs ou thérapeutes. Pour les aider dans leur choix, ils peuvent découvrir l’ensemble de nos praticiens depuis leur espace membre et même réserver un appel d’orientation avec notre équipe de psychologues référents qui les guidera vers le praticien adapté à leurs attentes.

Nous organisons des sessions collectives en petits groupes pour sensibiliser les équipes et managers sur les enjeux de santé mentale.
Animées par un praticien moka, les sessions collectives sont l’occasion d’aborder en groupe restreint une thématique de la santé mentale importante pour les équipes. Parmi elles : la gestion de l’équilibre vie professionnelle / vie personnelle, la parentalité ou la prévention des risques psychosociaux. À l’issue d’une session, chaque employé repart avec des outils concrets pour aborder sereinement sa santé mentale.

Nous donnons accès à des programmes selfcare en ligne, pour permettre à chacun d’explorer à son rythme la santé mentale.
Qu’est-ce que la pleine conscience ? Ça veut dire quoi, être hypersensible ? Comment alléger sa charge mentale ? Depuis leur profil membre, les équipes accèdent à tous nos programmes pour explorer librement leur santé mentale et surtout, pour en prendre soin dans les jours avec, comme dans les jours sans.

Combien d’utilisateurs comptez-vous aujourd’hui ? Quelles solutions concrètes leur apportez-vous ? 

Au total, moka.care collabore avec plus de 70 entreprises, parmi lesquelles des grands groupes (Engie, L’Oréal) mais aussi des start-up du Next40 et Next120 (Doctolib, ManoMano). Ce qui représente environ 15 000 membres moka.care.

moka.care est une solution globale pour faire du mental des équipes la plus grande force de l’entreprise. Nous aidons l’équipe RH à prévenir efficacement en intégrant les enjeux de santé mentale au cœur de leurs méthodes de travail. Et nous accompagnons les collaborateurs à prendre soin de leur santé mentale au quotidien.

Pourquoi avoir fait le choix de ne pas intégrer un chatbot  ?

En fondant moka.care, nous étions convaincus d’une chose : face à des enjeux humains, il faut une réponse qui le soit aussi. La santé mentale est un sujet éminemment complexe et intime. Quand on traverse une période difficile, se retrouver face à un questionnaire ou à un chatbot est souvent frustrant, trop impersonnel. Chez moka.care, nous voulons proposer à chacun l’accompagnement qui lui convient le mieux et qui répond à son besoin. Mais nous attachons aussi une grande importance à sensibiliser et former chacun dans l’entreprise (les dirigeants, les RH, les managers…).

Combien de praticiens comptez-vous dans vos équipes ?

Nous avons une équipe de psychologues salariés chez moka.care. Et parallèlement, nous collaborons avec plus d’une centaine de praticiens.

Comment se concrétise votre offre ?  Quelle est votre tarification ?

Nous définissons avec l’entreprise la modalité d’accompagnement la mieux adaptée à ses enjeux. Nous invitons les équipes à créer leur espace personnel. Et nous choisissons une date pour le lancement live et préparons les supports de communication. Nous avons une tarification liée à l’utilisation, pas de mauvaise surprise, pas de risque de payer pour quelque chose qu’on n’utilise pas. Nous avons plusieurs briques additionnables en termes de séances individuelles et de sessions de groupe, adaptables à beaucoup de budgets.  

Parlons de vos équipes ! Combien de personnes composent moka.Care aujourd’hui ? Combien de recrutements à venir ?

Moka.care compte aujourd’hui 35 salariés, et 50 recrutements sont prévus en 2022.

Quelles sont vos valeurs et comment les faites vous vivre au quotidien ?

Un altruisme total : nous nous intéressons profondément à chaque personne, à ce qu’elle est et à ses conditions d’épanouissement dans son travail.
Un optimisme sans fin : nous nous fixons des objectifs ambitieux, et n’avons pas peur de commencer bas et de persévérer pour les atteindre.
Une appropriation efficace : je construis les solutions que je veux voir vivre.
Et enfin une grande agilité.

Vous venez de lever 2,5 millions d’euros, avec de beaux investisseurs qui ont suivi ? Quels sont les enjeux de demain, vos perspectives de développement et vos envies ?

Nous allons continuer à croître et surtout nous étendre à d’autres pays européens.

Le mot de la fin ! Un message à faire passer aux entreprises ? ;)

Chez moka.care, nous vous souhaitons de vous sentir bien dans votre tête comme dans votre corps, de ne jamais attendre d’avoir une bonne raison pour se confier, de profiter des jours “avec” et surtout de faire face aux jours “sans”, de pouvoir se livrer à chaque fois que l’on en ressent le besoin et d’être en harmonie avec soi, tout simplement. Notre volonté : vous permettre de parler de tout, avec la bonne personne et au bon moment. Parce que notre santé mentale est trop importante pour être mise de côté. Nous en avons fait notre priorité pour qu’elle devienne la vôtre.

Merci encore Pierre-Etienne et Guillaume ne nous avoir éclairé sur le sujet de la santé mentale en entreprise !

Vous souhaitez en savoir plus ? 
Rendez-vous sur le site internet

 

Retrouvez tous nos focus découverte, par ici 

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Pact IDEA

Le pact IDEA, késako ?

Pact IDEA

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Le pact IDEA, un collectif pour faire avancer plus rapidement

la diversité et l’inclusion au sein des startups françaises !

 

Vous faites partie d’une organisation qui souhaite s’investir dans la diversité et l’inclusion ?
Alors il est peut-être temps de rejoindre le pacte IDEA !

Hugo Perrier, Chief People Officer chez Partoo, nous éclaire sur le sujet.

Le pact IDEA Kézako ?

Un collectif gratuit et ouvert, crée par des DRH pour s’investir, s’entraider et progresser concrètement sur 7 engagements dès 2022 dans leur entreprise à l’aide de partage de bonnes pratiques !

Hello Hugo, peux-tu nous en dire plus sur la genèse de ce projet ! Quel est L’ADN du pacte IDEA ?

Le PACTE IDEA a été annoncé le 24 novembre 2021 à Station F

Courant 2021, nous sommes plusieurs DRH à avoir répondu à un appel de Christelle Kalipé nous proposant de nous engager au sein d’un collectif pour faire avancer plus rapidement l’inclusion au sein des startups françaises.

Pourquoi les startups ?

Car ce sont des environnements où les parcours sont souvent les mêmes, mais qui sont très agiles et capables d’évoluer rapidement.
Cela nous permet donc d’avoir un laboratoire permettant de tester des bonnes pratiques et inciter d’autres à se mettre en mouvement, notamment des structures plus grandes.

L’objectif est d’avoir un impact sur le plus grand nombre d’entreprises et de salariés, pour que les entreprises françaises, européennes (et même internationales!) soient plus inclusives et attirent des talents divers, dans des environnements dans lesquels ils se sentiront bien.

 Que signifie IDEA ?

I pour Inclusion.

D pour Diversité.

E pour Equité.

A pour Accessibilité..

C’est l’idée (IDEA en anglais) que tout le monde puisse se sentir bien dans le monde de l’entreprise et vive son expérience professionnelle à 100% !

Qui est à l’origine du pacte ?

Nous sommes plusieurs DRH de startups, Christelle chez Leetchi Mangopay, Pierre chez Unow, Lucie à Station F, Elise chez Worklife, Jessica chez Ornikar, Pauline chez Phénix, Patricia chez Worldia, Clément chez LabRH, Camille chez Dashlane et moi-même pour Partoo.

 A qui s’adresse-t-il ?

À toutes les startups qui souhaitent mettre en place ou renforcer leur politique de diversité et d’inclusion, afin d’attirer plus de talents et de faire en sorte que ceux-ci s’y sentent bien. Nous sommes également ouvert à des structures de plus grande taille, qui ont la volonté de se mettre en mouvement et s’engager à des actions rapides sur les 7 piliers du Pacte IDEA.

Comment faire pour y adhérer ? Faut-il respecter des critères spécifiques ? 

Toutes les entreprises et filiales françaises peuvent nous rejoindre !
La démarche est gratuite et ouverte. Le vrai critère pour nous est que leur engagement soit authentique, que du temps et des efforts y soient consacrés chaque mois. Dans ce sens, nous encourageons tous les signataires à partager leurs bonnes pratiques, résultats et tableau de bord diversité avec la communauté, à participer ou animer des webinaires thématiques, et enfin communiquer largement de cette démarche autour d’eux.

En tant que membres fondateurs, nous nous proposons comme parrains des signataires pour les accompagner à mettre en place des actions concrètes chaque année.

Combien d’entreprises sont adhérentes pour l’instant ?

Une cinquantaine d’entreprises nous ont déjà rejoints après notre événement à Station F, et nous en attendons encore plus après notre webinaire de présentation début janvier!

Quels sujets de diversité sont abordés ?

Le pacte présente 7 priorités clés sur lesquelles on s’engage à oeuvrer concrètement:

– la sensibilisation à la diversité, à l’inclusion et aux biais cognitifs

– la mise en place d’indicateurs de suivi de la diversité et inclusion dans son entreprise

– la formation des managers aux bonnes pratiques

– la mise en place de dispositifs d’alertes aux comportements inappropriés

– le recrutement par les compétences et la diversification des sources de recrutement

– des parcours de recrutement non discriminant, notamment grâce aux entretiens structurés

– la construction d’un système de rémunération équitable

En signant le Pact IDEA, en quoi s’engage les Entreprises adhérentes ?

À rejoindre une communauté active et se mettre en action concrètement dès 2022 sur les 7 thématiques du pacte IDEA.

Pourquoi selon toi rejoindre ce fameux pacte ?

Les dirigeants et les DRH sont face à 2 challenges importants : comment attirer des profils diversifiés dans un écosystème où il existe une pénurie sur plusieurs métiers; et aussi, comment retenir les talents qui cherchent un environnement dans lequel ils seront respectés et pourront s’épanouir à 100%. Les engagements du Pacte IDEA répondent en grande partie à ces 2 challenges.

Le mot de la fin ! Un message à faire passer aux entreprises sur le sujet ?

Le Pacte IDEA n’est pas un label, une certification, c’est une volonté et un engagement de s’améliorer dans le domaine de la diversité et l’inclusion. Nous ne prétendons pas être encore exemplaire sur tous les sujets, mais nous avons une envie féroce de le devenir et d’agir!
Si c’est votre cas, rejoignez-nous!

Merci beaucoup pour ton temps Hugo, à très bientôt !


Vous souhaitez en savoir encore plus ?

Rendez-vous ce jeudi 10 février à 9h, avec Patricia Denis et Hugo Perrier pour un webinar de présentation.
Cliquez ici pour vous inscrire et réserver votre place.

 

 

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Zoom sur Figures

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Zoom sur Figures, l’outil de benchmark salarial 100% fiable 

Virgile Raingeard, CEO et fondateur, répond à nos questions sur l’outil, l’unique source d’information fiable sur les pratiques de rémunérations.

Quelques mots pour te présenter dans les grandes lignes 😉

J’ai un parcours étudiant un peu particulier car après un Bac+3 en Maths/Informatique, j’ai basculé vers un Master 2 RH, ce qui est peu commun. A la sortie de ce diplôme (2009) j’ai commencé ma carrière dans des groupes du CAC40 (STMicroelectronics puis Technip), d’abord sur des fonctions d’expertise (Rémunération puis SIRH) avant de commencer les « vrais » RH de terrain pendant 2 ans à Perth, en Australie. A mon retour j’ai souhaité continuer les RH généralistes dans un monde qui m’a toujours plu, la Tech, ce pourquoi j’ai rejoint Criteo.

 J’y ai passé 3 années géniales entre RH Généraliste et Recrutement au sein des équipes Produit, Recherche, et Développement entre la France et les Etats-Unis.
Puis j’ai eu l’opportunité de rejoindre Comet en tant que VP People en 2018, une opportunité unique dans une entreprise vraiment incroyable de par son équipe et sa culture. J’ai pu m’y éclater pendant 2 ans jusqu’en 2020.

Après Comet, pourquoi as-tu souhaité te lancer dans l’entrepreneuriat ? 

Dès mon arrivée chez Comet je me suis frotté à une grande frustration : la non-existence de données de marché fiables sur les salaires pratiqués dans le milieu des start-ups. Comment alors faire une grille de salaire juste et équitable ? Impossible. C’était donc du bricolage permanent, et de la négociation sans fin. Personne n’a taclé ce sujet, j’ai donc modestement décidé de tenter de le faire par moi-même en Octobre 2020.

Peux-tu nous en dire plus sur Figures ?

Passé les premiers mois à bricoler une enquête de salaire dans un fichier Excel avec l’aide de mes premiers clients (qui partageaient ma frustration), j’ai eu la chance d’être rejoint par Bastien Formery en Janvier 2021. Bastien a créé seul, en quelques semaines, une application absolument géniale, qui a rapidement plue aux premiers clients et prospects. La machine s’est vraiment lancée à ce moment-là.
1 an plus tard nous sommes 7 chez Figures, et nous finissons 2021 avec presque 200 clients, ce que je n’aurais jamais cru si on me l’avait dit en Octobre 2020.

A qui s’adresse Figures ? Qui sont tes clients aujourd’hui (startup ? scale-up ? groupes ?)

Aux start-ups et scale-ups, en majorité Tech mais pas que : on commence à avoir des clients dans de plus en plus d’industries différentes (électronique/robotique, jeux-vidéos…). En France, qui était jusqu’en Novembre 2021 notre unique marché, nous avons par exemple plus de la moitié des entreprises du Next40 en clients

Quels sont tes interlocuteurs en interne ? ( DRH ? CEO ? …)

Pour les plus petites structures (un tiers de nos clients ont moins de 50 employés), les CEOs directement. Au-dessus, DRHs, parfois CFOs.

Pour quels sujets les entreprises te sollicite ? Peux-tu nous parler en détail  des offres que tu proposes ?

Comme moi à l’époque, elles veulent baser leur politique salariale sur des données précises ce que Figures est le seul à fournir sur le marché start-ups/scale-ups. Combien gagne un.e DevOps basé en télétravail complet dans une start-up de moins de 80 personnes ? Ou un.e VP Sales dans une start-up en série A entre 50 et 150 personnes ? Nous avons la réponse.

 De plus, notre plateforme leur fait gagner un temps fou car en plus de l’accès à ces données de marché, on analyse les données de nos clients, et on leur affiche les zones d’attention : salarié.e.s sous-payé.e.s par rapport au marché, écarts de salaires injustifiés hommes/femmes à poste égal, etc.. On aide nos clients à prendre des décisions plus justes.

Quelles sont les conditions pour que Figures travaille avec une entreprise ?

2 conditions : s’abonner à la plateforme évidemment (un an d’abonnement dont le prix dépend de la taille de l’entreprise) mais aussi partager ses données de salaire avec nous ! Tout notre référentiel est basé sur des données vérifiées obtenus chez nos clients. Si une entreprise ne veut pas jouer le jeu, elle ne peut s’abonner !

 Pourquoi le nom « FIGURES » ?! 😉

Le mot « figures » veut dire un « nombre » en anglais. Mais il veut aussi dire une silhouette dans cette même langue, ou un visage en français.

Ce double sens fait pour moi écho aux salaires, qui ne sont d’apparence que « des chiffres », mais derrière lesquels se cachent des personnes. Et c’est toute la complexité de ce sujet, on ne peut le traiter comme un sujet purement scientifique : le salaire est source d’attentes personnelles, c’est un vecteur de reconnaissance dans l’entreprise (augmentation de salaire = reconnaissance positive) , un symbole social, parfois tabou, un énorme enjeu d’inégalités humaines et sociétales (notamment hommes/Femmes)…. Bref un enjeu humain avant d’être un sujet de chiffres, et la dualité derrière le mot « figures » le représente bien. De plus, le fait que ce soit un mot utilisé aussi dans mon Sud natal (avec la prononciation marseillaise qui va bien), c’est la cerise sur le gâteau !

Et demain ? Quelles perspectives pour Figures ?

2022 représente 2 gros chantiers pour Figures. Le premier, c’est l’accélération de l’expansion européenne que nous avons commencée par l’Allemagne, et que nous allons continuer dans les pays nordiques, en Espagne, aux Pays-Bas, et au Royaume-Uni. Nous voulons être à fin 2022 la référence européenne dans notre domaine, comme nous avons pu le faire en France en 2021.
Le deuxième chantier est lié à notre mission : aider les entreprises à prendre les décisions de rémunération les plus justes possible.
Actuellement nous sommes dans de l’analyse de données de rémunération, un pré-requis essentiel à toute politique salariale. Néanmoins nous souhaitons permettre, via une extension de notre produit actuel, à nos clients de se mettre en action: définition ou revue de leur grille de salaire, gestion des campagnes d’augmentation, communication des informations de rémunération aux managers, employés, et candidats… Nous voulons faire de Figures d’un outil complet de gestion de la rémunération.

Le mot de la fin ! Un message à faire passer aux entreprises !?

Que ce soit avec Figures ou sans, au plus vite, attaquez-vous à la définition de votre politique salariale si ce n’est pas fait. Les entreprises qui ne le font pas accumulent ce que j’appelle de la « dette d’équité », par écho à la « dette technique » dans le développement. Elles créent probablement des inégalités internes (entre salarié.e.s) ou externes (avec le marché) qui vont dans le temps s’accroître, et créer de la tension dans leurs équipes. Au plus tôt ce sujet est traité, au moins ce risque existe !

 

Besoin d’une démo ? C’est par là : https://figures.hr/fr 

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Zoom sur Neobrain

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Neobrain, l’outil d’IA pour accompagner l’Homme dans la transformation des entreprises

Louis Lepinette, Responsable Marketing & Communication répond à nos questions sur Neobrain

 

Peux-tu nous présenter Neobrain dans les grandes lignes. A quels besoins répondez-vous ?
Neobrain est une solution RH novatrice qui vise à réduire l’impact de l’évolution des entreprises et des métiers sur l’humain.
Les plateformes Neobrain répondent à trois besoins clés des ressources humaines :
– l’engagement et la fidélisation des collaborateurs ;
– la simplification et la fluidification de la mobilité interne ;
– l’alignement des compétences des collaborateurs avec la stratégie de l’entreprise.

Quelles sont les solutions innovantes que vous proposez et à qui s’adressent-elles précisément ?
L’offre de Neobrain est composée de 4 modules :
– Skills
– Talent
– Mobility
– Upskilling
Chaque module a pour objectif de répondre aux différents besoins des entreprises en gestion des compétences et des talents.
Nous souhaitons placer la bonne compétence, au bon endroit, au bon moment. Nous sommes convaincus que c’est le secret d’une entreprise qui dure.

Qui sont vos clients ?
Nous vendons notre solution exclusivement en BtoB.
Différentes déclinaisons de notre outil s’adaptent aux services RH d’entreprises de toutes tailles, aux cabinets de consultants RH ainsi qu’aux écoles et universités.

Quelles sont vos valeurs ?
Les 4 valeurs fondatrices de Neobrain :
– Expertise – Comprendre rapidement les enjeux du client et être capable d’y répondre correctement et rapidement
– Humilité – Nous rappeler d’où nous venons et où nous sommes aujourd’hui en tant qu’équipe
– Aller plus loin – S’intéresser à l’amélioration et à la qualité du produit en allant au dela de notre périmètre
– Fierté – Être fiers de ce que nous apportons à nos utilisateurs et au monde des RH

Quelles sont vos perspectives de développement ? (développement international ? élargissement de l’offre ? levée de fonds ? recrutements à venir ? autres… ?)
Pour 2022, nous souhaitons amorcer notre expansion à l’international en commençant par l’Europe (Allemagne et UK), puis en visant les Etats-Unis au S2.
Nous recrutons aussi de nombreux profils tech et data pour soutenir le rythme d’évolution des solutions et proposer une plateforme à la pointe de la tech RH. (plus d’info sur notre site carrière)
Pour soutenir ces projets, Neobrain lève des fonds au S1 de 2022. Nos investisseurs et le montant de la levée sera révélé prochainement.
Les deux objectifs produits de 2022 sont l’automatisation complète du module GPEC et le développement d’un module de prédiction des tendances du marché du travail s’appuyant sur notre IA interne.

Le mot de la fin ! Un message à faire passer aux entreprises pour 2022 ?
En 2022, Neobrain compte investir plus de 50% de son budget en R&D pour répondre aux enjeux de nos clients : faciliter la rétention de leurs talents et l’anticipation des évolutions métiers.
Nous souhaitons les aider à capitaliser au maximum sur leurs ressources internes et continuer de créer un système qui s’adapte à l’agilité nouvelle des entreprises.

 

Retrouvez tous nos focus découverte par là 

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Welcome Rosanne

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Bonjour Rosanne & bienvenue dans la team Enoa !

Raconte-nous ton histoire

Bonjour tout le monde ! 😉 Je m’appelle Rosanne, je viens de souffler mes 30 bougies et figurez-vous que la trentaine me réussi plutôt bien. Oui, car je viens d’intégrer la Team ENOA ! Son énergie est contagieuse et je ne vous parle pas de son dynamisme et de son enthousiasme… avant de vous en dire davantage, permettez-moi de présenter mon parcours :

Throw-back to 2015. Je suis diplômée d’une maîtrise en psychologie mais étant confrontée aux difficultés académiques que requiert cette spécialité, je décide de mettre mes études de côté et pars aux États-Unis (Atlanta, GA) pendant presque 2 ans comme fille Au Pair. J’en reviens quasi bilingue, avec une certaine maturité sur l’ouverture d’esprit et une soif de transmettre. C’est naturellement que je m’oriente vers l’enseignement, avec cette envie de repartir… Je suis alors des cours à distance pendant 1 an avant de réintégrer un Master – Pratiques et ingénierie de la formation (parcours enseigner à l’étranger) – que j’obtiens en 2019. C’est alors que je choisis de partir à nouveau aux États-Unis (à Oakland, CA) en tant qu’assistante de français durant une année scolaire. Au terme de cette année, un poste m’est proposé mais compte tenu des conditions administratives américaines, le VISA enseignant m’est refusé : retour à la case départ. Je jongle alors entre cours particuliers et vacation, puis tente le concours de professeur des écoles qui se solde par un autre échec. Hélas, par manque de stabilité et d’épanouissement, je réalise finalement un bilan de compétences… qui me révèle un certain talent pour le recrutement ! Quelle évidence ! La psychologie, l’enseignement, le relationnel, l’anglais… bien sûr ! Tout me correspondait. Pour certains, c’est un chemin tout tracé et puis pour d’autres, il faut quelques embûches pour révéler ce talent qui se cache en nous. L’aventure peut enfin commencer !

Pourquoi avoir choisi Enoa ?

Pour ses valeurs que je partage. Le premier contact établi lors de mes entretiens m’a étonnamment fait ressentir quelque chose de familier : l’intérêt pour l’autre, l’écoute attentive et l’envie d’avancer ensemble m’a totalement séduite. J’avais l’impression d’échanger avec des personnes proches de mon entourage et le fait de s’y sentir bien, est pour moi une chose primordiale dans le milieu professionnel.

Enoa est aussi une jeune équipe avec plein d’ambitions ! Avec ses évènements qu’elle organise traitant des thématiques importantes dans le monde du travail, ses tutos en ligne pour en apprendre davantage ou se perfectionner dans un domaine, ainsi que les soins apportés à chaque client & candidat, sont la signature du bien-être et donc d’Enoa.

Raconte-nous ta période d’onboarding

Exceptionnelle !  Vraiment, je ne pouvais pas mieux espérer ! Ballons colorés, message de bienvenu, viennoiseries (même un Kouign Amann, moi qui suis bretonne ), c’était la fête ! J’ai été très touchée. Toute l’équipe a su me mettre à l’aise et m’intégrer comme il se doit. Même une de mes collègues qui n’était pas présente le jour-j, a pris le temps de m’appeler et j’ai trouvé ce geste très attentionné. J’ai donc rapidement été baignée dans le bain Enoa, tout en délicatesse, avec toujours le sourire et les p’tits mots pour s’assurer que la nouvelle recrue ne manque de rien :)

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Welcome Capucine

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Bonjour Capucine & bienvenue dans la team Enoa !

Raconte-nous ton histoire

Bonjour la team Enoa 😉

Je m’appelle Capucine Kerhardy, j’ai 20 ans et je suis actuellement en troisième année à l’école des psychologues praticiens de Paris. Depuis le lycée je voulais intégrer cette école pour m’épanouir, développer ma qualité d’écoute, apprendre le fonctionnement humain et ses spécificités, comprendre comment fonctionnent les individus entre eux, comment peuvent-ils s’épanouir au travail… J’ai choisi cette école car la formation est très complète ; tant dans le domaine de la clinique que celui de l’entreprise.

Dans le cadre de ma troisième année à l’école des psychologues praticiens je devais trouver un stage dans le domaine de mon choix. La question ne s’est pas longtemps posée pour moi ; je me suis dirigée dans le domaine de l’entreprise et plus particulièrement dans le recrutement et le conseil RH. C’est pour cela que j’ai choisi de rejoindre  Enoa RH.

Pourquoi avoir choisi Enoa ?

J’ai choisi de rejoindre la team Enoa pour de nombreuses raisons. Dans un premier temps j’ai été attirée par l’expertise métier du cabinet : communication, marketing et digital. Ce que j’aime chez Enoa, c’est la diversité des offres proposées (recrutement, conseil RH, évènementiel) ce n’est pas seulement de la chasse de tête, c’est un travail sur mesure. Dans le cadre d’un premier stage, je ressentais le besoin d’être encadrée par une équipe à taille humaine,  c’était plus rassurant pour moi. Je ne me suis pas trompée car toute l’équipe est très soudée, bienveillante, il y a une super ambiance, elles sont battantes et savent accueillir !

Raconte-nous ta période d’onboarding

Tout d’abord, juste après avoir su que ma candidature était retenue pour commencer un stage chez Enoa, j’ai été très accompagnée jusqu’à mon arrivée ; j’avais régulièrement des mails, SMS, c’était très rassurant.

Ma période d’onboarding se passe très bien, j’ai eu un excellent accueil : familial et chaleureux. L’équipe sait s’adapter à la spécificité de chacun et le prend comme unique. Effectivement je suis formée en fonction de mes besoins, l’équipe me fait des fiches récapitulatives très claires, j’ai des documents pour m’aider, j’ai pu rapidement pratiquer et mettre en avant mes compétences. Finalement Enoa a vraiment tout mis en place pour que je puisse être confortablement intégrée et que je puisse apprendre rapidement dans les meilleures conditions.

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Découvrez Green makers

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Zoom sur la responsabilité digitale avec Green makers

Le cabinet qui accompagne les acteurs du digital dans leur transformation responsable

 

Bonjour Clarisse, parle-nous de ton parcours ?

Experte en Digital & Marketing, j’ai eu la chance de collaborer, depuis 2008, avec des agences comme Publicis et annonceurs renommés sur le développement de leurs stratégies publicitaires, marketing et digitales.

J’ai peu à peu commencé à m’intéresser aux impacts environnementaux, sociétaux et individuels liés à l’utilisation des équipements numériques. Le digital pollue et je voulais vraiment agir pour un digital plus responsable et être actrice principale de ce changement. En 2019, je pars faire un tour du monde solidaire, au Sénégal, en Afrique du Sud, et en Indonésie, pour sensibiliser les enfants à la protection de l’environnement. C’est un moment très structurant dans mon parcours puisque c’est à cet instant précis que je décide de me former au développement durable, à la RSE, au Numérique Responsable et que j’entreprends une réflexion de deux ans pour inscrire les métiers du Digital dans une démarche responsable. C’est ainsi que Green makers est né.

En quelques mots, parle-nous du concept ?

Nous sommes un cabinet de conseil en responsabilité digitale et accompagnons tous les acteurs du digital dans leur transformation responsable. Green makers se mobilise pour la construction de modèles digitaux plus éthiques, contributeurs du bien-être durable des citoyens et de la planète. Nous nous appuyons sur nos expertises en responsabilité sociétale, en communication, et en digital pour accompagner les entreprises sur ces enjeux.

Notre crédo : Réinventer pour ne pas compenser et ainsi bâtir une démarche d’engagement ambitieuse qui permettra aux acteurs du digital de réussir leur transition vers un modèle plus durable.

 

La « responsabilité digitale », une notion conceptualisée par Green makers

 

La responsabilité digitale, tout le monde en parle mais qu’est ce que c’est concrètement ?

La responsabilité digitale est une notion conceptualisée par Green makers, elle s’inscrit dans une démarche de Numérique Responsable. L’idée est de réfléchir à comment avoir une activité digitale à  impact positif, et regrouper les engagements et améliorations que les entreprises vont pouvoir mettre en place pour réduire à la fois leur impact environnemental, mais aussi l’impact sociétal et individuel lié à l’utilisation des équipements numériques de leurs parties prenantes (collaborateurs, clients, utilisateurs, partenaires…).

En plus de s’engager et répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux, la responsabilité digitale va répondre à des sujets RSE, RH et Marketing… (contribuer au positive Impact, fédérer ses collaborateurs, attirer de nouveaux talents ou encore innover). Elle s’inscrit également dans des enjeux business et juridiques (augmentation moyenne des performances de 13% pour les entreprises engagées RSE d’après France Stratégies, bénéficier d’avantages fiscaux, accéder à des financements ou encore respecter la réglementation).

 

Réinventer les usages digitaux, pour ne pas compenser

 

Peux-tu nous décrire les 3 offres structurantes de Green makers ?

Notre méthode est fondée sur le Design Thinking. Nous proposons 3 offres pour réinventer les usages et faire émerger de nouveaux modèles :

1) L’offre Engager : pour fédérer les équipes autour de la Responsabilité Digitale via une Journée Solidaire Digitale

2) L’offre Former : former les collaborateurs et créer de nouveaux modèles pour contribuer au positive impact

3) L’offre Co-construire : bâtir une stratégie de Responsabilité Digitale et accompagner l’entreprise dans le changement.

Les valeurs du projet ?

Nos valeurs sont basées sur un engagement éthique. L’idée, pour nos clients, est d’avoir un partenaire engagé dans l’accompagnement qu’il propose et respectueux de sa ligne de conduite. Le Green makers project fait d’ailleurs partie de nos engagements.

Justement, qu’est-ce que le Green makers project ?

Le Green makers project est un programme solidaire de soutien éducatif sur les thématiques de l’écologie, du digital et de l’écologie digitale. Nous nous investissons dans ce projet pour accompagner les enfants du monde dans :

1) L’accès à l’éducation par le financement des frais de scolarité et de formation.

2) La sensibilisation et la mobilisation à l’écologie par des actions concrètes.

3) L’accompagnement dans la découverte des métiers du digital.

Nous collaborons notamment avec un centre de formation au Sénégal.

Des perspectives d’évolution ?

Nous sommes actuellement en discussion avec de multiples acteurs (annonceurs, régies, agences…) sur des projets de toutes tailles. Ces prestations ont toutes la même finalité, rendre l’activité digitale des entreprises plus responsable à leur l’échelle.

A long terme, l’idée est aussi de pouvoir développer de nouvelles offres et aller plus loin dans l’accompagnement.

 

Pour en savoir plus : https://green-makers.fr/

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application The Explorers

Zoom sur The Explorers

application The Explorers

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The Explorers, une plateforme de streaming pour faire l’inventaire naturel, culturel et humain de la planète , en Ultra-Haute Définition

 

Une plateforme participative, un inventaire photos et vidéos de la planète

 

Bonjour Olivier, parlez-nous de The Explorers
L’idée de The Explorers est extrêmement simple. La planète a la même composition que l’homme, 70% d’eau, 30% de solide. Avec The Explorers on peut faire un état des lieux, une sorte de check-up ou d’inventaire naturel, culturel et humain de la planète. Nous vivons dans un monde d’images. Nous avons donc développé un média, une application qui existe sur apple TV mais également sur d’autres devices (mobiles, tablettes…) pour faire en images, l’inventaire de la biodiversité. Nous avons travaillé avec des ingénieurs, avec des équipes de tournage pour produire nos images en haute définition et créer un espace participatif où tout le monde peut devenir un explorer. Grâce à ce partage d’images, nous sommes plus forts tous ensemble pour mieux connaître et mieux protéger la planète.

Le concept ?
The Explorers est une plateforme de streaming qui a pour but de faire l’inventaire de la planète. Elle est disponible sur les smartphones, ordinateurs ou téléviseurs. Elle est à la pointe de la technologie puisqu’elle est la seule à proposer des contenus vidéo en 4k et 8K. Nous sommes les seuls au monde à streamer du 8K. De plus, vous pouvez trouver The Explorers dans 170 pays et 17 langues. Notre plateforme c’est un peu comme le Netflix de la nature avec un mix d’Instagram pour le côté participatif car vous pouvez également poster vos contenus photos et vidéos où que vous soyez dans le monde. Nous avons aussi été élus, meilleure application Apple TV de l’année.

Devenez Explorer et participez à la sauvegarde de l’environnement

 

Les valeurs du projet ?
A notre tour et avec modestie nous souhaitons utiliser les lumières offertes par ce siècle pour contribuer à préserver notre patrimoine commun, une planète bleue dont nous devons veiller à ce qu’elle reste une terre humaine.

Comment ça fonctionne ?
Nous proposons deux types d’abonnements :
• Une offre gratuite : en postant un contenu (photo ou vidéo), les utilisateurs accèdent gratuitement aux vidéos en Ultra Haute-Définition (HD/4K/8K) de The Explorers +
• Une offre premium à 2,99 euros/mois qui contient une offre SVOD de 21 films, généralement des documentaires de 52 minutes, mais aussi des « petits films de 5 minutes sur les cuisines du monde », ainsi que des « news de la planète » envoyées tous les jours.

Si vous souscrivez à l’abonnement premium, il faut savoir que vous financez une cause. Effectivement, 10% du CA est reversé à la Fondation The Explorers.

Parlez-nous de The Explorers Foundation ?
Grâce à cette fondation, nous nous engageons concrètement dans la préservation de la planète. Nous soutenons des acteurs de terrain et leurs actions grâce aux 10% des revenus média de la plateforme. Nos abonnés ont la possibilité de choisir et de soutenir des actions qui leur tiennent à cœur. `

Une application disponible sur IOS et Android

 

Et niveau technique ?
Nous sommes la seule plateforme de streaming en 8K, au monde. Le choix du matériel est très important dans notre processus car nous nous positionnons comme inventaire des plus belles ressources naturelles de la planète et aussi, parce que nous proposons à nos utilisateurs d’être plus qu’un simple spectateur. Ils doivent donc vivre l’action et devenir Explorer ! La super-pixellisation des technologies 4K/UHD produit des images d’un réalisme stupéfiant.

Les contenus 8K ne sont disponibles que via l’application intégrée aux téléviseurs Samsung Qled 8K mais l’application est également disponible sur IOS et Android.

Des perspectives d’évolution ?
Près de 12 millions d’euros ont été levés sur nos premières années pour permettre le bon démarrage de l’application et être présent dans 170 pays et en plusieurs langues. Nous souhaitons continuer de lever des fonds pour produire encore plus de contenus, faire du marketing et gagner en visibilité.
Nous avons aussi, potentiellement, la possibilité d’ouvrir une filiale en Chine, ayant suscité l’intérêt de plusieurs gros acteurs du marché comme Huawei, par exemple.

 

Découvrir la plateforme The Explorers : https://theexplorers.com/landing
Téléchargez l’app et devenez Explorer : c’est par ici sur IOS et par là sur Android

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Ludik'Métiers, un organisme de formation

La formation avec Ludik’Métiers

Ludik'Métiers, un organisme de formation

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Ludik’Métiers : un organisme de formation qui propose un jeu de plateau pour apprendre le droit social

 

La rencontre de deux entrepreneuses qui décident de créer un organisme de formation en proposant un outil ludique pour animer leurs formations en droit social & RH

  • Raconte-nous ton histoire ?

Comme souvent, notre belle histoire a démarré par une rencontre, qui a abouti deux ans plus tard à la création de notre structure Ludik’Métiers. C’est donc l’histoire de deux entrepreneuses indépendantes, spécialisées en ressources humaines : Déborah est coach professionnelle et formatrice en management et ingénierie de formation. De mon côté, je suis consultante formatrice en réglementation RH. Toutes les deux, nous cherchions des outils pour animer différemment nos formations en droit social auprès des managers, pour les rendre acteurs de leur formation, provoquer leur engagement. Et comme le hasard fait bien les choses, nous nous sommes rencontrées au cours d’une formation sur les outils pédagogiques, à laquelle nous avions toutes les deux été conviées par erreur ! C’est là que nous avons vécu notre tilt professionnel. La semaine suivante, nous commencions à élaborer ensemble l’outil que nous n’avions trouvé nulle part ailleurs.

  • Le concept Ludik’Métiers ?

Ludik’Métiers est un organisme de formation spécialisé sur l’apprentissage de sujets complexes, à l’aide d’outils andragogiques innovants. Notre 1er terrain de jeu, c’est « Ludik’RH, les clés du droit social au quotidien », puisque nous sommes toutes les 2 issues de ce domaine d’activité.

Il s’agit d’un jeu de plateau associé à une plateforme web, destiné à être utilisé au cours de formations, réunions ou séminaires. L’objectif est d’aborder le droit social via 6 grands thèmes que sont le recrutement, le contrat de travail, la durée du travail, la formation/GPEC, les relations collectives et les relations individuelles, chacun pouvant être traité indépendamment. Outre une meilleure mémorisation de ces sujets techniques, Ludik’RH est un jeu collaboratif, ce qui permet également de créer du lien et de l’engagement.

 

Une formation en droit social et RH, disponible pour tous les collaborateurs

 

  • Un ou deux mots sur les valeurs du programme ?

Justement, l’engagement : celui des participants, de l’entreprise et de l’animateur du jeu. Chacun a un rôle à jouer pour que les formations ne soient pas subies, mais vécues comme un moment agréable et enrichissant. C’est pour cela qu’une autre valeur que nous mettons en avant est de donner du sens. Notre jeu propose aux stagiaires de réfléchir autour de situations concrètes, de « terrain ». Il ne s’agit pas d’ingurgiter des règles qui seront oubliées deux jours plus tard. Nous avons pris en compte tous les profils d’apprentissage pour que chacun puisse mémoriser à sa façon.

  • Est-ce accessible à tous les salariés ?

Oui. Nous avons, pour cela, créé 3 niveaux de jeux, avec des questions adaptées aux besoins des différents profils de joueurs.

Le niveau RH permet de se mettre à jour des évolutions juridiques, partager entre pairs, se questionner… Le niveau managers pour acquérir les clés de la gestion d’équipe au quotidien, échanger sur les pratiques terrain… Et enfin le niveau collaborateurs aide chacun à comprendre ses droits et devoirs, ainsi que les règles propres à l’entreprise, ses processus internes. Il facilite aussi l’intégration des nouveaux entrants en offrant une alternative au livret d’accueil.

 

Un jeu de plateau ludique et digital, également disponible sur une plateforme web

 

  • Des perspectives d’évolution ?

Oui, nous avons tellement d’idées que nous devons les prioriser ! La prochaine évolution, qui verra le jour dès le 1er trimestre 2021, est une version de Ludik’RH qui pourra se jouer à distance (actualité oblige…), tout en gardant l’aspect collaboratif auquel nous tenons beaucoup.

Et bien-sûr, d’autres jeux verront aussi le jour prochainement. Ce ne sont pas les sujets complexes qui manquent !

  • Une anecdote sympa à raconter ?

Et bien on s’est aperçues qu’on finit toujours par faire ce qu’on disait qu’on ne ferait jamais, et ça nous fait bien rire ! A la base, chacune de nous voulait rester indépendante, et nous voici associées. Chacune voulait garder la moitié de son temps pour son autre structure, et nous voici à 95% occupées par Ludik’. Nous ne voulions pas de salariés, et nous venons d’embaucher notre 1ère apprentie !

Morale de l’histoire : ne jamais dire jamais …

 

👉 Plus d’infos >  https://www.ludikmetiers.fr/👈

 

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Zoohackathon

Participez au ZOOHACKATHON !

Zoohackathon

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Rencontre avec Mouss Amaouche, membre de l’association Free Spirit et organisateur du ZOOHACKATHON, un événement tech pour la protection animale

 

Raconte-nous ton histoire ?
La belle histoire a commencé en 2015. Fabrice Hossa, créateur du Free Spirit recherchait un modèle pour créer un livre et une expo photo permettant de récolter des fonds pour l’orphelinat « Cœur céleste » au Congo.
J’ai immédiatement accroché au concept et à l’état d’esprit de Fabrice.
Je partais pour un shooting photo et  5 ans plus tard je gère des projets, je suis  porte-paroles du Free Spirit, j’ai participé à deux représentations d’un spectacle dansant au Théâtre de la Madeleine, L’Emaginarium (1200 spectateurs au total) – http://www.emajinarium.fr/ . Nous devions réaliser ce spectacle au Japon en Octobre mais le Covid en a voulu autrement..
Aujourd’hui, avec notre belle équipe, nous avons comme mission de gérer un ZOOHACKATHON au niveau Européen.

Le concept Free Spirit ?
Le Freespirit est une association a but non lucratif qui oeuvre pour la protection de la planète et du vivant. Elle est composée d’explorateurs, de photographes reporters, de plongeurs amoureux des océans, de philanthropes et d’artistes de renom, engagés pour des causes autour du mieux vivre ensemble, de la protection de l’environnement et de la biodiversité.
Le Free Spirit entreprend et soutient des projets de développement durable à but non lucratif, en offrant la possibilité à ses membres et ses partenaires de s’engager à ses côtés en faveur des populations vulnérables et de la protection de la nature dans le monde entier.

👉 En quelques mots, nos missions sont :

Participer à l’éveil des consciences 💡 – Sensibiliser les générations futures 🤝  – Protéger la vie 💜

Un ou deux mots sur vos valeurs ?
Chaque membre du Free Spirit est habité par les valeurs suivantes : Respect, humilité, solidarité, partage.

 

Un hackathon digital de 48h, du 6 au 8 novembre,

qui regroupera développeurs, entrepreneurs et experts IT

 

Peux-tu nous en dire un peu plus sur votre dernier projet : le zoo hackathon 2020 ?
Précisons qu’un ZOOHACKATHON est tout simplement un Hackathon axé sur la protection des animaux. Il a été initié en 2016 par le gouvernement américain.
En août dernier, l’Ambassade des US a contacté plusieurs organismes pour assurer la coordination et l’organisation du projet au niveau Européen et nous avons eu l’honneur d’avoir été choisis. Nous sommes fiers en tant qu’association française d’être en charge de l’organisation de cet évènement dont la portée est mondiale.
Ce ZOOHACKATHON de 48h, se déroulera du 6 au 8 novembre et a pour but de trouver des solutions technologiques sur des problématiques précises en lien avec la lutte contre le braconnage et le trafic d’animaux sauvages.
Plusieurs partenaires font déjà partie de ce bel événement, notamment l’Ambassade des US à Paris, la Commission Européenne, les Nations Unies, Microsoft, Interpol, le Ministère de la Transition Écologique, le Ministère des Affaires étrangères des Etats-Unis, l’IUCN, l’IFAW, IAE-Gustave Eiffel et nous les remercions pour leur confiance.

A qui s’adresse ce hackathon ?
Ce ZOOHACKATHON s’adresse aux développeurs, aux chercheurs, entrepreneurs, experts en IT, défenseurs de la vie sauvage et toutes les personnes concernées par ce milieu pouvant aider à répondre aux problématiques liées à la lutte contre le braconnage et le trafic d’animaux sauvage.
Il faut cependant avoir plus de 18 ans et résider au sein de l’un des pays d’Europe.

 

Un événement digital à faire en équipe en lien

avec l’Ambassade des Etats-Unis

 

Comment fait-on pour participer ?
C’est très simple, il suffit d’aller sur le site www.itfortheplanet.org, dans la session Hackathon 2020, puis « Registration » soit en tant que participant soit en tant que mentor et suivre les instructions. Une fois l’inscription validée, les participants sont redirigés vers la plateforme « DISCORD » où ils pourront enregistrer leur équipe complète (entre 3 et 5 personnes) ou se présenter en candidat libre et tenter de monter une équipe.
Il faut savoir que l’équipe gagnante partira pour quelques jours à Paris et bénéficiera d’invitations pour notre prochain spectacle à la Seine Musicale le 20 Mars 2020. Le Free Spirit offre également une invitation à l’un des membres de l’équipe pour venir visiter notre refuge partenaire au Zimbabwe ou au Kenya et ainsi faire l’expérience des actions concrètes menées sur le terrain.

Des perspectives d’évolution ?
Notre ambition est de réaliser des actions sur de long terme. De ce fait, nous ferons en sorte que le maximum de projets issus de ce hackathon, gagnants ou pas, puissent se concrétiser grâce à la recherche de partenaires, d’investisseurs, de structures… Concernant le Free Spirit, c’est beaucoup de projets qui vont voir le jour en 2021 comme « Recréer le Futur » notre sommet à Paris, dédié aux solutions et aux innovations à impact positif pour la planète. Nous organiserons également une journée dédiée à la protection des océans avec la Mairie de Paris.

👉 C’est par ici que ca se passe :www.freespiritfoundation.fr 👈

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Zoom sur l’École digitale des Antilles

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Raconte-nous ton histoire ?

Je suis Anne-Sophie Laignel, co-fondatrice et CEO de l’École Digitale. Avec mon associé, nous avons lancé un bootcamp tech aux Antilles pour permettre aux talents de ces territoires d’accéder aux mêmes chances qu’en métropole. Mon expérience dans le monde de la fintech à Paris, m’a permis d’aborder la situation locale avec un œil nouveau et sans barrière. Cela arrive à un moment de ma vie où je développe aussi l’envie de transmettre.

Le concept de l’École Digitale ?

Former des futurs talents tech en Outre-Mer. Aux Antilles les 18-25 ans sont très largement impactés par le chômage (57%).

Dans ma fonction j’ai identifié au moins 3 ou 4 métiers sur lesquels j’avais du mal à recruter. Aujourd’hui les formations continues traditionnelles proposent, la plupart du temps, des formations assez éloignées des demandes réelles des entreprises. L’idée ici, est de dispenser une formation intensive de 4 à 9 semaines, à la manière des Coding Bootcamps. Nous proposons une formation très concrète dispensée par des pointures du métier et formons à la réalité de leur futur job. Attention cela ne remplace pas une formation initiale. Mais pas de prérequis nécessaires pour y accéder, les entretiens se font sur la motivation. A la fin du cursus, nous accompagnons les apprenants vers l’emploi car tous les formateurs sont imbriqués dans l’écosystème et ont un lien direct vers l’entreprise.

Un ou deux mots sur les valeurs du programme ?

Un programme ancré dans la réalité, avec beaucoup d’opérationnel sur les métiers du digital.

C’est une formation dispensée par des experts de l’écosystème tech. La moitié du temps est consacrée à de la pratique sur des cas d’entreprises locales. Cela permet également de venir en soutien aux entreprises locales, en y apportant notre savoir-faire. C’est une relation win win. Nous voulons offrir du savoir aux élèves et de la visibilité aux entreprises et pourquoi pas, à terme, générer de vraies rencontres. Les apprenants ressortiront de l’École Digitale avec des compétences, un portfolio, une communauté et un carnet d’adresses.

Quel(s) type(s) de formation(s) / cours proposez-vous ?

Nous proposons actuellement 5 types de formations :

  • Customer success (4 semaines)
  • Web developer (janvier 2021)
  • Web marketer (9 semaines)
  • Community manager (4 semaines)
  • Growth hacker (janvier 2021)

 

A chaque Batch, une équipe terrain est mobilisée comprenant des teachers seniors, des professionnels, des teachers assistant pour accompagner les apprenants durant les travaux pratiques. Évidemment tout le contenu est disponible en ligne. Avec de la curiosité, on peut se former seul. On essaie d’inculquer un maximum d’autonomie aux élèves qui nous rejoignent. Sur ce type de formation, notre mission c’est d’éveiller la curiosité, donner un mindset. Le passage par l’École Digitale doit se vivre comme une sorte de « reset » dans un cursus ou une vie professionnelle.

Combien de temps dure une formation ?

Nos formations durent en moyenne, de 4 à 9 semaines, suivant le métier envisagé.

Comment fait-on pour s’inscrire ?

Pour vous inscrire, rien de plus simple ! Vous remplissez un formulaire en ligne et vous êtes contactés pour passer un entretien avec l’équipe pédagogique.

Des perspectives d’évolution ?

Nous souhaitons nous ouvrir à d’autres métiers du digital notamment en Web Design. Nous sommes également en train de développer un parcours entrepreneur avec un aspect plus incubateur.

 

Plus d’infos : https://www.lecoledigitale.com/ 

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Entretien masqué, ohé ohé !

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Bonjour fidèles lectrices-teurs,

Dans le contexte extraordinaire que nous vivons, un de nos candidats en process de recrutement, a répondu à nos questions pour vous éclairer et vous donner quelques précieux conseils sur le déroulement d’un entretien masqué.

Un grand merci à lui pour son témoignage, qui va en aider plus d’un-e ;)

 

As-tu senti plus d’appréhension que pour un entretien ordinaire ?

Un peu, surtout du fait que les conventions sociales que tu as habituellement (Ex: ne plus serrer la main) t’enlève une certaine forme de routine qui peut aider à réduire l’appréhension et le stress.

5 mots pour définir un entretien post-covid !

Challenge, nouveauté, oxygène, yeux, mains.

3 questions que tu t’es naturellement posé juste avant ta rencontre ?

Est-ce que je dois porter un masque pour l’entretien ou pas ?
Est-ce possible de parler pendant 2h avec un masque ?
Comment je fais si mon nez me gratte ?!

Tes tips pour lire les émotions de tes interlocuteurs à travers le masque ?

Il faut absolument lire le langage corporel de son interlocuteur. Du reste, c’est quelque chose qu’il faut savoir faire même sans masque, mais dans ce cas-là, les yeux et les mains sont à observer avec attention. Après quelques minutes on arrive à lire une personne comme si elle n’avait pas de masque.

Tes tips pour faire capter tes émotions ?

A mon avis il faut exagérer un peu les expressions faciales et les gestes de la main. On capte finalement assez vite un sourire, une approbation ou une désapprobation rien qu’en regardant les yeux d’un interlocuteur.

Quel est le malus de l’entretien post confinement dont-on pourrait clairement se passer ?

Je me demande si on ne pourrait pas se passer de l’entretien en intégralité. J’ai été invité à un entretien physique pour “dépasser” le coté visioconférence et faire connaissance. En réalité j’ai eu l’impression d’être beaucoup plus proche de mes interlocuteurs en visio avec caméras allumées que dans la même pièce, masqué. Si c’est le “new normal” il faudra une phase d’adaptation forte.
Aussi pour les personnes qui parlent beaucoup il y a une gestion différente de la respiration. On se sent vite à bout de souffle. Il faut donc modérer son flux de paroles.

Des avantages à être masqué ? ;)

A part pour cacher un vilain bouton ou une haleine douteuse, je n’en vois pas ;)

A choisir entre visio et entretien physique masqué, lequel choisis-tu ?

Visio sans hésiter. Après, il me semble possible aujourd’hui de se passer de masque si on a des distances suffisantes entre les personnes. Cette alternative me paraît plus propice aux entretiens.

As-tu senti que la situation était safe ?

Oui. Je crois que les entreprises aujourd’hui jouent clairement le jeu et font une promotion forte des gestes barrières.

Quels sont les temps forts d’un entretien post covid19 ?

On a tous 2 questions pour commencer qui sont toujours les mêmes : Comment s’est passé ton confinement ? Comment ton entreprise a traversé cette crise ? D’une certaine manière cela aide à briser la glace.

Et si demain c’est à notre tour, quels sont tes précieux conseils pour le réussir notre entretien ?

Il faut continuer à être soi-même mais accentuer un peu ses expressions faciales. Il faut également se servir de ses mains comme un outil de communication. Finalement, attention à ne pas parler trop vite car on s’étouffe vite avec un masque sur la bouche et le nez.

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Covid 19 & Onboarding

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Nos candidats témoignent !

Heureux(ses) de rejoindre une nouvelle aventure professionnelle, nos candidats doivent faire face à une situation inédite d’intégration #Onboarding dans leur entreprise.

Focus sur 3 candidat_e(s) @Enoa récemment recruté_e(s) qui livrent leurs expériences.

Zoom sur l’onboarding d’Antoine, Responsable du Planning Stratégique chez @Values.Media 

 

Présentez-vous et dites-nous en un peu plus sur votre nouveau job :)

Après avoir navigué pendant près de 10 ans dans le monde du social media et des start-up, j’ai rejoint l’agence media Values pour renforcer la réflexion stratégique et cultiver l’approche études.

Comment se passe cette intégration (assez inédite) en pleine période de confinement ?

J’ai eu la chance d’arriver deux semaines avant le confinement, d’avoir eu le temps de rencontrer IRL mes nouveaux collègues, de partager des cafés,des déjeuners, d’avoir des conversations informelles aussi. Même brève, cette période m’a aidé à m’intégrer pendant le confinement. Ensuite, c’est le travail qui permet une bonne intégration. J’ai la chance d’avoir un poste qui m’amène à échanger avec de nombreuses personnes au sein de l’agence. Les projets et la réflexion en commun soudent forcément. On travaille tous ensemble, avec un objectif commun : produire les bonnes stratégies et faire les meilleures campagnes médias.

La clé d’une intégration à distance réussie ?

Bien heureux celui qui aurait la formule de l’intégration réussie dans ce contexte ! Néanmoins, la capacité d’adaptation, l’autonomie sont des ressources précieuses. D’ailleurs, l’ensemble de l’agence a vite été très réactive. Je crois que c’est l’émulation collective qui crée la dynamique dans laquelle chacun se sent à sa place, avec son rôle à jouer. Je me suis très vite senti au sein d’un collectif et non dans le besoin d’être « intégré ». Peut-être même que ce confinement a acceléré mon intégration. Face à un événement inédit, on se serre les coudes pour tenir le cap et avancer.

Quels process ont dû être mis en place pour faciliter votre intégration ? Est-ce vraiment différent d’une intégration classique ?

Tout le process classique était déjà enclenché. Au moment du confinement, nous étions en train de finaliser la réponse à un appel d’offres. J’étais déjà dans le bain.

Parlez-nous des différentes étapes de votre onboarding à distance !

J’ai eu la chance d’avoir des projets et des missions de suite. C’est vraiment le meilleur on boarding qui soit. On m’a fait confiance en me laissant de l’autonomie pour travailler sereinement.

Dès qu’il y avait un angle mort, une incompréhension de ma part sur un sujet, j’avais toujours des personnes disponibles pour échanger. Chaque jour, j’ai toujours eu au téléphone des gens de l’agence (en plus des visios que je ne compte plus). Il n’y a pas eu une succession d’étapes mais une période tout en un.

Quelques tips pour tisser des liens avec ses nouveaux collègues à distance ? :)

Les NTIC sont formidables pour travailler, communiquer mais ne peuvent remplacer les discussions d’un déjeuner, les échanges à la terrasse d’un café (là où souvent, on a de riches idées). Rien ne remplacera le fait de se voir, rien ne remplacera non plus les discussions hors cadre.

Après, un gif rigolo, ça marche toujours !

Votre outil de travail préféré durant le confinement ?

Sans hésitation : Apple Notes.

Les leçons à tirer et les process d’intégration à garder post confinement ?

J’ai vécu le confinement comme un révélateur. Révélateur de notre capacité à s’adapter, se coordonner, à communiquer. Même à distance. Révélateur aussi de choses que j’imaginais moins. L’importance des « petits riens » : le café partagé, l’anecdote gratuite, les bruits de couloir. Ce sont aussi ces moments fortuits qui participent à la réflexion, le surgissement des idées, le juste ton.

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Covid 19 & Onboarding

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Nos candidats témoignent !

Heureux(ses) de rejoindre une nouvelle aventure professionnelle, nos candidats doivent faire face à une situation inédite d’intégration #Onboarding dans leur entreprise.

Focus sur 3 candidat_e(s) @Enoa récemment recruté_e(s) qui livrent leurs expériences.

Zoom sur l’onboarding de Sophie #ResponsableDesVentes chez @Picard :)

 

Présentez-vous et dites-nous en un peu plus sur votre nouveau job :)

Passionnée par le commerce, le management et la satisfaction client, j’ai rejoint l’enseigne Picard il y a un mois, en tant que responsable des ventes.

Comment se passe cette intégration (assez inédite) en pleine période de confinement ?

 Mon intégration s’est faite en magasin avec l’équipe, les clients. Il a donc fallu se protéger. Nous avons peu de contact avec les services centraux, (mails et téléphone uniquement). Malgré le contexte, j’ai eu un excellent accueil de la part de mes collègues et ma hiérarchie.

Quels process ont dû être mis en place pour faciliter votre intégration ? Est-ce vraiment différent d’une intégration classique ?

Différent oui, à cause du contexte. On ne peut pas rencontrer ses interlocuteurs. Nous mettons en place des réunions à l’aide de TEAMS ; puis finalement … on revient à l’essentiel d’une intégration.

Parlez-nous des différentes étapes de votre onboarding ?

Accueil, présentation de la société, planning d’intégration qui s’adapte à l’actualité, aux déplacements possibles et outils mis en place.

Quelques tips pour tisser des liens avec ses nouveaux collègues en période de confinement ? :)

Garder le contact ( mail , téléphone), partager des photos pour soutenir les équipes sur le terrain, et des remerciements sincères pour les équipes qui font leur maximum pour garantir l’ouverture de leur magasin.

Votre outil de travail préféré durant le confinement ?

Teams, qui permet de garder le contact avec l’ensemble des équipes.

Les leçons à tirer et les process d’intégration à garder post confinement ?

L’adaptabilité. C’est très important, et rester optimiste quelque soit les difficultés rencontrées. Mon intégration aurait-elle été plus pertinente à un autre moment ? Pas certain, j’ai ressenti une solidarité, une bienveillance très forte, un attachement à la marque qui me donnent envie de m’investir dans ce projet !

On laisse le dernier mot à la Responsable RH Réseau  : quel est votre regard sur cette intégration inédite ?

En effet cette intégration aura été inédite.  Accueillir une nouvelle collaboratrice, qui plus est une Responsable des Ventes,  au sein de magasins ouverts pendant cette période n’a pas été une décision facile à prendre. Ma première réaction a été de vouloir décaler l’arrivée de Sophie mais face à son envie de nous rejoindre au plus vite,  Sophie a débuté chez Picard à la date prévue : au tout début de la crise donc ! Rien ne s’est passé bien sûr comme habituellement : pas d’accueil sur site autour d’un café mais des échanges par mail, par téléphone et  via Teams… Prises par le tourbillon de la crise nous n’avons pas pu autant échanger que lors des 3 mois qui ont séparé la décision de S.ophie de nous rejoindre et son arrivée. Il me tarde donc que la première partie de son intégration en magasins arrive à sa fin pour que nous puissions commencer à collaborer ensemble et surtout enfin se revoir !

Merci pour votre participation :)

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Covid 19 & Onboarding

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Nos candidats témoignent !

Heureux(ses) de rejoindre une nouvelle aventure professionnelle, nos candidats doivent faire face à une situation inédite d’intégration #Onboarding dans leur entreprise.

Focus sur 3 candidat_e(s) @Enoa récemment recruté_e(s) qui livrent leurs expériences.

L’onboarding de Jenny #DRH chez @FFTP

Enoa vous présente la pétillante Jenny, #DRH chez @FFTP qui nous amène au coeur de l’action, toujours avec le sourire :)

 

Présentez-vous et dites-nous en un peu plus sur votre nouveau job :)

Après plusieurs années dans de grands groupes, j’ai eu la chance d’intégrer Frequent Flyer Travel Paris, en tant que Directrice des Ressources Humaines. Frequent Flyer Travel Paris est une agence de voyages d’affaires dont l’énergie et les valeurs correspondent parfaitement à ce que je recherchais : la possibilité de pouvoir m’investir pleinement dans des projets stratégiques, être partie prenante et avoir un vrai rôle de « business partner » sans concession sur des valeurs humaines fortes.

Comment se passe cette intégration (assez inédite) en pleine période de confinement ?

Ayant pris mes fonctions la veille du confinement, l’intégration est tout à fait inédite, en effet ! Malgré tout, je me sens pleinement intégrée dans l’équipe :  la crise du Covid19 transformant obligatoirement notre manière de travailler, j’ai forcément à traiter, en tant que DRH, de nombreux sujets qui nécessitent des interactions variées. Ces interactions ne font donc que provoquer positivement et faciliter davantage mon intégration !

La clé d’une intégration à distance réussie ?

Un quintal d’enthousiasme et de positivité, l’équivalent en adaptabilité et agilité, beaucoup d’endurance et de proactivité, le tout saupoudré de curiosité (positive bien sûr pour s’intéresser et aller chercher les informations) et d’envie !

Quels process ont dû être mis en place pour faciliter votre intégration ? Est-ce vraiment différent d’une intégration classique ?

Comme indiqué, je suis arrivée chez Frequent Flyer Travel Paris, la veille du confinement. J’ai donc pu avoir in extremis tout le matériel et les accès nécessaires pour pouvoir travailler à distance. Je tiens à souligner la réactivité des équipes SG et SI et à les remercier :  sans eux, il m’aurait été difficile de pouvoir travailler.

Concernant l’aspect matériel, l’accès aux données ou le partage d’information, l’intégration à distance peut tout à fait rivaliser avec l’intégration en présentiel. En revanche, la RH que je suis ne peut que souligner l’importance du contact humain. Il faut donc se montrer créatif et inventer des situations d’échange en étant par exemple, davantage dans l’informel : passer un coup de fil pour prendre simplement des nouvelles ou, dans le cas de cette intégration, simplement partager, s’intéresser à l’autre.

Parlez-nous des différentes étapes de votre onboarding à distance !

Première étape : Réception du matériel, accès à distance à l’infrastructure, aux données et réseaux. Formation à distance aux outils du quotidien (Visio, casque, intranet …)

Deuxième étape : Partage d’un organigramme me permettant d’avoir une vision globale de tous les collaborateurs de FFTP, de leur rôle et appartenance aux différentes équipes.

Troisième étape : Echange « au fil de l’eau » ou plutôt au fil des sujets avec mes différents collègues et du coup premiers contacts relationnels et premières interactions professionnelles Je tiens également à souligner le support quotidien de mes managers qui maintiennent le lien et avec qui je communique tous les jours (merci à eux !!)

Les photos Skype ou le « challenge photo » organisé par Frequent Flyer Travel Paris me permettent aussi de mettre un visage sur un nom et les visio conférences sont idéales pour échanger plus en « face à face » ! J’ai l’impression de connaitre déjà beaucoup de mes collègues !

Quatrième étape : après le confinement partager un café, un déjeuner avec toutes ces personnes !

Quelques tips pour tisser des liens avec ses nouveaux collègues à distance ? :)

J’ai tendance à penser que pour tisser des liens avec ses nouveaux collègues, il n’y a pas tant de différence entre le présentiel et le « à distance ». Dans les deux cas, si j’avais un « tips » ce serait celui de ne pas tricher : être soi-même, à l’écoute et dans la bienveillance.

Le relationnel c’est se lier aux autres donc, que ce soit à distance ou en face à face, l’important est d’être vrai.

Dans la situation inédite que nous vivons, plus que jamais il est important d’accroitre notre vigilance à l’autre et de maintenir un lien.

Votre outil de travail préféré durant le confinement ?

Mon outil de travail préféré ? celui que j’utilise à l’instant : mon ordinateur, d’autant plus que je peux passer des appels et organiser des visio conférences avec !

Les leçons à tirer et les process d’intégration à garder post confinement ?

Rester positif, faire preuve de résilience, persévérance et surtout bienveillance.

On laisse le dernier mot au dirigeant : comment vivez-vous cette intégration inédite ?

Très très bien, je pourrais dire comme d’habitude !

Nous attachons une grande importance à ce que nos collaborateurs trouvent en arrivant, l’ensemble de leurs outils opérationnels. Le contexte nous a forcé à nous adapter en anticipant au maximum :

  • Au niveau technique nous avions prévu un poste nomade pour organiser son télétravail en prévision d’un confinement
  • Au niveau des dossiers, nous avons échangé avec Jenny avant son arrivée pour faire un état des lieux.

L’objectif était d’être opérationnel dès le 1er jour pour affronter le tsunami réglementaire à notre porte.

FFTP pratique le télétravail depuis plus de 10 ans avec toute la suite d’outils pour créer du lien à distance. Malgré ce que l’on pourrait penser, je n’étais pas inquiet sur cet aspect. Les choses se sont faites naturellement et ont mêmes été accélérées par l’actualité. Pour le coup, cela a été ressenti comme une opportunité.

On pourrait penser que le contexte nous a bousculé, mais cela fait partie de notre quotidien de nous adapter. Pour réussir cette intégration, nous avons tous fait des efforts en bonne intelligence et avec bienveillance, depuis plusieurs semaines cette intégration est déjà oubliée.

Merci pour votre participation :)

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Le monde du travail de demain

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Le monde du travail de demain … à travers les yeux de Louise 10 ans

Après cette crise, car elle va sûrement s’arrêter, voilà comment j’imagine le monde du travail.

Les métier durs et indispensables comme les éboueurs seront bien mieux payés.

Les infirmiers aussi seront mieux payés et pourrons aussi passer plus de temps avec leurs enfants, car ils sont humains, ils ont besoin d’amour et de beaucoup de repos.

Les enseignants aussi devront être mieux payés car ils font un travail dur, tous les parents ont du le remarquer pendant le confinement ;)

Nous pourrons faire plus de télétravail car lorsque l’on a un métier qui nous prend beaucoup de temps il est important de pouvoir se retrouver au calme sans la pression du travail.

Je pense aussi que pour aller au travail sur des petites distances, il faudrait favoriser les vélos et trottinettes pour moins polluer et faire de l’effort physique.

Et pour les longues distances ,prendre les transports en commun et non la voiture (surtout pour ceux qui la prenne seul).

Faire des cours par correspondance 1 jour par semaine pour stimuler la concentration des élèves.

De faire plus d’enseignement sur les métiers essentiels pour donner envie.

Faire en sorte que les migrants aient un accès plus élevés au monde du travail.

Donner des cours de musique, cuisine, bricolage…gratuits pour les plus pauvres d’entre nous.

Et surtout ,l’essentiel à mes yeux sur le monde du travail de demain, que l’entreprise soit petite ou grande, riche ou pauvre, secondaire ou essentielle, que tout le monde se sert les coudes car c’est ensemble, soudés que l’on arrivera à tout accomplir !

Et que Enoa garde sa positive-attitude ;)

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Zoom sur Parégrine

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Rencontre avec Marion Delage, co-fondatrice de Parégrine

Raconte-nous ton histoire !

Je possède une formation d’ingénieur. J’ai travaillé pendant 7 ans, dans l’industrie française, d’abord dans le nucléaire puis dans la distribution d’électricité J’ai le cursus classique de la bonne élève qui ne s’est pas trop posé de question et qui n’avait pas la maturité nécessaire pour savoir ce qui lui plaisait vraiment.  Mes parents m’ont poussée dans cette voie supposée royale mais qui ne me passionnait pas non plus. Durand mes premières années de carrière, j’étais très opérationnelle et très terrain. C’était plaisant, je m’inscrivais dans un projet concret. Puis, sur mes derniers postes, aux fonctions supports, je développais plutôt des visions stratégiques 360 sur le long terme. Je trouvais beaucoup moins de sens à ce que l’on me demandait. C’est à ce moment-là, qu’avec deux amis ingénieurs, nous nous sommes dit que c’était l’occasion de sortir des sentiers battus.

Pourquoi ne pas tenter une nouvelle aventure ?

Le concept Parégrine ?

Mes associés et moi, côtoyons dans nos cercles d’amis respectifs des artistes et notamment des photographes. Notre idée nous est venue en écoutant leurs témoignages et leurs difficultés à faire connaître leurs travaux en dehors des représentations en galeries. Nous avons alors souhaité les aider à rendre leur travail visible et en parallèle, désacraliser l’art et renouveler le modèle économique autour de son acquisition.  L’origine de notre premier logo est d’ailleurs, un focus d’appareil photo. Nous sommes actuellement entrain de le changer, la nouvelle version sera bientôt disponible sur notre site.  Par la suite nous avons étoffé notre service en proposant plus largement une décoration murale sur mesure et clé en main. Notre service s’articule alors autour de l’abonnement photo et de créations personnalisées de fresques et designs muraux. Pour résumé, Parégine c’est : promouvoir l’accès à l’art, des artistes locaux et pouvoir renouveler sa décoration aussi souvent, que nécessaire !

Au tout début, nous voulions vendre ce projet aux particuliers. Nous avons assez vite repensé un nouveau modèle économique exclusivement destiné au BtoC. C’est plus impactant en termes de notoriété pour l’artiste & cela nous permet aussi de réaliser des projets de plus grande envergure. Nous proposons aux entreprises une décoration personnalisée, une histoire à raconter et d’ancrer la communauté de l’entreprise dans un lieu de vie commun.

Parégrine, pourquoi ce nom ? ;)

Parégrine c’est la concaténation des mots pérégrin/ pérégrine (nomade de la Rome antique) et art. Avec Parégrine, l’art évolue au fil des saisons et au gré des envies. Il voyage d’intérieurs en intérieurs et fait voyager les occupants des lieux qu’il décore :)

L’art, une passion ?

Nous sommes 3 associés : Yves, Vincent & moi-même. Yves est amateur de photographie. Vincent,c’est plus le design. Moi j’ai pas vraiment le crayon artistique mais ce que j’aime, c’est plutôt l’écriture. Ce qui nous rassemble surtout, au-delà de notre amitié, c’est notre volonté de lutter contre ces encore trop nombreux bureaux très froids et déshumanisés, aseptisés et corporate. Au début de Parégrine, en octobre 2017, nous avons travaillé dans des coworking, chez des amis et c’est à ce moment-là que nous avons découvert de nouveaux espaces de travail, frais, chaleureux et accueillants ! Ça a été, en quelques sortes, une révélation ! Pour nous, deco de bureau rimait avec photo corporate ou image corporate punaisée ou encore, photo du pont de Brooklyn ou du bus londonien. Parégrine a vu le jour en octobre 2017.

Un ou deux mots sur les valeurs que tu donnes à ton activité ?

Des valeurs humaines ! Le concept Parégrine c’est de rendre l’entreprise plus inclusive. Créer des moments d’échanges, de partage et de respect entre les salariés. Il y a, aussi, la volonté de valoriser les artistes locaux. Nous sommes dans une démarche « écoresponsable ». Nous proposons des collaborations avec des artistes à proximité des locaux de l’entreprise pour laquelle on travaille. Il y a cette notion de cycle, de mobilité. Renouveler fréquemment sa décoration en fonction des saisons, de l’actualité etc.

La promotion des artistes locaux, comment ça se passe en interne ?

Nous répertorions un pool d’artistes avec lesquels nous travaillons régulièrement. Pour eux, c’est totalement gratuit, il n y a pas de frais d’inscription à l’entrée, sur la plateforme. Ils sont rémunérés à la prestation. De notre côté, nous avons un rôle de gestion de projet et de coordinateur. Nous nous adaptons à toute demande client. Notre rôle c’est de co-construire avec le client, son projet (en fonction de ses envies, son budget etc). Puis nous coordonnons l’intervention de l’artiste. Connaître le budget c’est crucial pour s’avoir à quel type d’artiste s’adresser et avoir une vision sur l’ampleur du projet (au niveau des formats etc.). Nous pouvons même avoir plusieurs artistes pour un seul et même projet. Nous sommes force de proposition sur le type du support choisi. Par exemple, nous pouvons produire des fresques amovibles, des stickers repositionnables, des papiers peints effet velours… tout est possible! Nous garantissons une véritable vision 360 du projet.

Comment s’articule votre offre ?

Nous n’avons pas de formule. C’est du sur-mesure. Le client nous contacte et nous travaillons sur un projet, ensemble. Par exemple, pour ton mur, je peux te proposer une prestation à 2000 euros, comme à 1000 euros. C’est en fonction de tes besoins, de tes moyens☺.  Pour les prestations sur mur, nous mettons en place, généralement, des vernissages pour présenter l’artiste. En revanche, il s’agit d’un package pour la photographie. C’est un abonnement mensuel sans engagement qui varie en fonction du format, du nombre de photos sur trois fréquences de renouvellement (3,6, 12 mois). Généralement, nous sommes sur des formats numérotés, tirés en peu d’exemplaires. Avec la photo, nous fournissons un cartel explicatif pour faire connaître l’artiste.

Quels types de prestations artistiques proposez-vous ?

De la photographie, de l’illustration, du figuratif ou de l’abstrait du street art, de la signalétique décorative, de la peinture. Notre idée c’est de décorer murs, sols, plafonds, intérieur comme extérieur avec différents types de décorations. A titre d’exemple,  nous avons récemment décoré la cage d’escalier d’une entreprise sur 6 étages (pour inciter les salariés à prendre les escaliers plutôt que l’ascenseur) en signalétique décorative. Nous avons produit une infographie avec des informations données à chaque étape du parcours (Kcal dépensés etc.)

Vous visez tous les secteurs ?

Nous travaillons pour tous secteurs confondus même les plus codifiés ;). Nous avons mis en place un projet, pour un fond d’arbitrage. Ils ont fait appel à nous pour une exposition photo au sein de l’espace cafétéria. Ce projet a permis de favoriser les échanges entre collaborateurs. Les dirigeants nous ont finalement demandé d’intégrer un concours de photographie entre collaborateurs. C’est le partage d’une passion commune !

Des perspectives d’évolution ?

Nous sommes en train de refondre le site internet pour le rendre un peu plus « arty » ;). Nous espérons collaborer prochainement avec de grands acteurs de l’immobilier sur des projets de grande ampleur.

Une anecdote sympa à raconter ?

Nous avons vécu un véritable ascenseur émotionnel, il y a peu ! Nous étions missionnés pour une grande entreprise, sur un projet de papier peint. C’était un projet de grande envergure, construit de A à Z, au sein d’une tour, à Montparnasse. Le problème, c’est que nous n’avions pas connaissance des normes spécifiques liées aux tours et immeubles de grande hauteur. La norme de sécurité pour l’incendie est plus accrue qu’au sein des bâtiments classiques. Le client n’était pas au courant, et nous sommes aussi passés au travers. Plus de peur que de mal, notre partenaire poseur a reconnu qu’il aurait dû proposer le revêtement adéquat et il s’est chargé de la dépose puis repose du support aux normes ultra rapidement. La morale de cette histoire : « c’est en faisant qu’on apprend ! »

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Emma, chargée de recherches !

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Bonjour Emma & bienvenue dans la team Enoa !

Raconte nous ton histoire. Qui es-tu ?

Je m’appelle Emma Braud j’ai 20 ans (bientôt 21!), j’ai toujours habité la région parisienne. Je sors d’une licence économie gestion à Paris Descartes et j’intègre l’école Sup des RH en alternance.

Pourquoi avoir choisi le recrutement ? Qu’est ce qui t’anime dans ce secteur ?

Pour moi, le recrutement tient un rôle clé au sein des entreprises ! J’aime l’idée de les accompagner dans leur développement RH et trouver la perle rare qui fera toute la différence.
J’appréhende chaque embauche comme un véritable challenge !

Pourquoi avoir rejoint  la dream team @Enoa ;) ?

J’avais repéré Enoa sur les réseaux sociaux.
Lorsque j’y suis allée la première fois, je m’y suis sentie immédiatement à l’aise. Point très important moi. Puis j’ai rencontré les associées et toute l’équipe, j’étais définitivement conquise !
J’aime le fait que ce soit une équipe à taille humaine, avec une forte expertise métier et des clients très variés.
Le cadre de travail est épanouissant et le fonctionnement du cabinet me correspond parfaitement (agilité, bienveillance, expertise, écoute, volonté de me faire grandir et de m’apprendre le métier).

Une anecdote croustillante à nous partager de ton road trip cet été ?

Cet été, j’ai passé un mois en Australie entre Sydney et Cairns (tout au nord de l’Australie). C’était AMAZING ;). J’ai découvert des paysages magnifiques, j’ai nourri des wallabies (petits kangourous) et j’ai porté des koalas. Mais le plus excitant était de nager à la grande barrière de corail, de voir tous les coraux et les poissons aux couleurs incroyables ! Des souvenirs à jamais gravés !

Merci & bienvenue Emma ! ;)

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Zoom sur Niobé, les meubles végétalisés

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Rencontre avec jean Macchi, co-fondateur de Niobé, les meubles végétalisés

 

Raconte-nous ton histoire !

J’ai travaillé pendant plusieurs années en cabinet de conseil. Nous avions, avec mon ami de longue date, Arnaud, l’envie de créer une entreprise créative et solidaire. L’idée : développer un concept avec du sens et un fort impact social. Passionnés par la nature et le design, nous nous sommes entourés d’une équipe partageant la même passion (technicien, designer, créatifs etc.) et Niobé est née !

En tant que véritables citadins, travaillant à la Défense, au milieu de la pollution et du béton,  nous étions heureux de retrouver nos cocons de verdure, une fois rentrés à la maison !  Nous avons donc imaginé des meubles végétalisés comme des îlots de verdure, pour qu’ils rendent nos intérieurs plus sains et bienveillants.

Le concept Niobé ?

Niobé c’est un meuble végétalisé et éthique. Nous avions cette envie d’aider les citadins à se sentir mieux chez eux, en intégrant la nature et les plantes dans leurs intérieurs. A ce concept, nous y avons ajouté le design. La plante est donc intégrée à un meuble et un réservoir en céramique poreuse permet de simplifier l’arrosage. Il suffit de le remplir toutes les deux, trois semaines et le tour est joué !

Nous aidons également les personnes fragilisées, notamment en situation de handicap, à s’insérer dans le monde du travail. C’était très important pour nous, d’avoir cette dimension éthique à notre projet.

Comment fonctionne votre système de production ?

Nous nous sommes associés à Jonathan Denuit, paysagiste et designer. Il a conçu notre première collection. Il s’est basé sur la nature pour créer un lien entre le végétal et le minéral. Il s’est d’ailleurs inspiré de l’univers du Douanier Rousseau, en référence à une jungle luxuriante.

Pour aider les personnes en situation de handicap et les intégrer au projet, nous nous sommes rapprochés de plusieurs ESAT (Etablissement et Services d’Aide par le Travail, anciennement CAT). Nous avons choisi de travailler avec l’ESAT de Nevers, qui accompagne 130 travailleurs handicapés. Ils possèdent un savoir-faire en métallurgie, que nous recherchions et un accompagnement de qualité, auprès des travailleurs handicapés.

Côté poterie. Nous faisons appel à la poterie Normand à St-Amand-en-Puisaye, très connue pour son savoir-faire. Le village est à 60km de Nevers, ce qui est, aussi, une aubaine en termes de localisation.

Un ou deux mots sur les valeurs que tu donnes à ton activité ?

Il y a un aspect social. Nous voulons agir pour une société plus juste. Et aussi, produire localement. Tous nos produits sont développés  « Made In France », pour une fabrication entièrement réalisée en Bourgogne. Puis, nous avons toute cette dimension de bien-être, affiliée à notre projet. Nous voulons améliorer le bien-être des citadins grâce à des meubles design qui fusionnent avec la nature.

Quels sont les gammes de produits que vous proposez ?

Aujourd’hui, nous avons développé 3 prototypes :

  • L’étagère végétalisée
  • Le bout de canapé végétalisé
  • La console végétalisée

 

Nous sommes actuellement en pleine levée de fonds et vous pouvez les précommander sur notre campagne de crowdfunding. Nous proposons aussi des plantes tropicales et des affiches.

Des perspectives d’évolution ?

Nous sommes une boîte toute jeune. Nous avons lancé le concept il y a tout juste un an et demi. Nous cherchons à développer une cible BtoC / BtoB et proposer la végétalisation d’entreprises. Par la suite, nous aimerions proposer d’autres types de meubles comme des luminaires végétalisés ou des miroirs végétaux.

Une anecdote sympa à raconter ?

Une citation, qui illustre bien notre état d’esprit concernant ce projet : « N’allez jamais chez un docteur dont les plantes de la salle d’attente sont mortes » – Erma Bombeck ;)

Vous avez jusqu’à mercredi, minuit pour participer à leur campagne de précommande :

https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/niobe-le-meuble-vegetalise-et-ethique

Retrouvez-les via le site internet : https://www.lemeubleniobe.fr/

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Zoom sur l’offre « Talk » chez Althéa

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Rencontre avec David Gordon, Expert en communication RH & Corporate

 

Raconte-nous ton histoire ?

Comment t’es venue l’idée de créer une offre d’accompagnement aux communication internes via podcasts/Web Radio ?

Tout au long de ma carrière, j’ai développé une double vocation, pour les ressources humaines, et la communication interne des entreprises. Aujourd’hui, je suis senior manager chez Althea, cabinet spécialisé en RH. J’accompagne les entreprises dans leur transformation RH, et dans l’accompagnement au changement. En parallèle, je suis passionné de radio depuis que je suis étudiant, et j’ai réussi depuis quelques années à raccrocher ma passion à mon travail ! J’ai constaté pendant mes nombreuses années de conseil aux entreprises, que la communication interne est souvent sous-estimée, avec des médias qui ne fonctionnent plus (newsletters très peu lues, affiches etc.) alors que les collaborateurs utilisent, eux, des médias innovants dans leur vie de tous les jours (podcast, web radio, vidéo à la demande). J’ai vite compris qu’il y avait un axe de développement autour de nouveaux médias, et de nouvelles approches en entreprise. C’est ainsi que j’ai imaginé l’offre «Talk ». C’est-à-dire une offre de conseil et de production d’outils de communication internes dans lesquels on ose innover !

Le concept de l’offre « talk » chez Althéa ?

L’offre « talk » a débuté en 2015 par la création de radios d’entreprises et de podcasts. Aujourd’hui, elle s’est largement développée. Nous proposons des productions de web radios en continue, des web tv, des team building de création d’émissions de radio (équipe de 10 – 15 personnes que l’on amène petit à petit, à devenir des vrais animateurs radio d’un jour). Nous développons aussi des couvertures de salons professionnels avec des studios radio et des studios TV pour une diffusion en live streaming. Enfin, nous intervenons pour construire des séminaires (contenu, animation). Nous sommes en charge de la production mais aussi du conseil apporté en amont, sur le développement des concepts. Nous proposons des missions de stratégies de communication internes afin d’identifier tous les canaux de communication.

Un ou deux mots sur les valeurs que tu donnes à ton activité ?

Le partage, et la co-construction ! C’est d’ailleurs la base de notre méthodologie ! Nous concevons nos émissions dans un mode collaboratif de co-construction avec les collaborateurs de l’entreprise, impliqués dans la création du contenu jusqu’à l’animation des émissions. Grâce à cette méthode, la communication est beaucoup plus transversale, collaborative, transparente.

C’est le graal en communication interne : nous avons des ambassadeurs qui promeuvent le média, et portent eux-mêmes les messages corporate !

Comment se déroule l’enregistrement d’une web radio ?

Une web radio débute toujours par une réunion avec le client pour définir le concept : habillage sonore, nom de l’émission etc. Avant chaque émission, il y a une conférence de rédaction, puis, nous nous répartissons les sujets (certains collaborateurs co-rédigent). Nous pouvons créer un studio radio ou TV dans les locaux de nos clients pour créer l’événement in situ, ou également convier les invités dans un studio professionnel. Dans tous les cas, ce qui est important, c’est de faire intervenir et de mettre en avant des collaborateurs/trices de l’entreprise ! Et avec notre méthode de coaching de prise de parole que nous utilisons avant chaque émission, même les plus timides parviennent à briller ! ;)

Comment est diffusée la webradio ou la web TV ?

Très simplement ! Nous hébergeons les émissions, qui peuvent être diffusées sur les réseaux sociaux d’entreprises, sur des sites ou applications mobiles dédiées, ou encore par les systèmes de diffusion son (en point de vente par exemple).

Quelques exemples de cas concrets ?

J’ai récemment accompagné Naf Naf dans la production de Naf Naf Radio ! A l’origine, la Directrice des Ressources Humaines recherchait un moyen ludique, rapide et efficace de transmettre des informations RH à l’ensemble des équipes du réseau. Nous avons préparé, enregistré et diffusé l’émission en quelques jours. Tous les points de vente ont pu écouter les news Naf Naf lors d’émissions de radio, diffusées avant l’ouverture du magasin (pendant la préparation des boutiques), et après la fermeture (pendant le rangement des points de vente).

Des perspectives d’évolution ?

Nous travaillons sur la mise à disposition d’une plateforme de diffusion de médias corporate qui sera complètement orientée métier – entreprise. Cette plateforme permettra un réel pilotage des retombées analytiques (nombre d’écoutes, KPIs autour de l’émission).

Une anecdote sympa à raconter ? :)

J’ai rencontré mon épouse autour d’un micro, pendant une émission de radio… C’est peut être ça, la raison de ma passion pour ce média, qui sait ?

Pour en savoir plus : https://www.althea-talk.com/

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Rencontre avec Marina Levy Rueff

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Rencontre avec Marina Levy Rueff, facilitatrice sur le retour de congé maternité

 

Comment as-tu eu l’idée de devenir coach / consultante RH & d’aborder le thème du retour de congé maternité ?

J’ai travaillé pendant 17 ans dans les ressources humaines, en entreprise, sur des postes à responsabilités. Aujourd’hui, je suis consultante RH & coach diplômée d’Etat. Je travaille sur deux thèmes : le management et la diversité.

J’ai vécu 2 retours de congé maternité & cela m’a donné l’idée de développer une offre de coaching autour de ce sujet.

Peux-tu nous décrire ton activité ? Les briques de conseil que tu proposes ?

Je propose des ateliers d’une à deux heures sur différentes thématiques liées au management, utilisables en sensibilisation, teambuilding et formation. J’ai également construit un escape game sur le handicap, pour interpeller avec du ludique.

Et je fais donc également des coachings spot sur des sujets comme la prise de fonction & le retour de congé maternité.

A qui cela s’adresse-t-il ?

Je m’adresse aux entreprises qui ont des politiques sur la diversité ou la mixité & la parentalité. Mon coaching est contributeur de la marque employeur.

Un ou deux mots sur les valeurs que tu donnes à ton activité ?

Le concret. J’aime que les personnes ressortent avec leurs propres solutions, des solutions concrètes. Je m’appuie souvent sur des situations réelles pour les faire évoluer.

Peux-tu nous dire quelques mots sur le coaching du retour de congés maternité ?

Tout d’abord il y a deux intérêts sur ce type de coaching :

  • Un bénéfice individuel, pour permettre à la salariée de formaliser ses attentes & trouver des solutions pour gagner en sérénité.
  • Un bénéfice collectif, pour exprimer les souhaits des salariées qui reviennent de congés maternité et ainsi faire évoluer la culture d’entreprise.

C’est l’entreprise qui propose ce type de coaching aux salariées, avant leur retour de congé maternité, et  jusqu’à 2-3 semaines après le retour en entreprise. C’est un moment charnière où la personne à la possibilité de changer ses habitudes.

Le coaching de retour de congé maternité s’articule en 3 temps :

  • J’envoie un canevas pour que la personne formalise les réponses & les problématiques rencontrées (ex : « Ce qui lui plait dans son poste ? » ; « Quelle est son organisation pour la garde de ses enfants ? » ; « Quelles sont ses contraintes » ; « Les actions que l’entreprise a mis en place pour l’aider, ses interlocuteurs en interne ? » etc).
  • Un rendez-vous de 2 heures de coaching en face à face, avant le retour ou très rapidement, après. Je pose le cadre de coaching, de confidentialité etc. Je détermine deux objectifs (deux sujets) que l’on va traiter avec la personne coachée afin de trouver des solutions et des stratégies pertinentes à l’atteinte de ses objectifs.
  • Un entretien téléphonique quelques semaines après le retour.

 

As-tu des retours de mamans ayant déjà testé l’expérience ?

Les retours sont bons, notamment en termes d’aide à l’organisation. Les problématiques les plus abordées sont souvent celles autour de la gestion du temps. C’est ce qui change drastiquement avec l’arrivée d’un enfant.

Une anecdote sympa à partager ?

Un manager, m’a dit, en parlant des femmes ayant des enfants en bas-âge : « Les femmes de retour de congé maternité sont focus sur un temps limité et sont hyper efficaces, tout en se culpabilisant de ne pas pouvoir avoir plus de temps à accorder à leur vie professionnelle. Il faut qu’elles prennent conscience de leur efficacité. »

Des perspectives d’évolution ?

J’aimerais que ce type d’accompagnement rentre dans la norme car je pense qu’il y a un réel besoin. Concernant les perspectives d’évolution, l’idée serait de développer une offre de coaching similaire autour du congé paternité. C’est plus court, mais c’est quand même un bouleversement dans la vie des papas, qui eux aussi, ont envie de passer plus de temps avec leurs enfants. Nous parlons souvent des mamans mais pas forcément des papas, et l’égalité professionnelle ça passe aussi par là.

 

Plus d’informations sur https://www.linkedin.com/in/marina-levy-rueff

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Zoom sur le concept First Million

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Rencontre avec Corentin Orsini, co-fondateur de First Million

 

Explique-nous le concept de First Million ?

Nous sommes 4 associés très complémentaires. Nous possédons un panel de compétences variées, grâce à nos différents parcours : en juridique (Fabrice Epstein), dans la finance grâce à mes compétences & en scaling (Sylvain de Ly & Matthieu Douchy). Cela fait des années que nous aidons des entrepreneurs, à titre professionnel comme personnel. Pour ma part,  j’accompagne des entrepreneurs dans leurs levées de fonds. Un jour, nous nous sommes posé la question de professionnaliser et officialiser notre complémentarité. Et First Million est née.

L’entrepreneuriat est une jungle. Notre but : aider les créateurs d’entreprise à s’orienter dans cette jungle ! Avec First Million, nous voulons unir nos forces et nos savoir-faire afin d’apporter une aide structurée, complémentaire et riche pour tous les entrepreneur(e)s désireux d’aller plus vite. Nous accompagnons les start-up, TPE, PME dans la construction d’une activité rentable, pérenne et le développement du 1er million d’euros de CA.

Nous sommes tous les quatre déjà  passés par là : difficulté d’émerger et de créer une marque sans notoriété. C’est justement cela qui nous anime et que nous avons envie d’apporter aux entreprises.

Comment t’est venue l’idée de créer First Million ? Raconte-nous ton histoire !

Avant, j’étais côté « investisseur ». J’ai travaillé dans le capital risque et j’ai vu passer pas mal de dossiers startup comme Videdressing, TextMaster, TalentSoft … J’étais également, à l’origine de la création de boites sur internet, avec des succès, des échecs. J’avais un ensemble de sites gastronomiques de niche (affilié de La Fourchette), j’ai fait de la location saisonnière d’appartements à Paris et puis, j’ai rejoint les deux co-fondateurs d’une boite qui s’appelle Soon Soon Soon (media et agence conseil en innovation).

Depuis deux ans, j’accompagne les entrepreneurs avant, pendant et après la création de leur entreprise. Soit en direct, ou via des organismes de formation ou des écoles. Sur des thématiques comme de la stratégie, de la finance mais aussi tout ce qui tourne autour du statut juridique, du développement commercial etc. J’ai d’ailleurs accompagné pas mal d’entrepreneurs notamment au sein du réseau Entreprendre (dont je suis moi-même membre du comité de sélection). Puis, j’ai pensé à Sylvain, Matthieu & Fabrice pour monter une structure dont le but premier est d’aider les entrepreneurs à créer une boite pérenne, en développement & qui pourra employer des futurs collaborateurs.

Un mot ou deux sur les valeurs de First Million ?

Le pragmatisme. Nous sommes très pragmatiques aux cotés de l’entrepreneur. Pas de longs discours, un accompagnement sur du concret.

De plus, nous souhaitons travailler avec des personnes qui nous ressemblent. Le fit humain est essentiel pour nous, peu importe la beauté du projet. Nous devons avoir, avec nos clients & nos partenaires, un socle de valeurs communes sur le recrutement, le développement de la société sur le long terme & l’accueil des premiers clients, employés.

Quelles entreprises accompagnez-vous ? Dans quels types de secteurs ?

Nous accompagnons les startups, PME, TPE. Notre promesse comprend tous les secteurs sauf la biotechnologie et l’industrie car nous n’avons pas les compétences, en interne. Nous possédons aussi un prisme digital. Sylvain & moi venons de ce milieu.

Fabrice est avocat et possède une expertise dans l’immobilier.  Matthieu vient de la formation &  connait, quant à lui,  un panel de secteurs très variés.

Quels sont vos domaines d’intervention ?

Nous intervenons sur différents domaines comme la levée de fonds, le growth hacking, le juridique, la finance & pleins d’autres encore. Nous nous entourons de notre réseau, pour les briques manquantes, qui ne font pas parties de nos expertises respectives.  Il s’agit de partenaires de confiance & passionnés, prêts à s’investir pour les entrepreneurs.  Par exemple, sur les aspects RH, nous avons Enoa ;) et d’autres cabinets RH en fonction des problématiques abordées.

Sur l’aspect développement technique nous traitons avec plusieurs agences web, à la fois jeunes et réactives, qui savent s’adapter à une cible startup en termes de prix et de mindset.

Comment s’articule votre offre ?

Nous nous différencions de l’existant en proposant de vraies compétences que nous ne retrouvons pas chez tous les incubateurs du marché. Nous sommes adeptes du sur-mesure. Si notre client connait bien la partie commerciale, nous n’avons aucune valeur ajoutée à l’accompagner sur ce volet. Nous cherchons vraiment les points clés sur lesquels nos clients ont besoin d’accompagnement. Nous ne voulons pas faire perdre de temps aux entrepreneurs car leurs besoins évoluent constamment.

Nous nous engageons à répondre à toutes les demandes d’accompagnement & proposons une période d’essai d’un mois. Puis, pendant la durée de l’accompagnement, l’un des 4 fondateurs de First Million devient votre coach & vous accompagne tous les mois pour faire un point sur votre activité. Nous sommes sur des contrats à durée de 12 mois mais en réalité, quand tu viens chez First Million, tu fais partie de la communauté et cela, ad vitam aeternam ;).

Vos perspectives d’évolutions ?

Nous organisons, prochainement, des meetup dans nos nouveaux locaux. Il s’agira d’événements sur des thématiques précises. Par exemple, le premier traitera des « erreurs à éviter lorsque l’on entreprend ». Nous prenons la parole sur des expériences vécues lors de nos accompagnements. Puis, une personne extérieure sera également conviée à prendre la parole sur le sujet abordé.

A court terme, l’idée est d’étoffer la communauté First Million pour devenir un véritable écosystème.

Une anecdote sympa à nous raconter ? ;)

Nos nouveaux locaux ! Dans le 8ème, hypers sympas avec de grandes terrasses, ils nous permettront de recevoir & dépanner, pendant quelques temps, certains entrepreneurs dans le besoin et aussi, de renforcer la vie familiale de First Million.

Je précise également que nous sommes sur plusieurs géographies. Nous sommes situés à Paris, à Lille, à La Rochelle (réseau développé sur Bordeaux, Nantes & Niort) de par nos implantations respectives. Nous connaissons bien les écosystèmes startup, TPE, PME dans ces métropoles & couvrons ainsi, à nous quatre, une bonne partie du territoire.

Plus d’informations sur http://www.firstmillion.fr/

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Zoom sur « la Pause Baskets »

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Faire du sport au bureau n’a jamais été aussi simple !

Rencontre avec Morgane, co-fondatrice de La Pause Baskets

 

Le concept « La Pause Baskets » ?

La pause baskets c’est du sport en entreprise !

15 sports différents, dans des univers variés et pouvant s’appliquer à toute typologie d’entreprise.
Réalisables avec peu de matériel, peu importe l’endroit (salle de réunion, une cafétéria…). Nous louons également un espace dédié, si l’entreprise ne peut accueillir les cours dans ses locaux. En parallèle, nous l’aidons à déterminer les sports souhaités, les plages horaires optimales, etc. Elles peuvent ainsi proposer un service de sport internalisé à leurs collaborateurs, qui peuvent alors s’inscrire et communiquer librement, via une plateforme mise à leur disposition. Nous avons mis en place tout un système de gamification avec des niveaux à atteindre, des badges, pour donner envie d’aller régulièrement en cours.

Comment vous est venue l’idée de créer « La Pause Baskets » ? Racontez-nous votre histoire !

Nous sommes 3 associés cofondateurs (Benjamin, Cédric & moi-même) aux parcours différents : l’un est développeur informatique, l’autre professeur agrégé d’EPS et moi j’ai un parcours en finances. Cependant nous avons un point commun ! Nous sommes des passionnés de sport. Mes deux associés étaient en ligue nationale en volley, quant à moi j’étais plutôt foot. Après avoir travaillé en entreprise, nous ne comprenions pas pourquoi rien n’était mis en place pour le sport…

Au moment de la création du concept, une étude du MEDEF est sortie expliquant que 87% des chefs d’entreprise croient aux bienfaits du sport au travail, et pourtant, seulement 18% ont mis en place des cours de sport au sein de leur entreprise.  Nous avons sollicité des chefs d’entreprise, des CE, des RH pour échanger et comprendre comment un tel écart était possible. Le 1er problème c’est l’espace, notamment dans les grandes villes comme Paris (rare d’avoir la place pour dédier une salle au sport en entreprise). Le deuxième frein, c’est le temps pour mettre en place les cours de sport. Le troisième point, c’est le fait que les entreprises veulent bien le mettre en place, à condition qu’il y ait un réel suivi derrière.

Nous avons voulu instaurer un concept qui permettent aux entreprises d’intégrer le sport tout en levant les difficultés rencontrées.

Un ou deux mots sur vos valeurs ?

L’amour du sport ! C’est sûr ! Toutes les personnes qui travaillent au sein de l’équipe sont des passionnées. Il y a aussi un côté cohésion d’équipe & partage. Nous chouchoutons nos clients mais aussi nos coaches ! Nous leur proposons des formations gratuites par exemple. Enfin, le service, que nous adaptons au besoin de l’entreprise. Nous sommes uniquement B2B & fondés sur le besoin client !

Comment ça marche ?

Si vous êtes intéressé, nous sommes joignables via notre site internet. Après cette 1ère prise de contact, l’un de nos consultants prend rendez-vous pour évaluer votre besoin et vous proposer un programme adapté à vos attentes (âge, type de personne, nombre de salariés, type de sport à pratiquer).

Nous avons des coaches sportifs pour chacune des disciplines. Ils sont indépendants et nous travaillons en partenariat. C’est Cédric, professeur agrégé d’EPS, qui se charge du recrutement. En France, c’est très normé. Les coaches doivent être obligatoirement diplômés pour exercer. Au-delà du diplôme, la compétence, la pédagogie et le savoir-être sont essentiels ; ils doivent être sympas, accessibles, à l’écoute et tenir compte du suivi et des objectifs de chacun. L’assiduité va aussi beaucoup dépendre de la qualité du coach.

L’entreprise prend généralement en charge tous les coûts liés à notre offre. De leur côté les dirigeants / CE / RH, ont une interface spécifique sur notre plateforme avec des indicateurs pour suivre le taux d’assiduité. Nous rajoutons des services complémentaires qui seront utiles à l’entreprise sur le long terme.

Quel constat pouvez-vous dresser du sport en entreprise aujourd’hui ?

  • Des notions de santé : aujourd’hui nous sommes de plus en plus sédentaires (TMS, diabète, obésité).
  • Le sport c’est aussi libérateur & induit directement sur notre état psychologique. Cela va jouer sur la motivation, la performance en entreprise.
  • La notion de cohésion d’équipe : les collaborateurs apprennent à se connaître. Cela leur permet de discuter plus facilement : favoriser la résolution des problèmes et la création de nouveaux projets.
  • La marque employeur : bonne image en interne & externe : recrutement et fidélisation.

Une anecdote sympa à partager ?

Au moment de la création du concept & des cours, nous nous sommes bien amusés sur le storytelling du site ! (« Burger Burner » pour le cross training, « Fesse ce qui te plait » pour les abdos fessiers, « tablette choco » pour le gainage, etc..)

Une fois par mois nous organisons des workshops sur les postures à avoir au travail, sur la nutrition et des conseils liés à la vie en entreprise et…au sport ;)

Des perspectives d’évolution ?

Nous sommes en train d’ajouter une partie nutrition avec des recettes rapides et healthy (réalisées par notre diététicienne) sur la plateforme. Cédric, qui est professeur d’EPS, est aussi professeur de prépa physique et passe actuellement un diplôme de nutrition. Il possède une vraie expertise. Tout est lié : le sport & la nutrition c’est un tout ! A terme, nous allons également mettre en place un coach sportif virtuel, pour faire en sorte que le salarié continue son activité en dehors de l’entreprise.

Nous venons de sortir un blog et des guides pour proposer du contenu pour nos interlocuteurs sur les RH et l’environnement de travail.

Le site internet : https://lapausebaskets.fr/

Le blog : https://info.lapausebaskets.fr/blog

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Rencontre avec Yann Gabay

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Rencontre avec Yann Gabay, fondateur d’Oreegami, l’école du marketing digital à inclusion sociale.

 

Le concept d’Oreegami ?

Nous avons conçu Oreegami comme une passerelle vers l’emploi. Je viens du marketing digital et je connais bien les besoins sous-jacents en termes de recrutement. Oreegami donne accès aux jeunes demandeurs d’emploi à des métiers « pénuriques » & très demandés, de la publicité en ligne. Nos apprenants sont sélectionnés et recrutés par nos soins, le temps de suivre la formation puis placés dans des entreprises qui figurent parmi nos partenaires (plateformes, régies publicitaires & agences).

Comment vous est venue l’idée de créer Oreegami ? Racontez-nous votre histoire !

J’ai travaillé pendant 20 ans au sein d’agences marketing digitales. J’ai ensuite donné des cours dans des grandes écoles/écoles de commerce. J’ai été assez déçu par le niveau de qualité de formation des étudiants dans certaines d’entre elles. Le projet pédagogique de ces écoles me paraissait un peu flou, et pas forcément maîtrisé. En outre, les boites recrutent des jeunes diplômés issus d’écoles de commerce avec des programmes très centrés sur le management, donc automatiquement, il se produit une inadéquation importante entre l’offre et la demande, qui est assez opérationnelle sur ce genre de postes.

Puis, lors d’un pitch start-up auquel j’assistais, j’ai eu un déclic. L’idée : construire une école de l’excellence opérationnelle dans le marketing digital qui favorise l’égalité des chances. Un système qui permet d’aller vers cette excellence, participe à la diversité en entreprise, en priorisant la formation pour des profils qui n’ont pas eu accès aux grandes écoles et aux écoles payantes. Carine Huissier, experte elle aussi du domaine, m’a aidé à monter le projet dès avril 2018. En septembre 2018, nous avions notre première promotion de 14 élèves. Elle est toujours associée de la structure mais n’y est plus active depuis le début de l’année.

Un ou deux mots sur vos valeurs ?

Nous avons des valeurs assez fortes :

  • La frugalité : c’est-à-dire être efficient, être agile dans l’innovation et malins, et ne pas trop s’habituer au confort.
  • La coopération : nous faisons ensemble ! Les apprenants ont aussi un rôle. Nous réalisons l’école avec eux et non pour eux.
  • L’engagement, pour la solidarité et l’accès à l’emploi, nous ne laisserons pas le business prendre le pas sur nos valeurs, et nous souhaitons multiplier les impacts positifs.
  • Le respect dans la relation que l’on a entre les apprenants et les intervenants. Chacun est à la fois intervenant et facilitateur.
  • Et enfin l’ouverture pour la diversité des profils mais aussi pour l’écoute et la bienveillance en entreprise. 

 

Avez-vous été amené à créer des partenariats ?

Nous avons fait une campagne de financement participatif sur Ulule. Nous avons communiqué & gagné en visibilité rapidement. C’est Resoneo qui nous a d’abord contacté. D’ailleurs, nous avons construit, au départ, le modèle de partenariat pour eux. Nous l’avons ensuite proposé à d’autres comme Iprospect, Publicis media, Digitalkeys, Sutter Mills, Eulerian. Ils se sont engagés pour la plupart, à prendre des profils financés d’avance.

Notre modèle économique : nous finançons la formation qui est gratuite pour les apprenants & les plaçons ensuite en entreprise. Nous recrutons donc des « employés » et non des étudiants. Nous recrutons des juniors qui n’ont pas d’expérience dans le marketing digital. Nous les formons pendant 3 mois avant de les placer. C’est à ce moment-là que la société nous paie pour avoir le bon candidat. Et cela nous permet de financer la formation. Pendant les premiers mois, l’étudiant accepte de toucher moins qu’un salaire classique dans le secteur, avant d’être embauché par l’une de nos sociétés partenaires, ou non.

Quels types de formation proposez-vous ? Pour quels métiers ?

Au départ, nous avons choisi de cibler plusieurs métiers dans le marketing digital : Consultant Search & Facebook, Trader Media Programmatique, Expert Tracking et Web Analyste, nous sommes en train d’étendre notre formation vers des métiers de business developer et Chefs de projet Data. Ce sont tous des métiers pénuriques sur lesquels nous constatons un manque évident de formation.

Combien de temps dure une formation en moyenne ?

Pendant 1 mois, les apprenants sont plongés dans l’écosystème du marketing digital. Ils ont également un aperçu technique (le fonctionnement d’Internet, écrire quelques lignes de code…). A la fin de ce premier mois, ils enchaînent sur de la théorie concernant les différents métiers proposés, avant de choisir celui sur lequel ils seront spécialistes. Pendant 2 mois, ils travaillent bénévolement pour des associations humanitaires et écologiques, sur l’élaboration de campagnes Google Ads, Facebook Ads et Display programmatiques, sur de vrais sujets. A la fin des deux mois, ils sont recrutés par les entreprises partenaires.

Supposons que je veuille m’inscrire demain pour devenir Chef de projet Tracking, quelles sont les démarches & le budget alloué pour ce type de formation ?

Pour s’inscrire, il faut passer les tests en ligne. Le test dure 45 minutes et est composé de 3 questionnaires :

  • Un 1er questionnaire qui permet de comprendre la personnalité,
  • Le 2ème sur les facteurs de motivations du candidat,
  • Et le 3ème, c’est un test en logique, raisonnement numérique & analogie verbale.

 

Du fait de notre modèle, nous sommes très sélectifs. A titre d’exemple, sur la première session nous avons reçus 160 candidatures & avons sélectionné 14 candidats. Nous voulons des personnes qui pourront occuper durablement un de ces postes au maximum dans les 3 mois après la fin de la formation, 12 d’entre eux sont d’ailleurs actuellement en poste.

Nous les sélectionnons sur un certain nombre de critères, comme le fait d’être à l’aise avec les chiffres, l’anglais, les softskills etc… mais surtout en fonction de leur adéquation avec les profils recherchés.

Après les 1ers tests, vous avez un retour dans la semaine qui suit. Par la suite, vous devez passer un entretien individuel où nous validons les différents tests. Vous avez les résultats la semaine suivant l’entretien individuel.

Des perspectives d’évolution ?

Nous souhaitons rester sur des promotions de 15 à 20 élèves, c’est la garantie de plus d’interaction avec les élèves. Nous allons donc essayer d’avoir plusieurs sessions imbriquées, pour augmenter le nombre d’élèves formés par an. Nous aimerions également ouvrir une école dans une autre ville. Nantes est pressentie pour être la 1ère ville même si nous sommes ouverts à toute proposition !

Nous avons construit la formation sur un framework écrit qui est duplicable facilement et notre organisation est inspirée de l’Holacracy (mode d’organisation horizontal sans management statutaire). Chacun cumule des rôles spécifiques au sein de cercles qui répondent à des objectifs précis. Chez nous personne n’a de poste.

Enfin, nous travaillons actuellement avec Pôle Emploi Paris pour créer une passerelle performante vers les métiers du numérique, et particulièrement ceux de la publicité et des médias, souvent oubliés.

 

Leur site internet : https://www.oreegami.com/

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Rencontre avec Séverine Loureiro

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Experte de l’Expérience Collaborateur et de la Marque Employeur –

Co-auteure du livre « Booster l’expérience collaborateur de votre organisation »

 

Ancienne RH pourquoi cette reconversion dans le consulting ? Raconte-nous ton parcours ?

Effectivement, j’ai un parcours d’une quinzaine d’années en développement RH, débuté après des études de psychologie. J’ai commencé par faire du recrutement en entreprise, j’adorais ça ! J’y voyais une application concrète de tous mes cours sur la personnalité et l’évaluation (for the record, les « soft skills » ce n’est pas nouveau dans les cursus de psycho du travail). Puis, j’ai évolué sur des postes en mobilité interne, en organisation, le pilotage des systèmes d’évaluation de la performance, ou encore la communication interne. A titre personnel, je m’intéressais depuis longtemps au marketing et à l’Expérience Client, et j’avais envie de creuser comment l’on pouvait transposer à l’interne, j’ai donc décidé de suivre un MBA en Marketing Digital. C’était en 2015, ma thèse professionnelle rédigée dans ce cadre-là, portait déjà dans son titre, les grands axes de ma réflexion depuis : « Comment sauver le soldat RH, ou comment définir une Expérience Collaborateur individualisée qui serve l’objectif collectif qu’est l’Expérience Client ».

J’ai acquis la conviction que l’Expérience Collaborateur allait bouleverser la façon dont on fait des RH dans les entreprises. Une conviction qui ne m’a pas lâché jusqu’à présent, et que j’ai eu envie d’incarner à 100% en montant une structure de conseil dédiée, qui s’appelle « Points de Contact » (les initiés des sujets de l’Expérience comprendront la référence, un rappel ici).

Peux-tu nous décrire ce qu’est l’expérience collaborateur ?
Pourquoi autant s’en préoccuper ?

L’Expérience Collaborateur, c’est le résultat de l’ensemble des interactions du collaborateur tout au long de son parcours avec l’entreprise : avec ses process, son environnement physique, son organisation, son management, ses valeurs… Lorsqu’on dit ça, on comprend bien que, même si la formalisation du concept est récente, l’Expérience que vivent les collaborateurs dans leur entreprise existe de fait, et a toujours existé. Mais aujourd’hui, tout comme elle est devenue l’élément différenciant pour le Client, l’Expérience vécue par les collaborateurs le devient pour l’entreprise, et incarne sa promesse employeur. Voilà pourquoi c’est un sujet qui doit être considéré comme prioritaire par les entreprises, parce que leurs collaborateurs et leurs candidats n’attendent plus de l’entreprise, un unique lien d’échange de compétences contre rémunération. A l’heure où on leur demande de plus en plus d’engagement, dans un contexte constamment en mutation, les candidats feront le choix de venir, et les collaborateurs celui de rester et de s’investir, dans une entreprise qui leur offrira une expérience qui leur en donne envie.

Quel est le rôle de la fonction RH face à l’expérience collaborateur ?

La définition d’Expérience Collaborateur porte la notion de globalité du concept qui se manifeste tout au long du parcours du collaborateur : avant même qu’il n’intègre les effectifs, pendant son travail au sein de l’entreprise, et après qu’il l’ait quitté. En posant cela, il devient difficile de défendre que l’Expérience Collaborateur est un sujet RH, c’est en fait un sujet qui concerne tous les acteurs de l’entreprise. Mais il lui faut un pilote, et je pense que ce doit être la fonction RH, à condition que celle-ci évolue, qu’elle sorte de sa vision « process », et change de paradigme, pour considérer le collaborateur comme un client d’une offre de service interne.

Quels conseils préconises-tu pour une expérience collaborateur réussie ?

Mon premier conseil, celui qui drive tous les autres, c’est la recherche de cohérence pour adresser cette globalité que porte l’Expérience Collaborateur. Si, par exemple, on surinvesti sa première phase : celle qui s’adresse aux candidats (via notamment les dispositifs de Marque Employeur), sans s’assurer que cette promesse implicite (ou explicite d’ailleurs) est le reflet de la réalité vécue en interne, on prend le risque de créer une rupture de confiance avec le candidat, devenu collaborateur. Il faut donc s’assurer que l’Expérience Collaborateur en interne est à la hauteur de ce qui a été « vendu ». Pour l’améliorer, on cherchera à mapper les interactions et points de contact du collaborateur avec l’organisation, et ce afin d’identifier les irritants pour les adresser.

Auprès de quelles structures interviens-tu ? Quels sont tes interlocuteurs ?

L’Expérience Collaborateur répond à des enjeux d’attractivité, de mobilisation ou encore de fidélisation, enjeux qui peuvent concerner les entreprises de tous les secteurs et de toutes les tailles. De la startup qui veut définir son message employeur et/ou son process recrutement, à la grande entreprise qui veut formaliser son Employee Value Proposition de marque employeur, et/ou identifier les points de friction dans l’expérience de ses collaborateurs, les sujets de mes interventions sont variés. Ils ont souvent en commun de se trouver à la croisée des chemins entre les RH & le marketing. Mes interlocuteurs sont souvent les dirigeants ou les DRH, mais peuvent aussi être des Directions « opérationnelles », comme quand il s’agit par exemple, d’intervenir auprès de managers en séminaire sur le sujet de la symétrie des expériences.

Parle-nous de ton livre* ! Quelles raisons t’ont donné envie de l’écrire ? A qui s’adresse-t-il ?

L’idée a germé lorsque que j’écrivais ma thèse professionnelle sur l’Expérience Collaborateur. Je rencontrais beaucoup de difficultés à trouver des ressources documentaires. A l’époque, il existait très peu d’ouvrages consacrés au sujet, et à ce moment là, il n’y en avait pas encore en France. Mais le déclencheur c’est la question que l’on me posait très régulièrement, lors de mes interventions publiques notamment : « par quoi faut-il commencer lorsqu’on souhaite améliorer l’expérience collaborateur ? ». J’ai donc proposé à une de mes anciennes collègues DRH de coécrire ensemble, un livre qui se voudrait une méthode, un véritable guide à l’attention des professionnels des RH et des dirigeants qui veulent reprendre en main et améliorer l’expérience que vivent leurs collaborateurs.

Merci Séverine :)

*« Boostez l’Expérience Collaborateur », de Séverine Loureiro et Myriam Lepetit

Brière, éditions Eyrolles (septembre 2018) – https://amzn.to/2KAHtqV

 

Linkedin : www.linkedin.com/in/severineloureiro/
Site web : www.pointsdecontact.fr
Twitter : @SevLoureiro

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Zoom sur l’intelligence émotionnelle

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Rencontre avec Chloé Sargis, coach professionnelle certifiée en intelligence émotionnelle

Ancienne « marketeuse » dans le digital, tu t’es reconvertie en tant que coach de vie. Pourquoi ce changement ? Quel a été ton parcours ?

J’ai toujours su que le marketing n’était pas vraiment ce que je voulais faire dans la vie. La seule chose dont j’étais certaine, c’était d’intégrer les relations humaines dans mon parcours professionnel. Or à l’époque, je ne voyais que deux options : psychologue ou assistante sociale. Ne voulant faire ni l’un ni l’autre, en attendant de trouver ma voie, je me suis orientée vers le marketing qui me semblait être le métier le plus créatif et amusant de l’entreprise.

M’ennuyant rapidement, j’ai fait du marketing pendant 8 ans, dans 5 sociétés différentes, groupes & PME confondus comme startups. Durant ce parcours, j’ai eu la chance de participer à une formation management chez Showroomprivé animée par un coach professionnel, ça a été la révélation. Suite à cette rencontre, en parallèle de mon travail, j’ai donc repris mes études, dans une école de coaching proposant un diplôme reconnu par l’état. La formation a duré 15 mois et m’a permis de devenir coach professionnelle certifiée. Et me voilà à temps plein dans le coaching aujourd’hui !

Une fois mon diplôme en poche, j’ai d’abord travaillé en cabinet de coaching, en intervention en entreprise sur des problématiques de leadership et de communication. Aujourd’hui, je développe mon activité en indépendante auprès des Particuliers & des Entreprises via mon site internet : www.macoachdevie.fr

Peux-tu nous décrire ce qu’est l’intelligence émotionnelle ?

La version officielle, et scientifique, donne la définition suivante : l’intelligence émotionnelle est un ensemble d’aptitudes émotionnelles et sociales influençant la façon dont nous :

  • Nous percevons et nous exprimons,
  • Développons et maintenons des relations sociales,
  • Agissons dans la difficulté,
  • Utilisons les informations émotionnelles de façon efficace et appropriée.

C’est donc la capacité qu’ont tous les individus à gérer leurs émotions. Ou autrement dit, il s’agit d’avoir conscience de ce qu’il se passe émotionnellement en soi et de savoir l’utiliser de façon efficace tant pour sa performance professionnelle que pour son bien-être en général.

L’intelligence émotionnelle est un sujet de plus en plus abordé en milieu professionnel, pourquoi ? Que peux-tu nous raconter à ce sujet ?

Pendant longtemps les entreprises ont pensé qu’il était possible de demander aux salariés de laisser leurs émotions aux portes de l’entreprise en arrivant le matin. L’entreprise était un lieu de travail, d‘expertises professionnelles, en résumé on sollicitait uniquement ce que l’on entend par hard-skills. Or, l’Homme est un être social qui ne peut pas faire abstraction de ces ressentis et encore moins dans ses interactions aux autres. S’il tente de le faire c’est souvent au détriment de sa santé physique et psychique.

C’est d’abord aux Etats-Unis et au Canada que les entreprises ont commencé à intégrer l’idée que l’on pouvait être un expert dans son domaine avec un QI extrêmement élevé et pourtant ne pas être un « bon » manager ou même simplement un « bon » collègue. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas que l’expertise opérationnelle qui fait la qualité d’un leader. La tolérance au stress, le contrôle des impulsions, la résolution de problèmes, et l’indépendance émotionnelle sont des compétences émotionnelles primordiales pour développer son leadership et font partie de l’Intelligence émotionnelle.

Comment évalue-t-on cette intelligence émotionnelle en entreprise ?

L’intelligence émotionnelle se mesure par l’évaluation du quotient émotionnel. Il existe de nombreux outils pour le faire. Pour ma part, j’utilise l’outil scientifique n°1 au monde qui s’appelle l’EQ-i (Emotional Quotient Inventory). C’est un outil canadien déjà utilisé sur plusieurs millions de personnes à travers le globe.

Concrètement, l’EQ-i est un test (questionnaire en ligne de 20 minutes) qui évalue, sous différentes compétences émotionnelles (de l’amour propre à l’affirmation de soi en passant par l’empathie, la tolérance au stress, …) comment se positionne notre intelligence émotionnelle. Contrairement au QI, que la majorité des scientifiques pensent se figer dès l’adolescence, le QE peut se développer tout au long de la vie. C’est justement ce que je propose dans mes coachings. C’est un outil formidable de prise de conscience qui nous fait gagner un temps fou dans le coaching ! Après avoir passé le test, on ne peut plus ni se cacher ni se mentir car un rapport écrit est généré ! Nous disposons alors d’un point de départ parfait pour travailler. Une évaluation claire et précise des compétences émotionnelles fortement développées chez la personne et à l’inverse de ses axes de développement.

Ici, on ne parle jamais de faiblesses. Ce n’est pas le but de l’exercice ! Car il n’y a pas de faiblesse à proprement parler. Non seulement nous ne sommes pas parfaits, mais je ne pense pas que nous soyons amenés à le devenir. Nous sommes le fruit d’une construction qui dépend de notre histoire et de nos expériences. En résumé, on est ce qu’on est, tout simplement. En revanche, si nous le souhaitons, nous pouvons travailler sur des éléments qui nous posent un problème, et nous développer personnellement et c’est le but du coaching. Dans tous les cas, c’est au coaché, et uniquement à lui, de choisir ce qu’il veut travailler ; soit ce qui lui pose problème dans son quotidien soit au contraire renforcer les forces qu’il souhaite mettre en avant. Tout dépend de la volonté de chacun.

En bref, l’IE est une roue avec 5 grandes thématiques & 3 compétences par thématique qui recomposent au global les 15 compétences de l’intelligence émotionnelle développée par le « Père » de l’Intelligence émotionnelle Daniel Goleman. (CF. schéma). Plus précisément, la perception de soi c’est avoir conscience de ce que tu es, de ce que tu ressens au moment où tu le ressens, et ce qui t’anime profondément ; c’est ton TOI dans toutes ses dimensions émotionnelles. Vient ensuite la question de savoir comment tu vas l’exprimer (ou ne pas l’exprimer), quel est l’impact que cela va avoir sur tes relations humaines, quel est ton processus de prise de décision dans des circonstances émotionnelles compliquées, et enfin comment gères-tu ton stress.

Roue intelligence émotionnelle

 

Cette roue est un système en mouvement. Elle n’a pas de début, pas de fin. Toutes les compétences sont liées les unes entres elles. En général, quand le coaché rencontre une difficulté ce n’est ni parce qu’une compétence est trop développée (jamais aucune compétence n’est trop développée), ni parce qu’une autre est sous développée. C’est parce qu’il y a un déséquilibre entre deux compétences.

Par exemple, une personne qui a une affirmation de soi très développée ne pose pas de problème en soi, au contraire c’est une grande qualité de savoir défendre ses idées. Là où ça peut devenir problématique c’est quand l’empathie est basse et qu’il y a un fort déséquilibre entre les deux. En pratique, cela donne une personne qui s’affirme tellement qu’elle écrase les autres par manque de considération pour ce qu’elles pensent ou vivent. Pour le travailler, nous allons donc chercher les autres compétences liées à son empathie et notamment les compétences fortes pour recréer un équilibre. Je l’ai vécu avec un coaché qui avait une réalisation de soi extrêmement développé, c’était d’ailleurs sa plus grande compétence émotionnelle. En trouvant l’intérêt chez lui de se réaliser dans le fait de prendre le temps de comprendre l’autre nous avons débloqué la situation. Aujourd’hui, il voit cela comme un challenge personnel de comprendre l’autre.

 Quel impact l’intelligence émotionnelle & l’EQ-i peuvent-ils avoir sur nous ?

L’EQ-i est un outil concret qui nous permet de prendre rapidement conscience des mécanismes émotionnels que nous mettons en place et qui peuvent nous poser problème. Le développement de l’intelligence émotionnelle, ensuite, nous permet de réaliser un changement profond de ces mécanismes pour arrêter de subir nos émotions mais au contraire, les reconnaître et les utiliser efficacement. Dans le cadre de l’entreprise, nous pourrons à la fois développer notre performance et nos rapports aux autres, peu importe le lien hiérarchique (fait référence à l’intégration dans une équipe).

Comme nous l’avons dit précédemment la tolérance au stress, le contrôle des impulsions, la résolution de problèmes, l’indépendance émotionnelle, et j’ajouterai, l’empathie sont des compétences émotionnelles primordiales pour développer son leadership. Or tous ces axes peuvent être développés en coaching si cela est nécessaire.

 Quels types de personnes sont concernées par ton coaching ?

Tout le monde, particuliers ou entreprise.

Pour l’entreprise, la mise en place d’accompagnement et d’évaluation d’EQ-i à grande échelle passent par les services RH.

C’est une vraie démarche ! L’intelligence émotionnelle a mis du temps à prendre sa place en entreprise. Elle est déjà bien installée en Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada) et dans les pays du nord de l’Europe, mais en France nous avons tout à faire !

Nous commençons tout juste à comprendre qu’un être humain est, certes, un ensemble de compétences techniques et opérationnelles. Mais que toute la dimension humaine est aussi à prendre en compte, sinon ça ne peut pas fonctionner.

Nous avons une seule intelligence émotionnelle, en revanche nous avons tendance à moins laisser vivre nos émotions dans le cadre du travail car nous pensions qu’elles n’y avaient pas leur place. Mais techniquement, au travail nous n’arrêtons pas de ressentir des émotions car ce n’est pas possible, nous les étouffons davantage c’est tout. Le fait d’utiliser correctement ses émotions et les exploiter au service de la performance, c’est aussi, un facteur de réussite important qui devient primordial pour les recruteurs. On peut aussi éviter la somatisation et certains burnouts.

En résumé, en laissant la juste place aux émotions, nous profitons de ce qu’elles ont de meilleur à offrir.

 Comment se déroule l’évaluation du quotient émotionnel & par la suite, la séance de coaching ?  

Pour obtenir son EQ-i, il faut d’abord me contacter 😊 pour passer le test en ligne qui dure une vingtaine de minutes. Une fois ce questionnaire rempli, nous réalisons un débrief d’une heure, par téléphone. Attention ce débrief n’est pas une lecture des résultats, mais clairement une séance de coaching dont l’objectif est double : 1. que la personne ait une vision claire de ses mécanismes émotionnels en place, 2. des actions concrètes pour mieux gérer les situations qui lui sont problématiques.

Durant le débrief, nous commençons par vérifier que nous sommes d’accord sur les résultats et les définitions des compétences évoquées. Une fois que nous sommes raccords, nous rentrons dans le coaching. Le coaché choisit son sujet. Nous nous focalisons alors sur cet axe de développement pour en comprendre les mécanismes émotionnels et chercher les actions concrètes à mettre en place pour répondre aux besoins du coaché.

* Evaluation EQ-I 2.0 – échelle construite à partir d’un échantillon de 4 000 personnes qui ont passé le test. L’indice de chaque échelle se situe entre 55 et 145. La norme se trouve entre 90 et 110. Par rapport à la norme, en dessous de 90 la compétence est sous-développée, au-dessus de 110 elle est sur-développée. L’outil calcule aussi un indice global de QE.

 

Dans mon offre, je propose aussi bien de passer l’EQ-i de façon indépendante que de le passer au sein d’un coaching dit « classique » de long terme. Dans ce second cadre, les coachings durent souvent 10 séances espacées de 3 semaines. Lors de la première séance, nous faisons connaissance, ce qui est essentiel, et définissons l’objectif du coaching. Une fois le projet clair, je propose systématiquement de faire passer l’EQ-i à la deuxième séance car cela va permettre d’accélérer le processus de prise de conscience.

En effet, là où nous aurions pu mettre 3 séances à comprendre exactement le mécanisme qui posait problème dans la mise en place du projet, puis encore 3 autres à trouver les forces du coaché à déployer ; avec l’EQ-i nous avons ces réponses dès la seconde séance. Nous pouvons alors nous concentrer durant les 8 séances à venir sur la recherche de solution et la mise en place d’actions concrètes notamment par des exercices. Enfin, j’aime travailler avec ce test car il ne met pas d’étiquette sur les individus. Il permet juste d’établir un profil, un point de départ, que l’on peut faire évoluer par la suite. De plus, on se focalise uniquement sur les forces et je trouve ça bien plus porteur et motivant.

Aujourd’hui, à quel niveau d’importance tu places la gestion des émotions ? Comment cela peut se traduire en milieu professionnel ?

Pour moi c’est essentiel. Nous savons tous rationnellement comment doit se comporter un « bon manager » et quelles qualités il doit avoir. Et pourtant des « excellents managers » nous en connaissons peu, alors pourquoi cet écart ?

Parce que je suis convaincue qu’entre la théorie et la pratique, il y a les émotions. Mal maîtrisées, elles peuvent nous dépasser, nous faire perdre pied et créer cette distorsion entre la façon dont nous aimerions agir/réagir et celle que nous mettons en pratique. Cette évaluation est de plus en plus reconnue par les recruteurs. Il est tout à fait possible d’indiquer ses résultats sur son CV, cela valorisera fortement votre employabilité. Car elle prouve d’abord que vous avez conscience de vos mécanismes émotionnels, et ensuite, que vous avez la volonté de vous développer ce qui est très rassurant pour un recruteur.

Tu es aussi spécialisée en coaching de « Hauts Potentiels », c’est-à-dire ?

L’intelligence émotionnelle est particulièrement appropriée avec les personnes à Haut Potentiel Intellectuel. Ces personnes neuro-atypiques ayant un QI très développé, ont souvent le réflexe de tout passer par le prisme de l’intellect. La conséquence en est que lorsqu’on sort du champ rationnel, ça peut être très difficile à comprendre et à vivre pour elles. Or, une émotion est tout sauf rationnelle, ce qui en fait toute sa complexité et sa richesse.

De plus, les HPIs (surdoués, zèbres, enfants précoces, etc.) ont une hypersensibilité. C’est-à-dire que leurs particularités neurologiques intensifient leurs émotions. Démultipliées, leurs émotions deviennent ainsi encore plus difficiles à maîtriser.

Pour ces deux raisons principales, très souvent, les personnes à Haut Potentiel Intellectuel ont un QI élevé mais un QE bas ce qui peut leur poser problème dans leur bien-être au quotidien (par manque de sérénité) mais aussi dans leurs rapports aux autres.

En développant l’intelligence émotionnelle en coaching, ils apprennent à écouter leur deuxième cerveau celui qui se situe dans le ventre et qui est davantage « viscéral ».

Pour en savoir plus sur l’accompagnement des HPIs : http://macoachdevie.fr/coacher-les-adultes-surdoues/

Une petite astuce à partager pour nous apprendre à mieux gérer nos émotions en «  2 minutes » ? ;)

Nous avons tendance à croire que « maîtriser ses émotions » c’est les « étouffer », faire en sorte qu’elles ne s’expriment surtout pas. Alors qu’en réalité c’est tout l’inverse ! Une émotion a une fonction. C’est un message que le cerveau envoie à notre corps pour se mettre en action face à un stimuli extérieur. Comme son nom l’indique, “motion”,  emprunté au latin “motio”, signifie “mouvement” lorsque “e” veut dire “qui vient de l’extérieur”. Le plus important dans le processus, y compris pour son corps, est donc d’accueillir son émotion. C’est un signal. Notre deuxième cerveau nous parle, nos émotions nous disent quelque chose et il faut tout autant l’écouter que le premier.

« Ok, là, je ressens quelque chose, je m’arrête et j’écoute. Qu’est-ce que je ressens ? Qu’est-ce qu’il se passe ? Quand cela a commencé ? Qu’est-ce qui l’a déclenché ? Je me demande pourquoi cette émotion est là sans y résister ». S’interroger, c’est déjà accueillir son émotion, on a alors fait 80% du travail pour commencer à la maîtriser.

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Rencontre avec les fondateurs d’HappySkills

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Raconte-nous l’histoire de HappySkills ! (Concept, présentation globale, idée de création, selon quels constats ?…)

 

La rencontre

Happyskills, c’est la rencontre de Jonathan, Blue & moi (Livia) sous les feux de la rampe, nous avons co-écrit, monté et joué plusieurs créations théâtrales ensemble. Blue est metteur en scène et comédien professionnel, issu du Conservatoire.

Le théâtre n’est cependant pas notre seule casquette!
Jonathan et moi venons du monde de l’entreprise. Je suis avocate de formation, j’ai exercé dans des cabinets parisiens tels que Gide Loyrette Nouel, puis en entreprise au sein du groupe américain Marsh & Mc Lennan. Jonathan est issu des cabinets d’expertise comptable et a travaillé en tant qu’auditeur chez EY.

Le constat

Nous avons géré des clients, la hiérarchie au sein de l’entreprise et managé des équipes.
Rapidement nous avons constaté que le monde de l’entreprise pourrait vivement bénéficier des outils que nous utilisons au théâtre et en improvisation. Egalement, que les jeunes talents attendent plus que jamais un investissement humain & authentique de leur management.
Ils veulent être écoutés, considérés valorisés d’un point de vue humain, et pas seulement financier.

C’est ce sur quoi nous voulons aujourd’hui activement travailler avec nos clients.
Nous sommes persuadés que « créer un environnement de travail ouvert, stimulant avec des équipes stables » fait/fera gagner la guerre des talents !

Le concept

Au théâtre, nous travaillons l’écoute, l’empathie, la compréhension de l’autre, la communication, la congruence (adéquation entre ce que nous voulons dire et ce que nous disons effectivement), la cohésion du groupe, avant même de commencer à répéter un texte. Il est évident que ces qualités sont nécessaires à la vie en entreprise et notamment pour être un bon manager. Outre les outils comportementaux et relationnels que je viens de citer, le théâtre offre également une palette d’outils techniques pour travailler la voix, la gestuelle, la posture, la respiration, la diction qui aident également les collaborateurs à communiquer, gagner en aisance, en charisme, en éloquence dans leur activité professionnelle quotidienne.

Nous avons donc créé Happyskills et proposons d’accompagner les entreprises dans le développement de leurs compétences relationnelles et managériales à l’aide des techniques théâtrales et d’improvisation.

Combien de personnes constituent la belle équipe ?

Nous sommes 3 associés fondateurs et formateurs. Nous faisons également appel à des comédiens formateurs, lorsque cela s’avère nécessaire (par le nombre de personnes à former). Tous nos formateurs sont choisis pour leur connaissance du monde de l’entreprise et de ses enjeux managériaux, ainsi que pour leurs compétences dans les domaines du coaching et des techniques théâtrales.

Quelques mots sur vos valeurs !

 HUMAINS: l’empathie et la gentillesse comme vecteur d’efficacité et de performance.

Professionnels: avocat, conseiller financier et managers, nous connaissons vos enjeux car nous avons été à votre place.

Comédiens/Pédagogues: notre passion de former est tout aussi forte que celle de jouer la comédie

Sourire: nous tenons à nous amuser quelle que soit la formation car c’est comme cela que l’on apprend le mieux!

A qui vous adressez-vous ? Quels sont vos clients ?

Nous nous adressons tant à des grands groupes qu’à des structures très agiles telles que des PME, incubateurs de start-ups ou start-ups elles-mêmes. Nos offres sont faites sur mesure, en fonction des besoins de nos clients. Nous sommes agiles et nous adaptons très facilement.

Nos interlocuteurs sont les départements RH au sein des grandes entreprises et les dirigeants au sein des plus petites structures.

Et demain, quelles perspectives d’évolution ?

Nous souhaiterions développer nos formations en e-learning afin de compléter notre offre présentielle qui nous paraît essentielle. Nous travaillons sur l’humain, nous devons nous regarder, nous sentir. cependant, il y a des choses très intéressantes à développer en e-learning dans le suivi et l’approfondissement de certaines notions entre les séances présentielles.

Une anecdote sympa à partager ?

Nous avons récemment formé deux médecins qui devaient faire une présentation devant quelques centaines de personnes lors d’un congrès de médecine. Ils étaient évidemment hautement qualifiés dans leur domaine mais totalement paralysés à l’idée de devoir s’exprimer devant une assemblée. En quelques séances (deux fois deux heures), nous avons débloqué les freins psychologiques, leur avons donné une boite à outils facilement reproductibles. Bref, nous les avons armés. Ils se sont éclatés, ont pris du plaisir et c’est notre plus grande victoire! Depuis, ils enchaînent les communications orales, prennent du plaisir et font avancer leurs carrières !

Un message à faire passer aux futurs partenaires ? ;)

Nous sommes passionnés par notre travail, nous adaptons à nos clients et à leur culture d’entreprise, nous ne demandons qu’à vous aider dans vos grands enjeux RH, alors faîtes appel à Happyskills! :)

https://www.happy-skills.com/

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Les congés illimités : fausse bonne idée ou nouvel atout ?

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Rencontre avec Céline Soutif, avocate en droit du travail au cabinet A&S Avocats AARPI.

Tout d’abord, peux-tu nous décrire, en quelques mots, ton parcours & les grandes lignes de ton métier d’avocate ? Les sujets que tu traites au quotidien ?

Après 10 années passées dans des cabinets d’affaires français et anglo-saxons basés à Paris, j’ai pris la décision de me lancer dans l’aventure individuelle.

Mon associé, Guillaume Assouly – avocat fiscaliste ayant officié pendant près de 10 ans également au sein de cabinets d’affaires parisiens, et moi-même avons donc créé le cabinet A&S Avocats en mai 2014, avec pour objectif de mettre nos compétences et notre expérience au service des entreprises et des particuliers. Au sein d’A&S Avocats, je gère toutes les questions de droit social, qu’il s’agisse du conseil ou du contentieux. Guillaume est quant à lui, responsable du conseil et du contentieux fiscal.

Que peux-tu nous dire au sujet des congés illimités ?

Depuis quelques années, on entend beaucoup parler des congés illimités, qui consistent pour une entreprise à permettre à ses collaborateurs de prendre autant de vacances qu’ils le souhaitent, et notamment au-delà des 5 semaines de congés payés légaux, sous réserve qu’ils aient atteints les objectifs fixés par l’entreprise.

Malgré une importante communication sur le sujet, en pratique, rares sont les entreprises qui ont mis en place ce système en France. Effectivement, il existe beaucoup de freins à la mise en place des congés illimités.

 Comment cela se concrétise juridiquement ? Comment les mettre en place en entreprise ?  

En principe, seule une convention collective peut prévoir une augmentation du nombre de congés payés accordés aux salariés, allant au-delà des 5 semaines de congés payés légaux.

Néanmoins, si malgré l’absence de telles dispositions conventionnelles, une entreprise décide de mettre en place des congés illimités, je lui conseillerais d’en informer chaque salarié par écrit, par le biais d’une lettre d’information individuelle, sans en revanche formaliser cette modification par la signature d’un avenant au contrat de travail, et ce afin d’éviter la contractualisation du système des congés illimités. Il est également recommandé de prévoir que la prise des congés payés doit faire l’objet d’une autorisation préalable, afin d’éviter que l’absence du ou des intéressés ait des conséquences négatives sur l’organisation du ou des services concernés. Les congés payés devront ensuite être mentionnés sur les bulletins de paie de vos collaborateurs et rémunérés en tant que tels.

Si le salarié en congés payés a un accident, il ne pourra pas être qualifié d’accident du travail ou de trajet, puisque par nature, le salarié n’est pas à la disposition de l’employeur pendant les congés payés.

Ce modèle est souvent utilisé par les entreprises américaines. Penses-tu que cela puisse marcher en France ?

Selon moi, les congés illimités n’ont pas vocation à se multiplier dans les entreprises françaises, notamment parce que le droit social français est très réglementé et encore aujourd’hui très protecteur des droits des salariés (même s’il tend à le devenir de moins en moins), contrairement au droit américain.

En France, les salariés bénéficient en effet de 5 semaines de congés payés a minima, voire plus lorsqu’une convention collective le prévoit.Dès lors, outre les réserves juridiques que j’ai sur ce système, les congés illimités me semblent présenter un attrait beaucoup moins élevé en France qu’aux Etats-Unis, où les salariés bénéficient d’un nombre de congés payés beaucoup moins élevé.

 Quels bénéfices peut en tirer l’entreprise ?

Outre l’aspect Communication et Publicité, les congés illimités peuvent permettre à l’entreprise de responsabiliser ses collaborateurs en leur faisant passer le message qu’elle leur accorde sa confiance. C’est leur donner la liberté de prendre autant de jours de vacances qu’ils le souhaitent dès lors qu’ils ont rempli leurs objectifs.

Cela peut aussi avoir pour effet de créer et favoriser un esprit d’équipe, en impliquant les collaborateurs dans un projet dit « collectif » et en les responsabilisant quant à leur contribution respective au dit projet.

Quels inconvénients ce système peut-il présenter ?

Les congés illimités présentent plusieurs inconvénients, qui expliquent qu’au final, peu d’entreprises aient pris la décision de les mettre en place en France.

Tout d’abord, ce système n’est pas conforme à la réglementation française, puisque seule une convention collective peut en principe permettre à l’employeur d’augmenter le nombre de jours de congés payés. Ensuite, les congés illimités sont critiquables en ce qu’ils peuvent encourager les salariés à une certaine forme de compétition entre eux, puisque seuls les plus performants sont récompensés, cette situation pouvant générer des tensions en interne et pouvant conduire certains salariés à faire des journées de travail beaucoup plus longues qu’auparavant afin de pouvoir réaliser leurs objectifs plus rapidement et être en mesure de prendre des congés.

Rappelons à cet égard que les congés payés ont pour objectif de permettre aux salariés de se reposer et que l’employeur est tenu à une obligation de résultat qui lui impose de prendre toutes mesures utiles afin de préserver la santé et la sécurité de ses collaborateurs. La responsabilité de l’employeur pourrait donc être engagée si la mise en place des congés illimités conduisait à mettre en danger la santé de certains collaborateurs, par exemple du fait de l’augmentation de l’amplitude des journées de travail ou encore de la prise d’un nombre de jours de congés payés inférieur au minimum légal ou conventionnel. Les congés illimités peuvent également poser difficulté au regard du principe d’égalité de traitement puisque selon la productivité des uns et des autres, des salariés pourront être amenés à prendre plus de congés que leurs collègues. Il est donc possible de voir surgir des contentieux initiés par les salariés qui auront pris moins de congés que leurs collègues et qui s’estimeront en conséquence victimes d’une inégalité de traitement.

Ce système peut par ailleurs conduire à des difficultés d’organisation et à un accroissement des procédures administratives internes, liées à la nécessité de gérer les absences des uns et des autres, et d’éviter ainsi qu’elles ne viennent désorganiser le ou les services concernés. Enfin, cela a un coût pour l’entreprise puisque les congés illimités devront être rémunérés.

Précisons également qu’un tel système n’est envisageable que dans les entreprises ayant une organisation assez souple, et non pour celles dont l’activité requiert une organisation très stricte et la présence des salariés à des horaires fixes.

As-tu déjà entendu parler de quelques sociétés qui auraient mis en place ce système ? Notamment sur le marché français ?

La presse s’est largement fait l’écho de la mise en place de congés illimités au sein d’entreprises françaises telles qu’Indeed. En revanche, aucune des entreprises que j’assiste n’a manifesté d’intérêt pour cette question pour l’instant.

 Et toi, quel est ton avis à ce sujet ? Fausse bonne idée ou un nouvel atout ?

Sauf évolution majeure de la réglementation française, qui paraît peu probable sur ce sujet, les congés illimités ne constituent pas, à mon sens,  un nouvel atout, et ce pour les nombreuses raisons précédemment évoquées qui les rendent peu compatibles avec le droit français. Force est d’ailleurs de constater que ce système se développe peu en France et même lorsqu’il est mis en place, il se révèle peu utile en pratique puisque les salariés tendent à prendre leurs 5 semaines de congés payés, comme c’était déjà le cas auparavant.

Et s’il a constitué un bon outil de communication pour certaines entreprises à un moment donné, il est désormais un peu dépassé.

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Rencontre avec Alexandre Zana Fondateur de Coding Days

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Explique-nous le concept Coding Days ?

Coding Days  ne forme pas des développeurs mais des « compreneurs » ! C’est un mot qui n’existe pas certes, mais qui résume à la perfection notre concept.

En quelques mots, nous ne formons pas les gens à devenir des développeurs professionnels, mais à comprendre le codage, le fonctionnement d’une page web, à mieux parler au développeur pour faciliter la communication entre les opérationnels et les développeurs, en entreprise.

Nos formations ne nécessitent aucune base théorique pour y participer. Le but est d’apprendre à tous, y compris aux débutants, comment fonctionne la programmation.

Pour résumé, notre mission est de dépasser les préjugés & les idées préconçues sur le code en transmettant nos deux passions : le code & l’enseignement. Accompagner les gens sur la transformation digitale, notamment les grands groupes pour qu’ils adoptent des réflexes pour en comprendre les enjeux et favoriser l’échange entre tous les collaborateurs.

Notre pédagogie est inspirée de plusieurs méthodes scientifiques déjà prouvées :

  • Les méthodes Montessori
  • La pédagogie inversée
  • L’apprentissage par challenge
  • L’intelligence collective !

 

Après la formation, tous les participants ont un accès à vie à notre plateforme de E-Learning ainsi qu’à la communauté Coding Days pour poser toutes ses questions Tech’ 7j/7 et 24h/24 !

Comment t’es venue l’idée de créer Coding Days ? Raconte-nous ton histoire !

Je viens d’école de commerce, je me suis intéressé au code à 19 ans. J’ai commencé à l’apprendre seul puis, j’ai suivi une formation chez Makers Academy à Londres. J’étais aussi très intéressé par la transmission de compétences et j’ai voulu allier  formation et code.

En parallèle, j’ai travaillé en agence où je devais parler à des designers et où les échanges étaient parfois complexes. Nous avons décidé de faire des micro formations où je comprenais un peu mieux leur travail & eux, le mien. Et c’était top !

J’ai commencé à faire des formations de 2 heures, puis 4 heures & Coding Days  est née ! ;)

Un mot ou deux sur les valeurs de Coding Days  ?

La pédagogie,  puisque Coding Days c’est avant tout la transmission de connaissances & l’apprentissage à tous, des fondamentaux du HTML5 au CSS.

La bienveillance que l’on a dans nos échanges auprès des gens que l’on forme.

La passion du code que l’on transmet grâce à notre équipe de mentors, eux même amoureux du code, désireux de le faire découvrir au plus grand nombre.

Quels types de formations proposez-vous ?

La formule de base : un jour, 8 heures de formation pour apprendre à créer son site web.

  • Pour comprendre le code 

Une formation d’une journée sur les langages HTML, CSS, JS etc accessible à tous.  

  • Pour créer un site internet 

Les formations disponibles via le site : « créer son propre site vitrine », « créer son propre site e-commerce ».

Intéressé ? A vos claviers ;)

 A qui s’adressent –elles ?

Aux salariés, aux étudiants, aux entrepreneurs et surtout aux curieux qui ont envie de découvrir le code ! Nous proposons plusieurs types de formations à la fois en entreprise & des formations accessibles à tous, tous les jours de la semaine et même le week-end.

Supposons que demain, je souhaite devenir une pro du codage, quelles sont les démarches pour accéder à votre formation ?

C’est simple, tu t’inscris en ligne via notre site internet. La prochaine session c’est samedi 9 décembre, et le 2 décembre pour les plus aguerris ;)

L’idée ce n’est pas de faire de toi une pro, mais une « compreneuse » & de t’initier au HTML5 et CSS3. Nos formations sont participatives, tu as les mains dedans dès le début de la journée !

Une anecdote sympa à partager ? ;-)

Dans la team, nous nous appelons tous « les poulets ». C’est notre it motiv’ ! Après chaque réunion, dans nos échanges … 

Pour la petite blague, quand un codeur est bloqué, l’astuce est de parler à un canard en plastique ! La technique du canard en plastique est une pratique de revue du code source utilisée en génie logiciel dans les phases de débogage. Nous expliquons, à voix-haute, en s’adressant au canard, le code source que l’on a écrit. L’idée c’est d’exprimer ses pensées à voix haute pour nous aider à trouver les erreurs de programmation. S’exprimer à voix haute sur un bout de code incorrect c’est se rendre compte de son erreur. Efficace non ?

Et demain ? Quelles sont les perspectives d’évolution ?

Nous développons de nouveaux modules de formations et de nouvelles fonctionnalités sur notre plateforme à la demande de nos clients ou bien par rapport aux nouveautés technologiques en vogue.

Il y a beaucoup de beaux projets à venir pour 2018, nous vous laissons la surprise ;)

 

Pour retrouver toutes les formations proposées par Coding Days, rendez-vous sur le site internet :

https://coding-days.com/

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LETESTU, Maison française

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Enoa est parti à la rencontre d’un nouveau concept innovant et 100% dans l’air du temps. Philippine HUBIN, 28 ans, fondatrice & Marie PAYET, 32 ans, associée, nous présentent LETESTU Maison française.

La rencontre de la curiosité du beau & d’un gentil ras le bol.

 

Le concept « LETESTU » ?

Marie : LETESTU est une conciergerie créative de cadeaux professionnels. Nous nous présentons comme un service dédié à vos clients et collaborateurs, pour leur proposer des cadeaux personnalisés. Nous conseillons notre client pour que son présent ait un impact plus fort : en choisissant le bon cadeau, adapté et personnalisé au destinataire, envoyé au meilleur moment, tout simplement.

Comment vous est venue l’idée de créer LETESTU ? Racontez-nous votre histoire !

Philippine : Dans une autre vie, j’étais avocate spécialisée en fusion acquisition. C’était régulièrement la course et on manquait de temps pour faire des cadeaux à nos clients. Le processus d’achat était lui aussi très fastidieux. A ce moment-là, j’aurais souhaité qu’un service clé en main s’occupe de tout. C’est comme ça que l’idée de LETESTU est née : un interlocuteur unique, une interface ergonomique ouverte vers une multitude de fournisseurs & un service complet !

Et vos clients ?

Philippine : Nos clients viennent de tous secteurs confondus. L’hôtellerie reste cependant l’un de nos marchés clés, depuis la création de LETESTU. Nous travaillons également pour des entreprises dans la construction, des agences de communication, des start-ups qui ont la culture du service.

Un ou deux mots sur les valeurs de LETESTU ?

Marie : Créatif, Made in France et responsable, nous mettons en exergue les richesses de l’artisanat français. Nous essayons de travailler avec un maximum d’artisans et de faire nos assemblages en ESAT (atelier protégé). Notre atelier est d’ailleurs situé en France, pas très loin de Reims.

Quels types de produits et services proposez-vous ?

Marie : Nous proposons plusieurs types de produits (créatifs, originaux, sur-mesure) dans le secteur du cadeau d’affaire et répartis sur 3 axes :

  • L’axe épicerie fine et spiritueux.
  • L’axe happy at work comprenant l’accessoire de bureau premium made in France.
  • L’axe sur-mesure, dans le sens où nous allons chercher des produits, compositions et expériences sur-mesure pour contenter les clients VIP.

Par exemple, un chef à domicile, ou une attention imaginée pour un événement en particulier, une soirée de fin d’année à thème, un emménagement bienveillant dans de nouveaux locaux, par exemple.

Une anecdote sympa à partager ?

Philippine : Revenons aux origines ! Letestu est le nom de ma mère. L’un de nos ancêtres s’appelait Guillaume Letestu, il était un envoyé du roi François Ier, chargé de lui rapporter des denrées exotiques lors de ses nombreux voyages au long court. C’est la force de notre storytelling ! L’idée : faire découvrir l’artisanat français

Merci « arrière arrière arrière » grand-père ;)

Par ailleurs, nous sommes une entreprise 100% féminine.  Notre atelier d’assemblage est uniquement composé de femmes en situation de handicap. En effet, elles ont une place essentielle au sein de notre entreprise et participent chaque jour activement  à la productivité et à la réussite de LETESTU.

Marie : Et le mot de la fin …  L’an dernier, Philippine a été appelée pour livrer 200 coffrets sur-mesure qui n’étaient pas en stock avant le nouvel an. Heureusement, elle est convaincante et motive tous les prestataires pour fournir les coffrets. Défi relevé pour la conciergerie !

Une perspective d’évolution ?

Marie : Notre objectif premier : devenir la référence du cadeau professionnel en France. Plus tard, digitaliser notre service et rendre le processus de commande d’un cadeau LETESTU, aussi facile que la commande d’un Uber ;)

 

Pour apporter une belle attention à votre client, c’est simple : connectez-vous sur le site ou contactez-les directement. Noel approche à grands pas… Pensez à un cadeau créatif et personnalisé pour sortir des codes classiques du cadeau d’affaire.

Laissez-vous tenter, chez Enoa nous sommes conquises :)

https://www.letestu.fr/

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Zoom sur l’appli Our Company

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Le concept d’Our Company ?

Avant tout, Our Company c’est une application qui permet aux collaborateurs de devenir acteur de leur propre bien-être. Elle  s’appuie  sur 4 grands piliers :

Le premier c’est de fournir un endroit où les gens puissent s’exprimer. Nous sommes un tiers de confiance & on garantit l’anonymat des salariés qui souhaitent s’exprimer sur leurs conditions de travail ! Plutôt cool non ?

Le deuxième outil mis en place c’est la transparence puisque l’on indique l’indice public du bien-être des entreprises, ce qui les implique à devoir se transformer sur leur marque employeur.

La troisième idée c’est l’entraide et la collaboration. Nous avons deux espaces forums sur l’application qui permettent aux 25 000 users qui utilisent l’appli de s’entraider sur des thèmes du bien-être au travail. Typiquement : « je sors d’un burnout, comment gérer mon retour ? » ou « Je démarre un stage, on me demande juste de servir des cafés, quels sont vos conseils pour que je puisse faire évoluer la situation ? » etc. Puis dans chaque boîte un forum privé où chaque salarié peut, avec ses collègues, partager ses idées, les problèmes qu’il rencontre. Tous les collaborateurs de l’entreprise pourront interagir pour enrichir une idée, proposer des solutions pour résoudre un problème. Cela permet aux gens de la boîte de collaborer ensemble.

Le quatrième grand pilier c’est la bienveillance. On essaie de faire en sorte que chacun puisse propager la bienveillance en entreprise. Nous le faisons de plusieurs manières, grâce à un programme de smiles. A chaque fois que quelqu’un contribue à l’écosystème en s’exprimant, en donnant une idée, il gagne des smiles qu’il peut reverser à une association partenaire qui œuvre pour le bien-être ou gagner des lots liés à son bien-être : jus de fruit detox, cours de yoga …

Dans cet espace smiles on encourage les collaborateurs à effectuer des missions dans la vie réelle : type aller chercher un café pour un collègue & dans la nouvelle version on développe un module pour apprendre à se remercier et savoir s’excuser quand on a commis une faute (quand on a manqué de temps, quand on a été agressif …).

Comment vous est-venue l’idée de créer Our Company ? Racontez-nous votre histoire !

J’ai un parcours d’entrepreneur. J’ai monté ma première boîte à 18 ans, c’était un service minitel pour aider à l’orientation scolaire. J’ai eu par la suite, plusieurs aventures entrepreneuriales. Avec ma famille, j’ai pu développer des lieux pour  faire des team building, du développement d’entreprise & j’ai créé une « practice » dans un cabinet de conseil en charge d’accompagner les grands groupes de grands groupes sur leurs sièges sociaux.

J’ai ressenti une perte de sens sur mon métier puis j’ai passé 5 années à me recentrer sur l’humain en intégrant une association & par le biais de grandes marches. Sérieusement … j’ai fait plusieurs fois le chemin de Saint-Jacques de Compostelle ! ;)

Puis, j’ai pris un petit déjeuner avec un pote qui fond en larmes en me racontant son burnout. Et Our Company naissait !

Un mot ou deux sur les valeurs d’Our Company ?

Notre valeur clé : la bienveillance. Une autre valeur essentielle pour nous, c’est l’altérité. Le fait d’arriver, entre nous, à créer une vraie sécurité psychologique pour chacun des membres de notre équipe pour qu’ils puissent s’exprimer avec leurs différences, leurs failles, leurs difficultés. C’est de là qu’on arrive à créer l’innovation & la richesse d’Our Company. Il y également les notions de plaisir et d’engagement.

Comment marche l’application ? Quelles sont les fonctionnalités d’Our Company ? Pouvez-vous nous faire une petite démo ?

On télécharge l’application. On ne voulait pas demander d’inscription dès le départ. Le but c’est de découvrir l’univers d’Our Company. On commence par s’exprimer sur ses émotions du moment, répondre à quelques questions sur son état de bien-être et puis l’on voit quel est notre indice de bien-être & comment on se situe par rapport à la communauté qui utilise l’application.

Si on veut que ses émotions soient prises en compte pour évaluer sa boîte et accéder au forum de son entreprise, il faut renseigner son mail professionnel. Le compte entreprise se crée à partir du moment où l’utilisateur entre son mail professionnel pour s’inscrire. On détecte automatiquement la dénomination de l’entreprise et la page apparait automatiquement pour éviter les doublons ou les faux comptes.  Une fois que l’on a fait ça, on a accès à l’indice de bien-être de toutes les entreprises. Nous avons environ 250 entreprises référencées dont toutes les entreprises du CAC 40. Nous n’intervenons jamais pour définir un indice de bien-être. Il s’agit de l’agrégation de data. Ce sont les utilisateurs qui constituent cet indice par le biais de leur avis, leurs émotions qu’ils retranscrivent dans l’application.

On a accès aux forums d’entraide de la communauté.

Quel est le type d’entreprise qui adhère à votre application ?

Les grands groupes nous sollicitent car c’est important pour eux de savoir, quelles  sont les équipes qui vont bien pour capitaliser sur les best practices des équipes & de connaître celles qui sont plus en difficulté pour pouvoir les accompagner au mieux.

Cela permet à l’entreprise de faire des filtres par géographie, par métier, par âge, par ancienneté etc. pour accompagner les équipes en fonction de leur besoin. C’est uniquement ce service qui est facturé 3 euros par mois aux salariés & aux grands groupes. Il est gratuit pour les associations, la fonction publique.

Par ailleurs, nous avons des partenariats avec les écosystèmes des médecins du travail, coach de vie, cabinets de conseil RH, pour qu’ils puissent aller accompagner les entreprises & du bien-être avec la fabrique Spinoza qui est l’une des associations que l’on soutien.

Nous avons des partenariats ponctuels avec d’autres associations types l’Association du Management de la Diversité en mettant à disposition la communauté pour créer des articles de recherche sur des thèmes comme : «  Vers qui se tourner quand on est victime de discrimination au travail ? ».

Nous sommes également en partenariat avec la startup Comeet pour fédérer la communauté happytech sur le bien-être au travail, qui connait un véritable engouement et le soutien du gouvernement.

 Une anecdote sympa à partager ? ;)

La première fois qu’un utilisateur nous a dit : « J’utilise votre appli pour faire mes courses & je vais acheter dans une entreprise où les gens sont heureux. »

On s’est rendu compte que cela fédérait une communauté considérant que le bien-être au travail est un droit fondamental. Imaginez demain, que les gens puissent se servir d’Our Company pour choisir son supermarché, sa banque ou sa mutuelle … c’est une fonctionnalité que nous n’avions pas du tout envisagée !

Quelles sont vos perspectives d’évolution ?

Notre grand projet c’est de créer l’indice mondial du bien-être au travail. En Décembre, nous ouvrons notre premier bureau à l’étranger, en Angleterre. Our Company attaque le marché anglais et on espère bientôt, accompagner nos clients à l’international.

Affaire à suivre donc, pour cette application atypique et innovante aux allures de smileys,  devenue le nouveau tamagotchi du bien-être au travail !

Pour en savoir plus …

Application en libre-service sur l’appstore & android

Site internet : http://www.ourcompanyapp.com/

Facebook : https://www.facebook.com/ourcompanyapp/?fref=ts

Twitter : https://twitter.com/ourcompanyapp

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AURA, l’Agriculture Urbaine Responsable

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Le concept d’AURA ?

« AURA ça veut dire « Agriculture Urbaine Responsable pour l’Avenir ».

L’idée : créer des meubles vivants pour les entreprises qui se basent sur de l’aquaponie qui est une méthode d’agriculture intensive, ludique & écoresponsable. Ludique parce qu’il y a le poisson,  productive car les végétaux poussent 2 à 3 fois plus vite (les plantes sont dans l’eau et non dans la terre, elles n’ont pas à lutter contre la sécheresse etc.) & écoresponsable car c’est l’une des seules qui permet d’avoir des nutriments pour les plantes sans avoir d’apport de minéraux. C’est les poissons qui fournissent les apports pour les plantes.

Ces meubles sont vendus aux entreprises pour le bien-être au travail, la RSE pour qu’elles deviennent actrices de « nos villes de demain ». C’est pour nous important, par le biais de nos produits, de montrer comment chacun peut agir chez soi, manger sain,  localement, de manière responsable ».Pour résumé : Avec AURA, vous avez accès à un meuble pour cultiver (tomates, basilic etc.) grâce à des poissons …

On vous avait dit que chez Enoa, on aimait l’innovation.

Rencontre avec Vincent, co-fondateur d’ « AURA » ! Comment est-venue l’idée de créer « AURA » ?

Racontez-nous votre histoire !

« Je suis ingénieur naval à la base. Au cours de mes études, on me propose de faire un parc éolien offshore. Il fallait trouver un substitut à la perte de la pêche du à la construction de ces éoliennes. Nous avons trouvé la solution de faire de l’exploitation multitrophique : des parcs aquacoles en eaux salées avec des algues & de la conchyliculture (culture des coquillages).

Au cours de mes recherches, je suis tombé sur le concept d’Aquaponie. L’aquaponie se base sur le même système, mais en eaux douces. Puis…me vient l’idée d’AURA ! ».

Expliquez-nous cette idée « un peu folle » de pouvoir cultiver grâce à … des poissons ?

« Au fur et à mesure, je me suis dit que c’était une solution qui pouvait être intéressante pour les villes de demain & que le consommateur cherchait une façon de produire soi –même de la nourriture saine. A la base, cette idée vient des aztèques, puis elle est reprise par les asiatiques & les malgaches dans les rizières. Aujourd’hui, il y a quelques fermes aux Etats-Unis, en Australie, à Hong Kong & Singapore dans des buildings. Cela fait 2 ans qu’on se forme sur l’aquaponie, qu’on cherche un modèle économique intéressant. AURA existe maintenant depuis 1 an ! »

Une petite équipe  de 5 personnes avec de grands projets & des rêves pleins la tête.

Ce qui les motive : Une méthode adaptable avec la possibilité de filtrer des étangs, faire pousser des arbres, cultiver des tomates … tout est possible & imaginable du particulier jusqu’à la « méga ferme » !

Vous ne vendez qu’aux entreprises ?

« Nous cherchons à faire des systèmes efficaces et esthétiques qui  soient vendus avec un service de maintenance. Ce qui est compliqué à mettre en place pour des particuliers, pour l’instant. Nous cherchons également à sensibiliser à de nouvelles méthodes de production ! Quand on met un meuble dans une entreprise on touche 150 personnes,  dans un appart’ on touche 4 personnes maximum … La différence est vite vue ! Cependant, on apprend aux salariés, par le biais d’ateliers, à fabriquer leur propre système miniature ».

Vous travaillez à la fois sur le bien-être au travail en intégrant la biophilie dans des espaces de travail et sur la création de fermes urbaines, pouvez-vous nous en dire un peu plus sur ces deux projets ?

On est beaucoup sollicité pour faire des fermes urbaines. Ce sont des projets longs avec un business plan difficile à mettre en place. C’est pour cette raison que les fermes urbaines resteront notre seconde activité. On a quand même envie d’y aller parce qu’on aime ça & que ça fait partie intégrante des valeurs d’AURA mais notre activité principale reste la création de meubles pour développer des lieux de vie en entreprise.

De quel constat êtes-vous parti pour développer vos produits ?

On utilise la biophilie qui a été inventée par la même personne qui développe le concept de biodiversité : Edward O. Willson. C’est l’attrait  inné des hommes aux êtres vivants. C’est pour ça qu’on aime se balader en forêt, qu’on possède des animaux de compagnie… Nous intervenons auprès des entreprises en proposant de créer des lieux de vie avec des animaux & des plantes qui poussent.

Magique non ? ;)

Une petite anecdote à nous raconter ?

Les poissons nous sauvent la vie ! Au parc des expositions par exemple, certaines portes étaient interdites d’accès & on a réussi à passer car les vigiles adoraient nos petits poissons ! Idem, quand on souhaite rentrer dans une entreprise, avoir accès à un parking et que nous n’avons jamais l’autorisation, à chaque fois on dit au vigile que l’on a des poissons dans le coffre et ils répondent tous la même chose : « aller passez, on ne va pas les laisser mourir vos poissons ! »

Pourquoi ne pas produire des installations urbaines à grand échelle vu que vous souhaitez sensibiliser un maximum de personnes ?

On a déjà un bassin de 700L, 300 poissons à Issy-les-Moulineaux ! Le long des baies vitrées, il y a de la culture. Cette installation est ouverte au public !

On travaille également avec des associations. D’ailleurs, on vient de lancer un nouveau système à Prairie, à Bobigny.

Des entreprises déjà conquises par votre projet ?

L’objectif était de vendre 7 systèmes et nous sommes déjà à 9 systèmes vendus. Nous avons installé un système dans une entreprise à la Défense et les dirigeants souhaiteraient installer nos dispositifs dans tout le bâtiment !

Une envie de développement à l’international ?

Notre modèle économique est accès sur le service car nous louons nos systèmes avec le service de maintenance. Nous sommes donc, pour l’instant, concentrés sur l’Ile-de-France, mais nous réfléchissons à un nouveau modèle économique pour pouvoir nous développer sur toute la France, ainsi qu’en Europe.

Demain, ce seront peut-être les contrôleurs des aéroports qui auront pitié de nos poissons et qui nous laisserons prendre le premier vol pour l’inconnu … Allez savoir ;) !

 En savoir plus sur AURA

Retrouvez leur site internet :

http://www.aura-urbaine.com

Retrouvez les sur Facebook :

https://www.facebook.com/auraurbaine/

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Mathieu Heribel

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Ce que vous devez savoir sur lui

Passionné de théâtre, curieux de tout, il a toujours gardé avec lui son « geek side » qui lui permet d’être over-connecté sur les réseaux sociaux. Avant d’être community manager, il était comédien pendant 7 ans. Pourtant, il a débuté sa carrière professionnelle en tant qu’ingénieur Systèmes Unix dans une banque de finance. On peut dire que Mathieu a vu du pays et chez Enoa… on adore !

Ses aventures professionnelles ?

Une fois son diplôme d’informaticien en poche, Mathieu arrive sur Paris. Il travaille pour Capgemini et part en mission au Crédit Lyonnais sur le volet finance (maintenant nommé CA-CIB).

Il touche alors à de nombreux domaines informatiques ; réseaux, base de données, stockage, messagerie, Windows et systèmes Unix. Cette vision globale va lui donner un atout majeur pour comprendre les problématiques des différents projets, pour cerner les enjeux et sécuriser les architectures des systèmes informatiques complexes qu’il contribuera à mettre en place durant presque 12 ans.

En parallèle de cet univers cartésien, il équilibre le tout par une autre passion, plus abstraite et plus émotionnelle : le métier de comédien !

Métier qu’il pratique d’abord en amateur, avant d’intégrer l’école d’art dramatique Jean Périmony. Après 3 ans de formation à mi-temps, il se lance à plein temps dans ce métier qu’il dévore. Il joue dans des pièces dramatiques, des comédies, s’amuse sur les planches, avec générosité et devant la caméra, avec subtilité !

Tout cela ne l’empêche pas de faire de la veille technologique et de rester connecté. Après 7 ans d’intermittence, et grâce à son expérience informatique passée, il décide d’approfondir ses connaissances et suit un Master en digital marketing à l’INSEEC. Il effectue un stage au sein d’une agence de communication spécialisée dans le storytelling (Agence 79C) où il pratique le métier de community manager. Son ton décalé et l’inventivité dont il fait preuve, plaisent. C’est un CM !

L’entreprise de ses rêves ?

Il veut exprimer sa créativité, et toute sa « BIG motivation » au profit d’une société qui partagera ses valeurs, dans une ambiance humaine, dynamique et fun, en intégrant un poste de community manager.

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The Family lance sa 3ème formation : « Lion Executive »

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Du sur-mesure pour former au numérique le cœur de vos organisations

Rencontre avec Annabelle chez The Family qui nous présente leur tout nouveau programme de formation : « Lion Executive ».

Bref historique des formations chez The Family

Petit rappel : depuis 4 ans, The Family a fait de l’éducation, son objectif premier. Elle connaît tout d’abord un succès en lançant « Koudetat », un programme de formation en ligne pour éduquer les entrepreneurs en leur donnant les meilleures chances de succès dans la création et le développement de leur start-up.

Pour répondre non seulement aux besoins de ses entrepreneurs souhaitant recruter les bonnes personnes mais aussi pour permettre à des profils de tous bords d’intégrer une start-up et de s’y sentir bien, The Family continue sur sa lancée en créant son école « Lion » (l’école de l’avant-garde, des employés).

« Lion », c’est un alignement d’intérêt entre les collaborateurs qui cherchent à travailler dans l’univers des start-ups et des entrepreneurs qui recherchent des profils adaptés. L’école a fêté ses 1 an, le 1er mai dernier. Elle propose des formations pendant 8 samedis d’affilés, de 9h00 à 18h00, 5 saisons par an. C’est une formation gratuite mais très sélective qui recrute des profils déjà opérationnels. Les professeurs de « Lion », quant à eux, sont des entrepreneurs ou des personnes de l’écosystème numérique qui viennent partager leur expérience et transmettre leurs savoirs. « Lion », c’est aussi 150 élèves recrutés chaque saison, entre 800 et 1000 personnes qui postulent par saison et la, quasi, chance de trouver un travail dans la foulée.

Mais, ce qui a suscité notre curiosité aujourd’hui, c’est le tout nouveau programme de formation de The Family, cette fois-ci, entièrement dédié aux collaborateurs des grands groupes : « Lion Executive », la formation au numérique, sur-mesure. Vous souhaitez en savoir plus ? Heureusement Annabelle nous en dit d’avantage sur « Lion Executive » !

Comment est venue l’idée de créer « Lion Executive » ? Selon quels constats ?

« Lion Executive » part de deux constats :

Le premier constat : Dans les grands groupes, le top management est aujourd’hui bien au fait des stratégies numériques, de ses modalités et de ses effets ; les jeunes générations ou « millennials » aussi, qui sont nées digitales, et… il reste les fonctions transversales qui n’ont pas bénéficié d’autant de formations. Or, ces collaborateurs sont au coeur de la mécanique du changement, dans toutes les fonctions transverses- Finance, RH, Innovation, Sales Data, etc-. Ils faut les former et c’est ce que Lion Exécutive leur propose. Parce que c’est eux qui assurent la mise en œuvre du changement, ou la bloquent …

Le deuxième constat : Il est construit sur la base d’une interrogation : comment garantir le caractère opérationnel de la formation ? Comment s’affranchir de la théorie pour privilégier une approche pragmatique ? Tout simplement, en montrant que les outils qu’utilisent les startups sont aussi applicables dans les grands groupes. Ils permettent d’automatiser les tâches, de rendre le travail plus rapide et efficace pour se concentrer sur des tâches à plus grande valeur ajoutée. Il n y a aucune raison que ces outils, ou même certains réflexes que vont avoir les start-ups, ne soient réservés qu’aux start-ups ! Et les formateurs sont les acteurs de ce nouveau monde.

Et toi ? Quel a été ton parcours ? Comment es-tu arrivée ici ?

Je suis sortie d’HEC pour intégrer le cabinet Bain. J’ai eu la chance de travailler sur la transformation digitale de plusieurs groupes, en particulier des groupes médias. Puis, j’ai rencontré l’un des partenaires de The Family, Miguel de Fontenay, avec qui j’ai développé « Pathfinder », qui permet d’identifier et de créer les relais de croissance des grands groupes via la création d’une startup.

Mon parcours s’est construit autour d’une même volonté : accompagner les grandes entreprises vers l’innovation, les pousser à emprunter des chemins nouveaux. Avec Lion Executive, je continue de m’intéresser à ces questions mais en agissant directement au cœur du management, là où se jouent les conditions de la transformation, quelles que soient les fonctions.

Quel est le concept de cette école ?

Le concept ? Transmettre tous les savoir-faire, techniques et méthodes utilisés en startup afin de s’approprier les outils de la génération numérique et apporter un souffle nouveau à la culture d’entreprise.

Comment ? Par une approche innovante fondée sur le pragmatisme,  le partage de l’expérience de ceux qui vivent au coeur des startups, loin des modèles théoriques top-down qui enseignent le digital là où Lion Executive veut en partager la pratique !

En bref, la formation se fonde sur le partage de savoir et d’expérience des entrepreneurs sélectionnés par The Family. Le cursus est très orienté vers la pratique : chaque participant comprend les nouvelles théories par des travaux de groupes modélisables et réplicables.

Quelles formations proposez-vous ?

Les Parcours possibles dès aujourd’hui : Execution, Growth Hacking, People. Et dès demain : Sales, Finance, Data, Strategy.

  • La formation PEOPLE : Dans un contexte de mutations rapides,la fonction RH doit prendre en compte les enjeux qui s’imposent désormais à elle et ses collaborateurs : nouvelles compétences, recrutement, gestion des talents, rémunérations, etc. Cette formation donne les clés pour attirer les meilleurs, les valoriser, les former, mais aussi savoir s’en séparer quand il le faut. On plonge directement dans les outils disponibles grâce à des cas réels à résoudre.
  • La formation GROWTH : Formation à destination des développeurs, chef de produit ou UX designer. Le Growth Hacking étant une discipline qui vise à améliorer l’efficacité du marketing, il s’agit de comprendre et de maîtriser tous les outils pour sans cesse amplifier la croissance de son activité.
  • La formation EXECUTION : L’idée : expérimenter en 4 jours l’expérience start-up : on plonge directement en “mode exécution” sur des cas réels à résoudre en équipes de 3 à 5 personnes. Cette formation se base sur la grande richesse des entreprises numériques ayant la capacité de développer des projets de manière rapide et efficace en expérimentant sans perdre de temps ni d’argent.

Les formations ont lieu sur 4 jours répartis sur un mois permettant à chaque personne de :

  • Repartir au bureau pour concilier son emploi du temps avec la formation
  • Expérimenter ce qu’on lui a appris au sein de son environnement de travail et engager le retour d’expérience.

 

A qui s’adresse t-elle ?

Managers et directeurs des fonctions clés des organisations : Marketing, RH, Commercial, Finance, Data, Stratégie, etc. « Lion Executive » s’adresse à tous les collaborateurs des grandes entreprises qui souhaitent acquérir des compétences, en développer de nouvelles, comprendre les dernières manières de travailler et apporter un nouveau regard sur le monde qui nous entoure. Bref, toute personne qui souhaite devenir moteur de changement dans son organisation ! Les classes sont composées de 15 à 50 personnes, maximum.

Comment fait-on pour s’inscrire ?

Il faut effectuer une demande de contact via notre site internet : https://executive.joinlion.co/ , on y trouve tous les détails sur la formation. Cliquez sur le bouton « participer » et le tour est joué J

Quel est le coût de la formation ?

3900 euros HT par élève pour les 4 jours de formation. Nous sommes complètement en phase avec le marché voir légèrement moins chers que d’autres formations du même type. J’insiste bien sur la valeur ajoutée de cette formation : la rencontre du « monde traditionnel » et du « monde numérique » au sein de l’écosystème numérique. Ces formations sont aussi un moyen de se faire du réseau. Il faut créer un écosystème, bénéfique à tous.

Et demain, quelles perspectives ?

Ouvrir d’autres classes dans d’autres domaines : Data, Finance, Sales, Storytelling, etc. toutes au service de l’innovation dans les entreprises.

Une anecdote sympa à partager ?

Le projet s’est monté très vite ! En 4 à 5 mois à peine ! On a sorti le site internet en 2 semaines, le 1er mai 2017 en clin d’œil à la fête du travail. D’ailleurs c’était les 1 an de « Lion » le 1er mai ! ;)

Vous souhaitez en savoir plus sur les formations The Family ?

L’école « Lion » c’est par ici

L’inscription à la formation « Lion Executive » c’est par

Pour tout autre information concernant The Family, rendez-vous ici

Un grand merci à Annabelle, de nous avoir accueilli dans les magnifiques locaux de The Family !

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Jean-François (Jeff) Carré, Ch’ti, Entrepreneur

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« L’homme qui brûle », du burn-out à la Résilience !

 

Le concept l’hommequibrule ?

C’est un livre témoignage accompagné d’une musique originale. Il s’agit de l’histoire d’un trentenaire qui raconte « ses trucs & astuces » pour éviter de tomber en burn-out & pour s’en sortir si l’on est déjà confronté à un tel cas.

Comment est venue l’idée ? Raconte-nous ton histoire.

L’idée m’est venue d’un de mes mentors sur mon projet d’entreprise Facelive.co. Sensibilisé par mon parcours il m’a dit : « Fonce Jeff, raconte ton histoire, elle est vraiment légitime et inspirante !

A qui t’adresses-tu ? Quel type d’interventions proposes-tu ?

Je m’adresse aux personnes qui vivent actuellement le burn-out et à leur entourage. Je propose plusieurs types d’interventions :

  • Le livre qui sortira bientôt (tous les détails sur LHommeQuiBrule.com)
  • Des conférences concernant les enjeux du burn-out, les symptômes à détecter, les attitudes à adopter, les astuces pour s’en sortir… (le détail des programmes à découvrir sur Rencontre.LHommeQuiBrule.com)


Quels messages souhaiterais-tu faire passer ? (aux candidats qui nous lisent, comme aux entreprises)

Pour les candidats je souhaiterais leur dire qu’ « après l’orage, il y a toujours du beau temps, plus l’orage est fort, et plus intense sera le soleil, et même avec un arc en ciel. »

Pour les entreprises, « soyez patientes et indulgentes, ce sont souvent les ressources les plus actives et productives qui sont concernées et qui apprennent, par cette expérience, à se réguler. »

Une anecdote sympa à partager ?

Il y en a tellement dans le livre que je vous laisse les découvrir en lisant ;-)

 

Vous souhaitez  en savoir plus sur l’hommequibrule c’est ici…

www.LHommeQuiBrule.com

hello@lhommequibrule.com

http://www.jeffcarre.com/blog/l-homme-qui-brule

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Maureen, chargée de com’ & consultante

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Bonjour Maureen, bienvenue dans la team Enoa !

Raconte nous ton histoire. Qui es-tu ?

Pèle mêle : Maureen (prononcé Maur « in » et on pas « Mauwrinne ») n’est pas irlandaise mais bien une française de 25 ans. Elle vient des Antilles, aime le ciel, le soleil; la mer (logique) mais aussi le sport (Pilates, Body Balance, Yoga). Ses domaines de prédilection : la communication, le digital et depuis peu, un réel intérêt pour les RH. Passionnée par les arts, elle pratique la photographie (argentique), fait beaucoup d’expos et s’intéresse au management de la mode ; du design. Son rêve : nager avec des grands requins blancs. Téméraire !

Mon parcours ? J’ai suivi un Mastère en communication spécialisation marketing du luxe en alternance. J’ai commencé en tant qu’assistante casting chez vente-privée. Je suis ensuite devenue chargée de communication chez Ethik Connection.

Auparavant, j’ai eu l’occasion de faire un stage chez DDB, au service achat d’art. Puis, j’ai suivi un stage en tant qu’assistante chef de projet événementiel chez Ethik Connection. A la recherche de nouvelles opportunités professionnelles, je souhaitais élargir mes compétences, tout en conservant mon ADN digital / communication.

L’opportunité d’intégrer Enoa s’est présentée et… m’est apparue comme une évidence ! Aujourd’hui j’ai la possibilité de rejoindre une équipe pluridisciplinaire en tant que chargée de communication et consultante RH. L’idée : élargir mon champ de compétences en exerçant un nouveau métier et en y apportant mon expertise en communication et digital.

Je m’occuperai, en parallèle, des sujets de communication du cabinet.

Pourquoi Enoa ? Qu’est ce qui t’a donné envie de rejoindre la team chic and choc ?

L’expertise d’Enoa autour des métiers de la communication, du marketing et du digital, le partage des compétences avec les différents profils qui composent le cabinet, l’expertise « consulting », l’esprit « startup » qui donne envie de se dépasser et d’atteindre ses objectifs. Également, le travail en équipe, la volonté de perfectionner mon expertise RH, la diversité des missions, la confiance qui m’est accordée, et enfin la valorisation de mon travail !

Quels sont tes doutes à notre sujet, ce que tu oses enfin nous avouer … Maintenant que tu as sauté le pas !

Il y a des cours de Yoga tous les mercredis chez Enoa … J’ai dit que je savais faire la chandelle … en fait je sais la faire, mais à moitié ;)

Merci & bienvenue Maureen

Longue vie chez Enoa !

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Léna, notre nouvelle stagiaire !

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Bonjour Léna & bienvenue dans la team Enoa ! Raconte nous ton histoire. Qui es-tu ?

Pèle mêle : Léna 19 ans (bientôt 20 !), issue d’un métissage Franco-Libanais et actuellement étudiante en Ressources Humaines. Animée par les RH, le recrutement & le digital, elle intègre l’équipe d’Enoa et l’accompagne sur le volet « sourcing » & identification des candidats. Son rôle : recueillir les informations pertinentes des postes à pourvoir, la mise en place d’une stratégie de recherche, le mapping des compétences candidats, l’approche du candidat « idéal ».

Passionnée de voyages et de cultures, elle a vécu la dolcevita 5 ans en Italie et rêve d’une nouvelle aventure à l’international (qui sait, peut-être pour notre 1er bureau Enoa à l’étranger ? ;)

Mon parcours ? J’ai travaillé 2 ans en restauration. Cela m’a permis d’aller au contact des clients, de vaincre ma timidité et de me rendre compte que l’humain était au coeur de mon ambition. J’ai donc décidé de poursuivre mes études dans les RH. Pourtant, avec mon Bac S en poche, j’étais partie pour faire médecine (merci Grey’s Anatomy …). Finalement, me voilà en DUT gestion des entreprises & des administrations, et j’intègre l’année prochaine un Master à Sup de RH.

Pourquoi Enoa ? Qu’est ce qui t’a donné envie de rejoindre la team chic & choc  ?

Au-delà de mon attrait pour les sujets autour des RH et du recrutement, l’esprit d’équipe, les projets, l’ambiance chez Enoa et l’énergie des consultantes m’ont aidé à me projeter ! La transparence, la pédagogie, l’accompagnement et la confiance qu’on m‘accorde au quotidien m’aident à apprendre chaque jour. Travailler chez Enoa c’est avant tout, une très belle expérience humaine & professionnelle !

Quels sont tes doutes à notre sujet, ce que tu oses enfin nous avouer … Maintenant que tu as sauté le pas !

J’aimerais apporter ma pierre à l’édifice et vous aider à trouver, chaque jour, de nouveaux talents ! Je dois encore m’approprier le langage du digital (culture, expérience et background) afin de monter rapidement en compétences. C’est mon challenge et…je compte bien le relever !

 

Merci & bienvenue Léna
Longue vie chez Enoa !

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Simplon.co

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Simplon.Co
Fabriques sociales de codeurs – Ecoles numériques – Réseau de formation aux métiers du numérique

 

Le concept

Simplon.co propose des formations pour apprendre à créer des sites Web et en faire son métier.Elles ont 3 particularités, elles sont :
*Intensives : en 6 mois et se font par la pratique,
*Gratuites : les bénéficiaires n’ont pas de frais à payer,
*Prioritairement ouverte aux personnes insuffisamment représentées dans l’informatique : jeunes de moins de 25 ans (peu ou pas diplômées) issues des quartiers prioritaires politique de la ville et des milieux ruraux, aux seniors (+de 45 ans), ainsi qu’aux femmes (objectif de parité hommes/femmes) et personnes en situation de handicap.

Notre objectif : faire de l’apprentissage du numérique un levier de cohésion sociale.

Crée en 2013, Simplon est aujourd’hui présent à Montreuil (93) et dans 15 villes en France (Marseille, Lyon, Roubaix, Narbonne, La Réunion, etc.) ainsi qu’à l’étranger (Roumanie & Afrique de l’Ouest). Simplon est en cours d’essaimage et diversifie ses référentiels au-delà du développement d’applications web et webmobiles (technicien d’assistance utilisateur, data-artisan, référent digital, etc.).

Rencontre avec Erwan Kezzar sympathique cofondateur de Simplon.

Comment est venue l’idée de créer « Simplon.co ». Racontez nous votre l’histoire !

En 2008 avec l’un des cofondateurs de Simplon, nous avions créé une petite agence Web (création de sites & applications mobiles pour des petites/moyennes entreprises). Novices et autodidactes, nous avons réussi à nous former de A à Z sur le développement Web & la gestion de projet… Fort de ce constat et au vu des nombreuses opportunités présentes dans le numérique, nous nous sommes lancés dans la formation & la programmation informatique. Nous savions qu’il y avait des personnes motivées et aptes à apprendre ces compétences numériques, mais qui hélas n’avaient pas accès à la formation professionnelle. C’est cette conjonction qui a occasionné le concept de Simplon.co.

Quels types de formations proposez-vous ?

  • Nous proposons principalement des formations professionnalisantes de 6 mois sur des compétences numériques : développement d’applications web et webmobile principalement. Elles sont gratuites pour les bénéficiaires, et débouchent sur un emploi, des stages ou des contrats de professionnalisation.
  • Egalement des formations de 1 à 3 jours à des salariés, des cadres dirigeants, des particuliers ou des porteurs de projets. Différentes thématiques et compétences sont alors proposées : la culture numérique, l’optimisation de la productivité, les méthodes agiles, les méthodes d’amorçage de projets de type startup, l’initiation à la programmation d’objets connectés etc. Ces formations sont payantes, et font généralement appel à des interventions de simplonien-ne-s.

A qui vous adressez-vous ?

A toute personne ayant envie d’apprendre les métiers du numérique !
Jusqu’ici, les apprenant-e-s de Simplon sont à 80% demandeur-se-s d’emploi, 57% ont un niveau bac ou infra-bac, environ 50% sont originaires de territoires prioritaires, et 31% sont des profils féminins. 

Comment choisissez-vous vos Simploniens(nnes) ? Quelles sont les étapes pour intégrer Simplon ?

Les candidats doivent passer des épreuves d’auto-apprentissage sur des plates-formes en ligne gratuites et accessibles à tout débutant, comme Codecademy.com. L’occasion de voir si ils sont motivés, si le contenu de la formation les intéresse et si ils ont les capacités d’apprendre en autonomie et de manière proactive.
– Une candidature écrite est soumise via un questionnaire en ligne où une partie des candidats est sélectionnée pour des entretiens individuels & des épreuves de travail en groupe (permettant d’évaluer leurs capacités de collaboration en équipe).
– Enfin, les dernier-e-s candida-t-e-s pré-sélectionné-e-s intègrent « la prairie » une période d’immersion en pré-rentrée qui permet de voir si ils/elles sont prêts à intégrer Simplon.

Pourquoi  « Simplon » ?

Lorsque l’idée nous est venue avec mon co-fondateur Andrei j’habitais rue du Simplon, un quartier populaire du Nord de Paris. Nous avions donné le nom Silicon Simplon à notre projet, en contrepied à la Silicon Valley et à son idéologie. Lorsqu’on a déposé les statuts, nous avons opté pour Simplon, avec l’extension .co qui, en vogue chez les startups, évoque la collaboration, la co-création, le collectif, etc.

Qui constitue le board  de Simplon.co ?

Nous sommes actuellement cinq membres du Comité de Direction : mon associé et co-fondateur Frederic Bardeau, qui est Président, moi-même, qui suis co-fondateur et Directeur de la pédagogie, de la Formation et de l’Insertion, ainsi qu’une DAF/Secrétaire Générale, un Directeur du Réseau des Ecoles, et un Directeur du Développement. Nous employons 46 ETP, qui sont principalement : des formateurs-trices, des chef-fes de projet, des développeur-se-s des chargé-e-s d’insertion, ainsi que des fonctions centrales (administratif et comptabilité).
Les prochains profils qui rejoindront l’équipe seront voués à renforcer la structuration des activités, notamment celles ayant trait aux financements de la Formation Professionnelle.

Quelles sont vos perspectives d’évolution ?

Nous avons deux principaux axes d’évolution :
*Scale up : 15 Simplon sont aujourd’hui en activité, et l’objectif est de continuer à déployer des Simplon sur les territoires en France, Europe, Afrique francophone, et au Moyen-Orient.
*Scale down : élargir le catalogue de formations gratuites et professionnalisantes que nous proposons, afin de couvrir d’autres métiers qui font appels à des compétences numériques.
Ces formations seront certifiantes dès qu’elles donneront des preuves de réussite !

Une anecdote Simplonnienne sympa à partager ;) ?

Lors d’une audition générale dans le cadre du programme gouvernemental « Grande Ecole du Numérique », l’un de nos anciens apprenants d’un quartier sensible de Villeneuve-la-Garenne a raconté comment il avait appris le développement web et pris goût à tout ça chez Simplon.co. Lui qui n’avait pas de diplôme et ne voyait pas vraiment de perspectives d’avenir, a raconté comment il alternait désormais entre un CDI et des prestations en indépendant très bien facturées.
Son allocution est devenue le texte qui ouvre le rapport « Grande Ecole du Numérique », en première page :)

Vous souhaitez en savoir plus sur SIMPLON

Visite & inscription par ici
Egalement TEDxParis / SIMPLON : le code informatique pour révéler les talents – intervention de Erwan Kezzar  ici 

Merci Erwan pour le café & la visite ! A très vite pour coder ;)

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Kokoroe

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Kokoroe1ère plateforme de partage de cours en ligne #Airbnb du savoir

 

Comment est venue l’idée de créer le  » Kokoroe  » ? Racontez-nous votre histoire !

Kokoroe c’est avant tout un coup de cœur amical sur les bancs de l’école entre 2 sœurs jumelles Raph & Elise, et moi-même. L’histoire de 3 drôles de dames avec des vies plutôt bien rangées, qui décident de tout envoyer valser à 30 ans pour se lancer dans l’aventure entrepreneuriale ! Même pas peur. Créé en 2014, Kokoroe est né de l’idée que nous possédons tous un savoir, une passion qui peut être partagée de manière ludique, conviviale et monétisée. Nous avons alors décidé de jouer les entremetteuses et créé une plateforme de partage de cours, sorte de Airbnb du savoir, accessible à tous depuis mars 2015.

Quel est le concept ?

Kokoroe est une plateforme en ligne qui propose une palette diversifiée de choix de cours, des plus classiques aux plus atypiques ! Plus de 1000 passions sont aujourd’hui représentées et partagées : Anglais, informatique, danse, marketing, ukulélé, DIY… et accessibles au choix : cours à domicile, en ligne, particuliers ou collectifs,  tout est possible et sans engagement. L’inscription sur le site est gratuite, vous êtes libre de proposer votre savoir ou savoir-faire, fixer vos tarifs, vos horaires et vos disponibilités. En quelques clics, vous trouvez n’importe quel cours adaptés à vos besoins, un professeur, à l’heure, au lieu et au prix qui vous convient. L’apprentissage est enfin accessible, s’adapte à vos besoins et à votre mode de vie. Enfin l’évaluation des professeurs est réalisée par la communauté des utilisateurs : meilleure note il aura, plus attirant il sera :)

A qui vous adressez–vous ?

A tous ceux qui ont envie de découvrir ou de partager de nouvelles passions !

Pourquoi  » Kokoroe  » ?

Du Japonais « apprendre avec le cœur », Kokoroe incarne une nouvelle tendance de fond qui transcende les âges, les genres et les classes sociales. Il devient aussi facile d’apprendre les fondamentaux du crochet, de la cuisine italienne ou de la programmation HTML, que d’aller réserver sa place de cinéma…

Qui participe à cette belle aventure ?

En plus des 3 fondatrices, l’aventure compte aujourd’hui une dizaine de passionnés. Nos deux pionniers développeurs chic & choc, Axel et Rui nous ont rejoint dès les débuts pour développer la plateforme ! Nous pouvons aisément dire que notre équipe est renforcée par notre Open-Lab qui permet aux membres de Kokoroé de suggérer en continu de nouvelles idées sur la plateforme ! Y’a pas à dire, l’union fait la force :)

Quelles sont vos perspectives d’évolution ?

Nous avons de beaux projets dans les cartons qui sortiront dans les prochains mois ;) et prochainement le lancement de notre application mobile !

Et demain, quels profils pour rejoindre la belle équipe ?

Nous accueillons de plus en plus de développeurs (Symfony PHP), et depuis peu des profils intégrateurs.

Quel est votre p’tit truc en plus qui fait la différence & qui donne envie de participer à l’aventure ?

Chez Kokoroe, nous croyons beaucoup au “yes, we can” : tout le monde a un talent, une compétence à partager, il suffit de se lancer. La passion est notre fil conducteur ! Nous sommes tous des mordus dans nos domaines : chacun développe son expertise, la partage, recueille les feedbacks et fait germer de nouvelles idées !

Et votre p’tite originalité ?

Kokoroe c’est la seule startup où il est possible de passer d’un cours d’apiculture, à un cours de pilotage de drone, en passant par un cours de cake design ou de body painting ! Nous voyons toutes les passions, même les plus insolites… Palme d’or à un cours de cracheur de feu ou un cours d’orthographe animé par le champion du monde de scrabble.

Merci les filles, on se retrouve très vite pour un cour de hula hoop !

 

Tout sur Kokoroe ici

https://www.kokoroe.fr

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Le pois Chiche en selle

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Le pois Chiche en selle

C’est l’heure du déjeuner et vous avez testé tous les resto du quartier ? Alors, il est grand temps de renouveler votre assiette et de découvrir ce mystérieux « pois chiche en selle » qui sillonne Paris à bicyclette… mais sans Paulette ;)

Comment est venue l’idée de créer le « le pois chiche en selle » ? Racontez-nous votre histoire !

Enfant déjà, je mijotais des bons petits plats avec mes grands-parents. Alors oui, on peut aisement affirmer que ma passion pour la cuisine est un bel héritage familial :)

Diplômée d’un master en Marketing, vivre de cette passion était une évidence ! Créer ma boite ? juste une question de temps…

L’histoire du « pois Chiche en selle » commence en 2014. Fraichement débarquée d’un road trip à travers les Amériques, changer d’environnement professionnel s’impose à moi…Hop virage à 180°

Fervente adepte des déplacements à Vélib, j’ai constaté à quel point on pouvait optimiser son temps de transport dans la capitale ! En parallèle de nombreux métiers à bicyclette se développaient : paysagiste, coiffeur,  même déménageur… Ainsi, l’idée m’est venue : entreprendre dans la restauration, oui mais…à vélo !

J’ai alors suivi des cours de gestion d’entreprise, puis, je me suis perfectionnée en cuisine grâce à Lenôtre et Ferrandi.

Quel est le concept ?

Livrer des repas faits maison à partir de produits frais et de saison où que vous soyez (chez vous, au travail ou dans un lieu public). La livraison se fait en vélo à la force des mollets ;)

A qui vous adressez–vous ?

Ma clientèle est large autant B2B que B2C. Je m’adresse aussi bien aux jeunes actifs, qu’aux personnes isolées qui ont besoin d’aide pour se faire à manger.

Pourquoi « Le pois chiche en selle » ?

Le pois Chiche qui pédale c’est moi !

Toute mon enfance et encore aujourd’hui mon nom de famille en a fait rire plus d’un. Mais finalement s’appeler Chiche ça a du bon, c’est original et ça marque les esprits ;)

Qui participe à cette belle aventure ?

Pour débuter, j’ai fait le choix de créer mon entreprise seule, pour l’instant je jongle entre cuisine & livraison. Mais j’ai surtout un entourage formidable que je remercie pour leur soutien & leur bouche à oreille qui participe grandement au succès de cette fabuleuse aventure !

Quelles sont vos perspectives d’évolution ?

Si mon activité se développe,  j’aimerais recruter une personne pour m’aider à livrer et ainsi étendre mes zones de livraison. Next step :  proposer des brunchs le week-end d’ici quelques mois !

Et demain, quels profils pour constituer une équipe ?

J’ai déjà reçu quelques candidatures et ça fait chaud au cœur de voir que son entreprise inspire ! Tous les profils m’intéressent. Cependant, lorsque je pourrais me permettre de recruter, je souhaite avant tout m’entourer de personnes motivées par l’esprit start-up, passionnées et très curieuses des nouvelles tendances culinaires et écologiques…

C’est quoi votre p’tit pois en plus qui fait la différence & qui donne envie de se mettre en selle à vos côtés ?

Celui que j’ai dans la tête ;)

Je dirais mon optimisme, toujours voir le verre à moitié plein ! Selon moi il faut persévérer et prendre des risques pour vivre les meilleures aventures de sa vie.

Une anecdote sympa à partager ? ;)

J’en ai plusieurs, mais je vais vous parler d’une retrouvaille…

Après 2 mois d’existence, je reçois une commande d’une certaine Mme X. Arrivée sur le lieu de livraison, qui vois-je ?  Une amie de maternelle (oui oui de maternelle) ! Elle avait connu le pois Chiche en selle sur Facebook et ignorait qu’elle tomberait sur moi ! C’est ce genre d’anecdotes, qui font de l’aventure entrepreneuriale, une expérience unique dans la vie…

Merci Aline ! A très vite & bon appétit :)

Site web

http://www.lepoischicheenselle.fr/

Page Facebook

https://www.facebook.com/lepoischicheenselle/?fref=ts

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Le petit ballon

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Chez Enoa, le vin on aime bien mais on y connait rien !

Pour y remédier, nous sommes parties à la découverte d’une startup qui enivre Paris : Le petit ballon où l’abonnement de vin sans baratin, une wine box comprenant une sélection mensuelle de 2 bouteilles, par Jean-Michel Deluc, ancien sommelier du Ritz.

 

Comment est venue l’idée de créer le « petit ballon » ? Racontez-nous votre histoire !

C’est avant tout une expérience personnelle… Martin, épicurien et fondateur du Petit Ballon, souhaitait approfondir sa connaissance du vin, hors, il trouvait ça complexe, peu convivial et onéreux ! En bref, le vin, on adore mais on y comprend rien (ou pas grand chose en tout cas). Notre avons voulu démocratiser le breuvage le plus prestigieux du monde pour  le rendre accessible à tous, de façon totalement décomplexée et compréhensible !

Comment ça marche ? A qui vous adressez–vous ?

Avec la box du Petit Ballon, fini le casse-tête ! C’est Jean-Michel Deluc, ancien Chef Sommelier du Ritz, qui sélectionne les pépites ! En s’abonnant, on reçoit chaque mois deux bouteilles de vins, la Gazette du Petit Ballon (le magazine du vin sans baratin), mais aussi des conseils et astuces de dégustation. Nos valeurs tournent autour du partage et de la convivialité, nous nous adressons à quiconque désire entrer dans la Grande Famille du Petit Ballon.

Oui et d’ailleurs pourquoi « Le Petit Ballon » ?

C’est le fruit d’un curieux mélange entre une longue réflexion et une très belle soirée… C’est au comptoir d’un bar que le nom nous est venu avec un charmant camarade de soirée.

Qui participe à cette belle aventure ?

À ce jour, nous sommes 23 ! 23 amoureux du concept qui travaillons ensemble sans relâche et le verre en l’air, pour que Le Petit Ballon devienne « grand » ! Martin, Matthieu, Clément, Jean-Michel, Sophie, Eric, Grégoire, Yannick, Moop, Pauline, Thomas, Thibaut, Maxime, Joséphine, Julia, Floriane, Naomi, Hadrien, Khéang, Louis, Anne-Elise, Léo, Cloé, voilà l’équipe au complet. Ici chacun est pro en sa matière : vin, design, service-après-vente, marketing/communication, acquisition, développeur, commercial, achat. Tout y est !

Quelles sont vos perspectives d’évolution ?

Nous avons récemment déposé nos bagages au UK puis en Belgique. Nos objectifs à long terme : accroître notre nombre d’abonnés et leur faire découvrir toujours autant des vins qu’ils souhaiteront intégrer à leurs caves. Et puis, devenir une référence du vin dans le monde (rien que ça !) ! Ambitieux nous ? Nonnnn…

Le petit ballon deviendra grand… Et demain, quels profils pour rejoindre la belle équipe ?

Une personne inventive, débrouillarde, qui possède un grand esprit d’équipe, curieuse, sympathique. Pas besoin de s’y connaître en vin, nous assurons sa formation ;)

C’est quoi votre petit truc en plus qui vous rend si enivrant … et qui donne envie de travailler à vos côtés ?

Il y en a tellement… La belle équipe et l’ambiance de travail qui tient à garder la dynamique startup, même si, aujourd’hui Le Petit Ballon s’apparente plus à une PME. Mais, notre facteur clé de succès dans ce domaine très concurrentiel, réside très certainement dans nos parties endiablées de Mario Kart pendant les pauses déjeuners !

Une anecdote sympa à partager ? ;)

Au début les locaux du Petit Ballon étaient l’appartement de Martin dans le XVIIe arrondissement de Paris. Il y avait alors plus de bouteilles ouvertes à partager avec les clients, que de vins vendus… ;)

Merci beaucoup l’équipe du petit ballon et… santé !

 

Site : http://www.lepetitballon.com/fr/

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La Mindfulness

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La Mindfulness ou Méditation pleine conscience

 

Rencontre avec la charmante & apaisante Holly Niemela.

 

Parlez-nous de vous, racontez-nous votre parcours, votre histoire !

Américaine d’origine Finlandaise, j’ai grandi aux USA, en Nouvelle Angleterre. Après avoir étudié les sciences politiques à Boston, je pensais devenir diplomate… mais ma fascination pour la relation existant entre le corps et l’esprit m’a guidé vers une toute autre voie : l’étude des thérapies corporelles (techniques de yoga, relaxation & méditation) dans la tradition du Bihar School of Yoga, India. J’ai également été formée par le Professeur Jon Kabat-Zinn créateur du programme MBSR (Mindfulness Based Stress Reduction) et fus l’une des premières instructrices à exercer en France en  2009. J’ai ainsi pu assister au développement de la Mindfulness dans les hôpitaux, les écoles et aujourd’hui dans les entreprises ! Avec 30 ans de pratique, je développe & dirige des programmes de qualité de vie, pour les particuliers et les entreprises. On peut dire que je porte plusieurs casquettes : enseignante, conférencière et formatrice en pratiques de mieux-être. Ma fille s’amuse à dire que j’exerce un métier cool et à la mode :)

Concrètement qu’est-ce que « la Mindfulness » ? Quel est son objectif ?

Célèbre aux Etats-Unis, la Mindfulness ou « pleine conscience »  est l’aptitude à prêter une attention particulière à l’instant présent, le vivre à 100% ! Elle peut être affûtée et se cultive par les pratiques de méditation. Peu établi dans le monde du travail , Google a même créé son programme Mindfulness interne « SIY » (Search Inside Yourself ) devenu le plus enseigné aux entreprises américaines, dans la Sillicon Valley & bientôt … dans le monde entier. Je suis fière de faire partie des 100 enseignants mondiaux et de pouvoir enseigner  « SIY » en France à partir de janvier 2016 !

Vous intervenez depuis peu auprès des entreprises, justement quel est le but de ce programme ?

La pratique de la Mindfulness (ou entrainement de l’attention) développe l’intelligence émotionnelle, le well-being & le leadership en entreprise.  Elle répond également aux maux de notre environnement professionnel : stress / burn out / dépression/absentéisme etc. Mon travail consiste à aider les salariés et les dirigeants des entreprises à se reconnecter à « eux-mêmes » :    Développer leur concentration, être présent, comprendre et répondre aux évènements avec sagesse, être à l’écoute de leur corps ! Ces aspects physiologiques & psychologiques sont essentiels.

Le but n’est pas de gagner en productivité, comme je l’explique souvent à mes clients… C’est une approche humaine qui permet d’améliorer la façon dont nous vivons et travaillons ensemble ! Il y a des répercutions très positives sur la vie professionnelle & personnelle des employés : moins d’absentéisme, plus de collaboration entre les gens et une meilleure ambiance de travail.

A qui vous adressez-vous ?

Je  réponds aux demandes d’entreprises ou d’organisations. Je suis également sollicitée par des CEO qui pratiquent personnellement la méditation, le yoga, les arts martiaux et qui ont compris les bénéfices que peut apporter ce programme à leurs salariés.

A quels évènements avez-vous participé ? Quel est l’objectif de vos interventions ?

Les événements majeurs étaient : La Journée Positive avec Madame Figaro et TEVA  et mon TEDx Talk en juin 2014. J’ai également participé à la journée de la Femme Digitale, le Digital & le Luxe, le Digital RH Meeting, puis de nombreuses conférences « in-house » pour les entreprises et les organisations. L’objectif de ces interventions : guider les participants dans des pratiques simples d’attention, de respiration, de prise de conscience, etc. C’est formidable de voir comment les gens intéragissent & apprécient l’instant ! Les  retours sont  toujours très positifs. Enfin, en ce moment, j’enseigne à Ecole 42, le OCDE & Sidièse Communication. 

Quelles sont vos perspectives dans l’avenir ?

Continuer de m’épanouir dans mon travail, rencontrer des gens dans diverses entreprises (notamment dans le digital). Avec le programme SIY,  j’aimerais faire évoluer à mon niveau,  le monde de l’entreprise en France.

Une anecdote sympa à nous raconter lors de vos passages sur scène ?

Face à une assemblée de 500 personnes, pour éviter d’avoir le trac, je ne porte pas mes lunettes sur scène ! Je suis myope et je ne vois personne dans l’audience, ça aide ;)

Un message à faire passer ?

Be yourself, no one can do it better than you !

Nous terminerons par le mot de passe de la connexion intérieure  « Aummmmmmm »

Inspirez ! Soufflez ! C’est terminé.

Un grand merci Holly, à très vite chez Enoa pour une intervention !

 

Si vous souhaitez la contacter, c’est par ici :

http://www.mindfulness-entreprise-travail-individuel-paris.com

La Mindfulness ou Méditation pleine conscience

 

Rencontre avec la charmante & apaisante Holly Niemela.

 

Parlez-nous de vous, racontez-nous votre parcours, votre histoire !

Américaine d’origine Finlandaise, j’ai grandi aux USA, en Nouvelle Angleterre. Après avoir étudié les sciences politiques à Boston, je pensais devenir diplomate… mais ma fascination pour la relation existant entre le corps et l’esprit m’a guidé vers une toute autre voie : l’étude des thérapies corporelles (techniques de yoga, relaxation & méditation) dans la tradition du Bihar School of Yoga, India. J’ai également été formée par le Professeur Jon Kabat-Zinn créateur du programme MBSR (Mindfulness Based Stress Reduction) et fus l’une des premières instructrices à exercer en France en  2009. J’ai ainsi pu assister au développement de la Mindfulness dans les hôpitaux, les écoles et aujourd’hui dans les entreprises ! Avec 30 ans de pratique, je développe & dirige des programmes de qualité de vie, pour les particuliers et les entreprises. On peut dire que je porte plusieurs casquettes : enseignante, conférencière et formatrice en pratiques de mieux-être. Ma fille s’amuse à dire que j’exerce un métier cool et à la mode :)

Concrètement qu’est-ce que « la Mindfulness » ? Quel est son objectif ?

Célèbre aux Etats-Unis, la Mindfulness ou « pleine conscience »  est l’aptitude à prêter une attention particulière à l’instant présent, le vivre à 100% ! Elle peut être affûtée et se cultive par les pratiques de méditation. Peu établi dans le monde du travail , Google a même créé son programme Mindfulness interne « SIY » (Search Inside Yourself ) devenu le plus enseigné aux entreprises américaines, dans la Sillicon Valley & bientôt … dans le monde entier. Je suis fière de faire partie des 100 enseignants mondiaux et de pouvoir enseigner  « SIY » en France à partir de janvier 2016 !

Vous intervenez depuis peu auprès des entreprises, justement quel est le but de ce programme ?

La pratique de la Mindfulness (ou entrainement de l’attention) développe l’intelligence émotionnelle, le well-being & le leadership en entreprise.  Elle répond également aux maux de notre environnement professionnel : stress / burn out / dépression/absentéisme etc. Mon travail consiste à aider les salariés et les dirigeants des entreprises à se reconnecter à « eux-mêmes » :    Développer leur concentration, être présent, comprendre et répondre aux évènements avec sagesse, être à l’écoute de leur corps ! Ces aspects physiologiques & psychologiques sont essentiels.

Le but n’est pas de gagner en productivité, comme je l’explique souvent à mes clients… C’est une approche humaine qui permet d’améliorer la façon dont nous vivons et travaillons ensemble ! Il y a des répercutions très positives sur la vie professionnelle & personnelle des employés : moins d’absentéisme, plus de collaboration entre les gens et une meilleure ambiance de travail.

A qui vous adressez-vous ?

Je  réponds aux demandes d’entreprises ou d’organisations. Je suis également sollicitée par des CEO qui pratiquent personnellement la méditation, le yoga, les arts martiaux et qui ont compris les bénéfices que peut apporter ce programme à leurs salariés.

A quels évènements avez-vous participé ? Quel est l’objectif de vos interventions ?

Les événements majeurs étaient : La Journée Positive avec Madame Figaro et TEVA  et mon TEDx Talk en juin 2014. J’ai également participé à la journée de la Femme Digitale, le Digital & le Luxe, le Digital RH Meeting, puis de nombreuses conférences « in-house » pour les entreprises et les organisations. L’objectif de ces interventions : guider les participants dans des pratiques simples d’attention, de respiration, de prise de conscience, etc. C’est formidable de voir comment les gens intéragissent & apprécient l’instant ! Les  retours sont  toujours très positifs. Enfin, en ce moment, j’enseigne à Ecole 42, le OCDE & Sidièse Communication. 

Quelles sont vos perspectives dans l’avenir ?

Continuer de m’épanouir dans mon travail, rencontrer des gens dans diverses entreprises (notamment dans le digital). Avec le programme SIY,  j’aimerais faire évoluer à mon niveau,  le monde de l’entreprise en France.

Une anecdote sympa à nous raconter lors de vos passages sur scène ?

Face à une assemblée de 500 personnes, pour éviter d’avoir le trac, je ne porte pas mes lunettes sur scène ! Je suis myope et je ne vois personne dans l’audience, ça aide ;)

Un message à faire passer ?

Be yourself, no one can do it better than you !

Nous terminerons par le mot de passe de la connexion intérieure  « Aummmmmmm »

Inspirez ! Soufflez ! C’est terminé.

Un grand merci Holly, à très vite chez Enoa pour une intervention !

Si vous souhaitez la contacter, c’est par ici :

http://www.mindfulness-entreprise-travail-individuel-paris.com

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Kumqwat

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 » Kumqwat « 

 

Plateforme d’entraide professionnelle, vocation : relancer la méritocratie & l’ascenseur social !

Rencontre avec  Lucas Le Gouail  cofondateur de Kumqwat.

 

Comment est venue l’idée de créer Kumqwat ? Racontez-nous votre histoire !

Beaucoup de personnes brillantes & méritantes n’arrivent hélas pas à trouver un emploi, un stage ou à développer leurs opportunités professionnelles, car souvent confrontées à des barrières (âge, diplôme, manque d’expérience, de réseau, etc). Fort de ce constat, nous avons créé Kumqwat afin de relancer la méritocratie et l’ascenseur social en permettant à chacun de contourner ces barrières professionnelles !

Parlez-nous du concept Kumqwat !

Kumqwat est une plateforme d’entraide professionnelle (tous secteurs & localités)  récompensant ses utilisateurs lorsqu’ils aident les autres. Ici, pas de CV ou de système d’ajout d’amis, qui selon nous favorise la mise en avant de ces barrières. En revanche, vous pouvez booster votre carrière et celles des autres, en échangeant  facilement & directement des contacts, conseils ou opportunités professionnelles ! C’est simple : En quelques clics vous créez votre profil en renseignant les secteurs & localités dans lesquels vous pouvez aider & souhaitez être aidé. Vous accédez alors à une base d’utilisateurs vous permettant de répondre à votre problématique mais aussi être utile à des personnes le nécessitant ! Pour encourager l’entraide professionnelle, nous avons la volonté d’en faire une source de rémunération (système de don utilisateurs) et de valorisation sociale (système d’évaluation utilisateurs).

Pourquoi ce nom ?

Le nom « Kumqwat » vient d’une idée saugrenue… Acheter un extracteur de jus dès que nous en aurions la possibilité afin de booster nos équipes aux vitamines ! Par ailleurs, le kumqwat est le symbole de l’unité en Asie, de la perfection et de la prospérité… Alors, pourquoi ne pas débuter avec un nom aux significations si élogieuses ?

A qui vous adressez-vous ?

A tous ceux qui ne trouvent pas de solutions à leurs problématiques professionnelles, malgré les outils actuels (réseaux sociaux professionnels, salons, etc.). Egalement aux personnes en capacités d’aider les autres dans un ou plusieurs secteurs d’activités. Kumqwat, c’est l’opportunité de faire partie d’une communauté collaborative et d’être récompensé pour aider les autres !

Quelles sont vos perspectives ?

Pour accélérer le développement de notre version bêta et préparer le lancement de nos premières campagnes marketing, nous avons récemment récolté 5 000 € grâce à une campagne de Crowdfunding (Financement Participatif). Notre ambition : devenir la première plateforme d’entraide professionnelle, surfant sur la vague de l’économie collaborative.

Un message à faire passer ?

Parce qu’on se serre beaucoup les mains et pas assez les coudes, rejoignez-nous sur Kumqwat !

Rdv bientôt ;)

Merci à Lucas Le Gouail, Pierre Jacquart & Hassatou Diallo.

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La famille Enoa s’agrandit…

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La famille Enoa s’agrandit…
Nous sommes fières de vous présenter « Maxime », le premier bébé Enoa !

Petit bout de femme au caractère déjà bien affirmé, cette future pile survoltée doit son tempérament à sa mère certes, mais également à quelques particularités…
Benjamine d’une fratrie, née avec une impressionnante chevelure (capable de rivaliser avec le Roi Lion) et un prénom disons,  « atypique », Maxime attise la curiosité et c’est peu dire. Ses premiers mois sur terre n’ont pas été de tout repos, notamment pour ses parents las de devoir justifier que « non » elle ne porte pas une perruque et que « oui » Maxime est également un prénom féminin ! Mais nous pouvons compter sur la solidarité de Louise & Gabin qui veillent au grain.

Après avoir profité de son congé maternité, il est temps pour Elsa de retrouver Enoa ;)
Nous lui souhaitons la bienvenue, hâte de la retrouver !

Céline, Emilie, Aurélie & Aurore

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YouSchool

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YouSchool

 

L’école en ligne pour seulement 1€

Nous avons rencontré Cécile Hazan & Jean-Daniel Uzan l’équipe dirigeant d’Ecole Sup’Paris qui souhaitent aller encore plus loin dans l’éducation avec la création d’une ecole en ligne ! Belle découverte !

 

Comment est venue l’idée de créer YouSchool ? Racontez-nous votre histoire !

Nous avons créé notre première école d’enseignement supérieur privé en 2012. La formule de l’alternance attirait alors des étudiants qui se détournaient de l’université, souhaitaient acquérir une expérience professionnelle ou ne pouvaient pas financer une école privée. Hélas, la limite de ce système vient du nombre limité de places en entreprise, laissant de nombreux étudiants sans employeur, ni formation… Ce triste constat nous a poussé à imaginer le concept de YOUSCHOOL !

Parlez-nous du concept YouSchool !

YOUSCHOOL est une école d’enseignement supérieur privée agréée par le rectorat qui délivre des diplômes d’étatselon la formule d’abonnement « Freemium »L’objectif : rendre l’éducation et le diplôme accessible à tous en proposant de pouvoir passer un CAP, un BTS, une licence… 100% en ligne et pour seulement 1€/jour. Etudier quand on le veut et de n’importe où !

Nous mettons à disposition de nos utilisateurs un portail de e-learning dernière génération permettant d’accéder à tous les cours. Chaque cours est supporté par une vidéo ludique et didactique afin de le rendre vivant et attractif ! A la fin, un quizz autocorrectif valide l’exercice permettant une progression pédagogique sereine. Les professeurs sont joignables à tout moment par chat ou email, il existe également des « chatrooms » entre classes afin de favoriser le partage entre utilisateurs ! Mieux qu’une description… regardez plutôt la vidéo !

https://www.youtube.com/watch?v=vhrbNICADik

A qui vous adressez-vous ?

Au départ à nos étudiants sans entreprise, mais nous avons réalisé à quel point la cible était vaste ! Nous avons progressivement touché les étudiants des autres écoles (souhaitant un soutien en plus de leurs cours), les étrangers francophones désireux de passer un diplôme français (très onéreux en France), aussi & surtout les adultes en reconversion professionnelle ne pouvant pas se permettre d’arrêter de travailler pour passer un diplôme !

Quelles sont vos perspectives futures ?

Nous avons obtenus un agrément pour TOUS diplômes d’état en ligne. Les perspectives sont alors illimitées. Des CAP aux masters en passant par le brevet, les différents baccalauréats, les BTS, les licences… Nous souhaitons accélérer notre développement en proposant toujours plus de formations et toujours plus d’innovation numérique !

Une anecdote de tournage des cours à partager ? ;)

Au départ, les tournages s’effectuaient dans mon appartement aménagé alors en studio. Mais au moment des prises, un figurant « George » mon chat… s’invitait dans le champ de la camera & on devait tout recommencer. Force de conviction, il s’est finalement imposé comme un personnage à part entière de YouSchool et nous nous sommes adaptés à ses apparitions ! Nous avons aujourd’hui des studios de tournage et George continue de faire son show. A star is born !

Un message pour vos futurs utilisateurs ?

Youschool c’est simple d’utilisation, ludique, pédagogique et pour seulement 1€/jour ?

Prêt pour étudier ?

Un grand merci Cécile Hazan & Jean-Daniel Uzan… à très vite sur YouSchool !

http://www.youschool.fr/

https://www.youtube.com/watch?v=vhrbNICADik

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MyBusyMeal

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MyBusyMeal

 

Réseau social dédié aux professionnels souhaitant se rencontrer autour d’un repas en toute convivialité !

A l’origine deux frères, Fabien & Sébastien Carraro qui pensent que la vie se construit autour de rencontres : celles que l’on attend & celles que l’on provoque !

 

Comment est venue l’idée de créer MyBusyMeal ? Racontez-nous votre histoire !

MyBusyMeal est né en janvier 2014, après plusieurs années d’un même constat lors de nos déplacements professionnels : nous nous retrouvions souvent seuls au restaurant au moment des repas, une situation finalement commune à beaucoup de professionnels… Nous avons souhaité construire un nouveau réseau professionnel dédié à la rencontre MyBusyMeal vient de Business Synchronisation Meal ! Donnant ainsi le mot « BusyMeal », rendre son repas « actif » pour mettre à profit un temps latent de notre journée et le transformer en opportunité de business.

Parlez-nous du concept MyBusyMeal ?

MyBusyMeal est un moyen simple & rapide de provoquer des rencontres professionnelles en toute convivialité autour d’un meal (pause-déjeuner). Grâce à l’application, vous pouvez à n’importe quel moment de la journée & n’importe où  (plus particulièrement lors de vos déjeuner/diner) géolocaliser les BusyPeople autour de vous etparticiper ou les inviter à un BusyMeal. L’objectif : faire du social dining professionnel une opportunité pour développer de nouvelles synergies.

Comment cela fonctionne ?

L’inscription est gratuite et prend moins d’ 1 mn. Les membres ou « BusyPeople » ont le choix « créer » ou « participer » à un BusyMeal de la communauté. Accessible à partir de PC, tablettes et smartphones. Disponible en 5 langues (français, italien, anglais, espagnol et allemand) avec un système de géolocalisation incorporé.  Toutes les informations concernant le BusyMeal sont disponibles sur la fiche du repas (date, adresse, budget, participants, thème du repas…) La suite…. c’est à vous de l’écrire !

Quels services proposez-vous ?

My BusyMeal est accessible gratuitement, mais nos membres ont la possibilité de profiter de nos services grâce à 3 forfaits : « Freemium » gratuit – « Silver » à 3.75€ TTC/mois – « BusyAngel » à 99€ TTC (un seul paiement pour un abonnement à vie). MyBusyMeal est également dédié aux professionnels avec un forfait « BusyPartner »  qui leur est dédié (Restauration / Hôtellerie, Entreprises & Sociétés d’évènementiels)

Quelles sont vos perspectives futures ?

Nous sommes en développement et en recherche de nouvelles fonctionnalités. La dernière en date : la créationd’équipes d’experts avec l’objectif de faciliter la démarche de nos BusyPeople pour tous changements professionnels ou création de société. Si vous avez envie de faire partie de nos ambassadeurs, n’hésitez pas à nous contacter : contact@mybusymeal.com

Quels conseils aux abonnés pour une utilisation optimale de MyBusyMeal ?

Restez vous-même, soyez curieux et tenter un premier BusyMeal !

Une anecdote sympa de repas à partager ? ;)

Alors qu’un de nos BusyPeople participait à son second BusyMeal il a pu rencontrer celui qui allait devenir son comptable quand il a lancé sa société 3 mois après. Au troisième, il a choisi son assureur …plutôt efficace comme BusyMeal :) !

Merci beaucoup Sébastien, on se retrouve très vite autour d’un BusyMeal !

Website : www.mybusymeal.com


Twitter : @MyBusyMeal


www.youtube.com/watch?v=l9BsDByECOA

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OfficeRiders

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OfficeRiders

 

« Le Airbnb des professionnels »

 

Comment est venue l’idée de créer OfficeRiders ? Racontez-nous votre histoire.

C’est à San Francisco que nous est venue l’idée. Alors que nous séjournions dans un lieu hybride entre appartement & espace de travail, la « Start-up basecamp » avait transformé son salon en espace de co-working pour les entrepreneurs internationaux séjournant dans son appartement. Une évidence ! Nous avons pris conscience qu’un nombre important d’espaces chez les particuliers étaient laissés inoccupés une partie du temps et que de nombreux professionnels nomades étaient à la recherche d’espaces accessibles dans les grandes villes où l’on observe uneforte expansion d’un mode de travail dé-sédentarisé !

C’est sur la base de ces deux constats et dans la mouvance de l’économie collaborative que nous avons inscrit notre idée.

Parlez-nous de votre concept !

On nous surnomme le « Airbnb des professionnels »  et pour cause :  nous proposons aux particuliers de louer leur espace non pas pour y dormir, mais pour y travailler ! Dans les grandes villes où l’immobilier est coûteux, les appartements et espaces laissés inoccupés constituent un réel gâchis et une perte économique… Les particuliers peuvent louer ces espaces vides à une diversité d’usages professionnels. De leur côté, les travailleurs nomades ou « riders », peuvent trouver des espaces accessibles et adaptés à leurs besoins pour y travailler occasionnellement ou régulièrement.

 Qui participe à cette aventure professionnelle ?

L’équipe fondatrice comprend des entrepreneurs dont les chemins se sont croisés à San Francisco : un Directeur Technique (Jean-Philippe Matz), un Directeur Créatif (Thomas Leblanc) et un CEO (Florian Delifer). L’équipe s’agrandit maintenant sur Paris avec un Community Manager et un Responsable des Partenariats. Cependant, c’est une communauté beaucoup plus large qui contribue aujourd’hui à la vie et au dynamisme d’OfficeRiders. Des hôtes de plus en plus présents & actifs sur la plateforme et des Riders qui interagissent entre eux (ils se retrouvent par exemple sur des journées de co-working organisées sur le site ! ).

A qui vous adressez-vous ?

  • A des personnes disposant d’espaces vides ou sous-utilisés pendant la journée et souhaitant générer un revenu complémentaire, tout en soutenant des beaux projets professionnels : salle à manger, salon, terrasse, cuisine, bureau…
  • Egalement à des personnes travaillant de chez eux désirant partager leurs espaces de travail.
  • Enfin, aux professionnels nomades à la recherche d’espaces accessibles et flexibles, adaptés à leurs besoins : start-ups et entrepreneurs, réunions, présentations, showrooms, et même shootings ou autres…

 

Quelles sont vos valeurs ?

La collaboration, le partage et la confiance ! Nous souhaitons donner un sens économique en optimisant l’utilisation des espaces dans les grandes villes.OfficeRiders puise sa force dans l’économie collaborative et les nouvelles technologies, pour répondre aux enjeux liés au coût de l’immobilier, à l’isolement au travail et à la forte croissance d’un style de travail dé-sédentarisé dans les grandes villes.

Quelles sont vos perspectives futures ?

Nous nous concentrons sur notre 1er marché : Paris. Cependant, nous avons un service très perméable géographiquement, si le modèle fait ses preuves dans notre capitale, il  est appelé à gagner d’autres grandes villes comme Berlin ou Barcelone dès cette année.

Une anecdote sympa à partager ?

Les hébergeurs sont invités à proposer tous les équipements qu’ils pourraient mettre à disposition des riders pour agrémenter leur journée (imprimantes, café, etc.). Original mais surtout malin et collaboratif ! Certains riders trouvent leur bonheur en utilisant les machines à laver des particuliers, évitant ainsi toute perte de temps à la laverie ! :)

Merci l’équipe OfficeRiders ! A très bientôt dans l’un de vos espaces Parisiens :)

 

https://www.officeriders.com/

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AntiCafé

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« AntiCafé » mais pas « Antisocial »

 

Enoa a testé et approuvé L’AntiCafé : espace atypique, multiculturel, lieu de partage, de travail et d’échange où les visiteurs ne paient que le temps passé sur place. Ici on ne s’excuse plus de bosser sans avoir consommé 5 cafés… et nos candidats sont enchantés ! Nous avons souhaité en savoir plus avec Nicolas Perrot codirigeant.

 

Comment est venue l’idée de créer l’AntiCafé ? Racontez-nous votre histoire.

L’idée est venue de Leonid Goncharov (CEO de l’AntiCafé), jeune Ukrainien étudiant à Paris qui peinait à trouver un lieu pour travailler sur ses projets autour d’un café ou en mangeant un bout, comme il le faisait en Ukraine et en Russie. Mais frustration peut rimer avec ambition … C’est ainsi que L’Anticafé est né : créer un lieu unique qui s’adapterait aux besoins des visiteurs et non l’inverse !

Nous avons concrétisé en 2013  avec l’ouverture de l’AntiCafé Beaubourg, puis la création de 2 autres espaces à Paris, L’AntiCafé du Louvre & plus récemment L’AntiCafé Olympiades : un espace d’expérimentation de 340 m2 au cœur du 13e arrondissement, un quartier dont nous sommes fiers de participer au renouveau. Enfin,  l’AntiCafé Roma à Rome.

Pourquoi ce nom ?

C’est un nom qui a ses amis et ses ennemis… C’est essentiellement une raison identitaire, nous souhaitions repenser le modèle du café, se construire en opposition (anti) et corriger ce que l’on critique souvent à savoir, la qualité de l’accueil et du service, les prix… Il y a également un côté anticonformiste avec une réelle volonté de se différencier !

Qui a participé à cette aventure professionnelle ?

Nous sommes organisés autour d’une cellule de développement composée de 3 codirigeants : Léonid Goncharov, Nicolas Perrot & Sissi Haïdar, d’un coordinateur par espace et d’une équipe. Cela représente 27 personnes, avec des profils diversifiés en termes de parcours & de nationalités ! Nous avons la chance d’avoir des partenaires comme le collectif BonkersLab qui signe & soigne le design de nos espaces (rôle essentiel pour créer une atmosphère de confiance). Nous recevons des coups de pouce très précieux de nos premiers clients sur des compétences spécifiques : développement web, marketing ou gestion d’événements. Et bien entendu, nos fournisseurs.L’idée c’est d’être dans une logique collaborative.

Parlez-nous du concept de l’AntiCafé ?

« Payer le temps. Consommez à volonté ». Nous proposons des espaces libres d’accès où les visiteurs ne paient que le temps passé sur place et peuvent accéder au comptoir gourmand qui propose des petits encas et boissons softs, également d’autres services comme le wifi en très haut débit, la ludithèque, la bibliothèque … Nous renversons le modèle traditionnel des lieux de restauration qui s’appuient sur un paiement à la consommation afin de créer une nouvelle expérience. L’idée est de redonner aux gens de l’autonomie, qu’ils se sentent libres de venir travailler, créer, rencontrer, se détendre seuls ou en groupe !

Quelles sont vos valeurs ?

Ce qui nous guide principalement ce sont les notions de « partage, confiance & autonomie ». Nous souhaitons créer & animer des espaces physiques sur le mode collaboratif, accessible à tous !

A quelle clientèle vous adressez-vous ?

Les quartiers dans lesquels nous sommes implantés ne touchent pas tous la même cible. C’est donc assez éclectique : un homme d’affaire peut tout à fait se retrouver à côté d’un étudiant, d’un entrepreneur ou d’un freelance… un vrai mélange des genres :). Cependant, notre clientèle est composée en grande partie d’internationaux entre 20 et 35 ans.

Quelles sont vos perspectives futures ? Comment souhaitez vous faire évoluer l’AntiCafé ?

Nous travaillons actuellement au développement d’un réseau social propre qui complètera l’expérience client que l’on peut avoir dans l’espace physique existant. A moyen terme : la perspective d’autres ouvertures en France & en Europe. Nous attendons de réunir les conditions et les partenaires de confiance pour ce développement.

Une anecdote sympa à partager ? ;)

Au début, on nous disait que le concept n’était qu’un effet de mode pour jeunes  à barbes « hipsters & connectés » de Paris… Il y a quelques temps, l’AntiCafé a été cité dans un guide d’amateurs de thés car l’auteur appréciait la sélection en libre-accès… Depuis, nous recevons régulièrement la visite de mamies à l’heure du thé :) 

Merci Nicolas, à très bientôt dans l’un des AntiCafé à Paris ou… Rome !

 

http://anticafe.eu/

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Meet My Job

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Hélène Quaniaux – Meet My Job

Nous avons le plaisir de vous présenter Hélène Quaniaux fondatrice de MeetmyJob.fr,

un site internet permettant à des particuliers de passer quelques heures avec des professionnels passionnés pour découvrir leurs métiers et être initiés à leurs activités.

 

 

Comment avez-vous eu l’idée de MeetMyJob ? Racontez-nous votre histoire !

L’idée de Meet my Job m’est venue un peu par hasard, lors d’une promenade dominicale dans ma campagne picarde. Des agriculteurs me saluaient et spontanément, j’ai eu envie d’aller à leur rencontre, échanger sur leur activité. J’ai alors effectué des recherches sur le Web, pour m’apercevoir que personne ne proposait un tel service et qu’aucune offre ne permettait de découvrir un métier en passant quelques heures avec un professionnel. J’ai suggéré à quelques amis de convaincre des agriculteurs & artisans de nous accueillir le weekend, pour des ateliers découverte. Devant l’enthousiasme rencontré, je me suis lancée à 100% dans le développement de cette idée. Meet my Job est né !

Les ateliers découvertes sont participatifs : il s’agit de faire découvrir les coulisses du métier, mais aussi d’être initié aux gestes typiques sous forme de loisirs. Au-delà d’une simple découverte,  c’est avant tout une rencontre humaine avec des professionnels qui transmettent leur passion.

Quelle est l’offre de Meet My Job ?

Les ateliers de découverte métier répondent au besoin de loisirs et de divertissements, ils s’effectuent en petits groupes et durent quelques heures pendant lesquelles un professionnel va initier les participants à son métier. C’est l’occasion de découvrir des activités originales dans un cadre de loisir.

Quelles sont les professions que vous ciblez & pourquoi ce choix ?

Meet my Job sélectionne des ateliers de découverte métiers (essentiellement manuels) avec des professionnels de l’agriculture, de l’artisanat des arts et bientôt des sportifs de haut niveau. Nous travaillons avec de véritables « passionnés » exerçant  dans des structures à taille humaine. Nous aimons faire découvrir des métiers rares qui font partie intégrante du patrimoine français et qui tendent parfois hélas à disparaître. Quelques exemples d’activités : La restauration d’œuvre d’art, une séance de caféologie, l’élevage de brebis, l’art du vitrail, la création de bijoux… L’idée est de mettre en place une plateforme qui facilite les rencontres avec les professionnels sur la thématique du partage.

Qui participent à cette aventure humaine ? Et quels sont les retours ?

Des professionnels intéressés par la démarche qui aiment leur métier et souhaitent le faire découvrir. Concernant nos clients, ils ont entre 30 et 50 ans, plutôt urbains et animés par la curiosité. La moitié des ventes d’ateliers prend la forme de bons cadeau. Les retours sont excellents ! Nous recevons régulièrement des messages touchants.

Quelles sont vos perspectives futures ? Comment va évoluer MMJ ?

Meet my Job va continuer de couvrir le territoire français avec de nouvelles offres, la variété de métiers en France est telle qu’on est encore loin d’en avoir fait le tour. Nous travaillons actuellement sur des applications mobiles et enrichissons le site avec de nouvelles fonctionnalités afin qu’il soit communautaire et simple d’utilisation. Nous commençons à réfléchir à l’internationalisation. En effet, certains clients nous ont communiqué leur souhait de participer à des ateliers lorsqu’ils partent en vacances à l’étranger. En attendant, pour financer la croissance et la réalisation de nos ambitions, nous sommes dans une démarche de levée de fonds, auprès d’investisseurs privés, qui vont nous permettre d’accélérer le développement de l’offre, d’étoffer l’équipe et de communiquer davantage auprès du grand public.

Un grand merci Hélène et belle vie à Meet My Job !

http://www.meetmyjob.fr/fr/

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