Author: Emilie Roman

Bonanza – Recrutez des 18-35 ans

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Avec Bonanza, diffusez vos campagnes de recrutement sur les réseaux sociaux

 

La recherche des talents devient l’un des enjeux majeurs des entreprises.

Enoa s’intéresse aux solutions digitales innovantes qui bousculent les méthodes de chasse classique.

Nous sommes heureuses de vous présenter aujourd’hui Mathieu Marziou, Directeur des relations entreprises chez Bonanza.

Bonjour Mathieu , merci de prendre le temps de répondre à nos questions :)

Peux-tu stp te présenter dans les grandes lignes : ton parcours et ton rôle chez Bonanza.

Hello la team Enoa. Mon parcours est assez bref car j’ai monté Bonanza avec Franck Magnan directement en sortie d’école fin 2016 :).

Au sein de Bonanza, je suis en charge de la stratégie et du développement commercial.

Peux-tu nous en dire plus sur Bonanza ? Comment est venue l’idée ? 

L’entreprise est spécialisée dans le recrutement sur les réseaux sociaux (Facebook, Instagram, TikTok, Twitter…) L’idée nous est venue alors que nous cherchions notre stage de fin d’étude.

Nous nous sommes rendu compte des difficultés de recrutement qu’il pouvait y avoir, côté entreprise, comme candidat et que les réseaux sociaux n’étaient pas ou peu utilisés, alors que cela représente un terrain de chasse important pour les entreprises étant donné le temps que nous passons tous dessus…

Que propose Bonanza concrètement ?

Concrètement, nous proposons à nos clients d’élargir leur vivier de recrutement en allant chercher des candidats actifs et passifs sur les réseaux sociaux. Des candidats qu’ils n’auraient pas trouvé sur Linkedin ou les Jobboards.

Pour cela, nous diffusons leurs offres d’emplois sur les réseaux sociaux sous forme de publicité. Nos algorithmes automatisent ensuite le placement publicitaire en fonction de la performance de la campagne.

A qui s’adresse ton projet ? Qui sont tes clients ? 

Cela s’adresse aux entreprises qui connaissent des problématiques de recrutement  et/ou qui souhaitent développer leur image sur les réseaux sociaux. Nous collaborons avec plus de 150 entreprises, (généralement ETI,  Grand compte et quelque PME)  sur tous secteurs d’activité.

Parmi nos clients nous comptons : Caterpillar, Umanis, L’Oréal, Suez, TIP Trailer Service, RATPDev, La Caisse d’Épargne

Quelles sont les valeurs de ton projet, ta promesse ? Ce qui te tient à cœur !

C’est de pouvoir faire découvrir à un grand nombre de personnes les métiers de nos clients.

À notre humble niveau, nous permettons aux futurs candidats de découvrir des métiers et de postuler à des entreprises auxquelles ils n’auraient pas pensé jusqu’à présent !

Quelles perspectives d’évolution ? 

De nombreuses perspectives d’évolution sont prévues sur 2022/2023. Premièrement, nous recrutons plusieurs profils techs pour consolider la technologie Bonanza et développer de nouvelles offres. Nous prévoyons d’attaquer le marché européen fin 2023, les problématiques de recrutement y sont autant présentes que sur le marché français. Et, également de développer notre offre afin de la rendre plus accessible au TPE.

Le mot de la fin ? Un message à faire passer aux candidats et aux entreprises ? 

Une petite citation : L’emploi qu’un homme finit par obtenir est rarement celui pour lequel il se croyait préparé et dans lequel il pensait pouvoir être utile. [Marguerite Yourcenar]

Merci pour ton temps Mathieu !

Vous souhaitez en savoir plus : https://www.bonanza.co/

 

Retrouvez tous nos focus découverte, par ici 

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Zoom sur Vendredi

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« Vendredi »
La start-up sociale qui permet à chacune et chacun de changer le monde sans changer de travail !

 

Nombreux.ses sont celles et ceux qui souhaitent apporter leur pierre à l’édifice en participant à des actions citoyennes, le souci c’est que l’on ne sait pas toujours par où commencer. On se rend bien compte de l’importance de la notion de “sens” surtout post covid : le sens que l’on donne à son travail et celui que l’on donne à nos actions !
Nous sommes heureuses de vous présenter Andreea Badea, Partnerships & Social Innovation chez Vendredi : la plateforme d’engagement citoyen des entreprises.
Nous avons souhaité en savoir davantage sur l’impact positif sociétal, auquel nous sommes particulièrement sensibles et que nous souhaitons mettre en lumière aujourd’hui avec  VENDREDI.
Alors, comment contribuer à l’impact positif sociétal ?

Bonjour Andréea, merci de prendre le temps de répondre à nos questions :)

Quelques mots pour te présenter dans les grandes lignes ! 
Je travaille chez Vendredi depuis un an et demi, principalement sur des sujets de partenariats et d’innovation sociale. Avec d’autres acteurs de l’engagement, on met de l’énergie pour se structurer en tant que secteur : mesurer notre impact de façon collective, identifier les axes réglementaires que nous aimerions voir évoluer. Notre ambition est de faire en sorte que demain, tous les citoyens puissent s’engager dans la résolution des défis sociaux et environnementaux. Je participe à l’animation de cette démarche.

Comment est venue l’envie de créer Vendredi  ? Selon quels constats et surtout quelles convictions ?
Avant Vendredi, il y a eu l’association Stagiaires Sans Frontières, créée en 2015 par Félix, pour “réenchanter le monde du travail”. L’idée était de permettre à des stagiaires de dédier une partie de leur temps de travail, souvent un jour par semaine, à des projets d’intérêt général. La proposition de valeur a rapidement évolué quand on s’est rendu compte que le sujet du sens au travail devenait primordial pour tous les salariés. Cela a donné envie de concevoir une offre qui puisse concerner tout le monde.

Peux-tu nous expliquer le concept de Vendredi ?

Vendredi c’est le partenaire de la transition sociale et environnementale des entreprises. Sur notre plateforme SaaS, nous centralisons une grande diversité d’actions solidaires: missions de compétences, bénévolat, team building solidaire, parrainage, appel à projets et campagne de vote, dons financiers, sensibilisation et challenges entre équipes… Avec la volonté d’aider chaque salarié à passer à l’action.

Pourquoi le nom “Vendredi” ?

Parce que les étudiants en stage partagé choisissent d’aller en association essentiellement le vendredi.
Et aussi  parce que dans le plus célèbre roman de Michel Tournier, c’est Vendredi, le sauvage, qui donne finalement à Robinson Crusoé un sens à son existence sur une île déserte.

Qu’est ce que vous proposez concrètement comme services aux entreprises ? A qui s’adresse t-ils ? Comment cela se concrétise ?

Nous mettons à leur disposition notre plateforme, du contenu et des experts de l’engagement, pour leur permettre de mobiliser tous leurs salariés autour de la transition sociale et environnementale.
Cela s’adresse à toute entreprise qui souhaite mettre les salariés au cœur de sa stratégie RSE, indépendamment de sa taille.

Qui sont vos clients ? 

Nous travaillons avec plus de 200 entreprises de toute taille, des PME aux grands groupes, de Luni à Suez, en passant par Payfit et Electro Dépôt.

Aujourd’hui,  40 000 personnes utilisent la plateforme et 1 600 associations en bénéficient, et ce dans toute la France mais aussi dans 15 pays.

Quel est votre business modèle ?

On fonctionne sur un modèle SaaS : nos entreprises partenaires paient un accès annuel à la plateforme Vendredi. La plateforme est gratuite d’accès pour les citoyens et les associations.

Peux-tu nous expliquer comment Vendredi répond à l’impact positif sociétal ?

Vendredi a un impact sociétal positif à trois niveaux :

>Nous aidons les entreprises d’être actrices dans la résolution des défis sociaux et environnementaux.

>Les actions de sensibilisation et d’engagement des salariés les permettent de s’impliquer pour l’intérêt général (ce qui, souvent,
induit des comportements individuels plus vertueux: par exemple un plus grand respect de l’environnement).

>Nous permettons aux associations de bénéficier d’un soutien issu du monde de l’entreprise – et des compétences qui vont avec.

Il y a t-il une volonté d’exemplarité du côté des entreprises pour attirer, fidéliser et engager ses salarié.e.s ?
Est-ce que vous considérez que VENDREDI est un levier de rétention des talents ?

Aujourd’hui, les salariés attendent de leurs entreprises qu’elles mettent tout en œuvre pour avoir un impact social et environnemental positif.  Les dirigeants ont bien compris cette nouvelle attente exprimée également par les consommateurs. C’est pour ça qu’aujourd’hui toutes les entreprises cherchent à sensibiliser et mobiliser leurs salariés autour de leur stratégie d’impact. Ce qui était marginal il y a quelques années est devenu la norme et cela a forcément un impact fort sur l’attractivité de la marque employeur et la rétention des salariés.

Quelles sont vos perspectives futures ?

Continuer à aider les entreprises à jouer leur rôle dans cette transition. Notamment en engageant 100 000 salariés dans les prochains mois. Et puis inventer et incarner ensemble un autre modèle d’entreprise, focalisée sur l’impact, et le partage de la valeur créée.

Combien de personnes aujourd’hui chez Vendredi ? et demain ?

Nous sommes aujourd’hui 40 salariés, et nous serons près de 80  fin 2022.

Quelle est la particularité des équipes de vendredi ?

On est enthousiastes, conscients des enjeux sociaux et environnementaux actuels et convaincus que chacun peut faire sa part. On est très sensibles à notre impact écologique. On est adeptes d’une sobriété très heureuse. Et on adore jouer à Catan.

Le mot de la fin ! Un message à faire passer aux salarié.e.s et aux entreprises ? 

Qu’on n’a pas à changer de travail pour pouvoir changer le monde  ;)

Merci pour ton temps Andreea !

Vous souhaitez en savoir plus ? 
Rendez-vous sur le site internet

 

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Benoît

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VP PRODUCT @DEEZER

 

Hello Benoît, en quoi consiste ton job de VP Product chez @DEEZER ?

En temps que VP Produit mon travail est de leader une équipe de brillants Product Managers afin qu’ils/elles aient les bons process, les bons outils, les bonnes soft & hard skills, pour mener à bien leurs missions et bien faire leur métier.
Il faut comprendre nos utilisateurs, leurs envies, leurs problèmes et implémenter, avec les équipes Tech, les meilleures fonctionnalités pour faire de leur produit un succès.
Cela peut sembler facile, mais en réalité dans le digital c’est extraordinairement compliqué.

Quelles sont précisément tes missions ?

Mon travail est très varié !
Je passe la plupart de on temps avec mes équipes, et nos équipes « sœurs » Design & Tech, pour résoudre de nombreux problèmes quotidien (priorisation, gestion de crise, etc). Je suis en dialogue permanent avec le reste de l’entreprise pour prendre leur besoin, leur retour et faire de la communication sur notre travail. Egalement de la vielle, directe avec nos concurrents, adjacente avec les géants du streaming video par exemple, pour comprendre où vont toutes ces startups. Enfin, le Produit étant un métier relativement jeune, je passe beaucoup de temps à imaginer et concevoir de nouveaux process/nouvelles méthodologies.

Comment sont constituées tes équipes ? Combien de personnes manages-tu et quels sont leurs profils ?

Mon équipe est continuée de « Head Of » (les managers) et de Product Managers. Nous sommes 22 aujourd’hui avec exactement autant de femmes que d’hommes et 6 nationalités différentes dans l’équipe. Il était important pour moi de constituer un groupe qui ressemble à nos utilisateurs, c’est à dire mixte, multiculturel, venant du monde entier.
Les gens qui composent mon équipe viennent essentiellement d’école de commerce mais certains viennent d’école d’ingénieur comme moi.

Avec quels services travailles-tu au quotidien ?

Tous ! Quand on travaille dans le produit on parle à tout le monde, de la tech au marketing, de la finance au business.
Pour concevoir un bon produit nous devons être en contact régulier avec tout le monde dans l’entreprise. Il y a des équipes avec qui nous avons des contacts permanents: La User Research, le Design, la Tech. Et d’autres avec qui nous avons des contacts hebdomadaires. Je dirais les autres services.

Quelle formation conseilles-tu pour exercer ton métier ?

Par définition il n’y a pas d’école de Product Management, comme nous pouvons retrouver des écoles de commerces ou des écoles d’ingénieurs.
Ces 2 options sont valables pour devenir un bon Product Manager, mais finalement l’école compte peu.
C’est l’expérience, le mindset et la volonté qui font la différence et prime, surtout si on veut devenir un Product Leader.

Quelles compétences sont nécessaires ? (Hard/Soft Skills)

Le plus important pour être un bon Product Manager, c’est l’empathie.
Il faut savoir se mettre dans la peau de son utilisateur pour le comprendre et lui proposer des solutions adaptées à ses besoins et ses envies.
Presque aussi important : La communication est la clé du succès ! Faciliter le dialogue entre les gens pour bénéficier de l’intelligence collective autour de soit et prendre les bonnes décisions. Savoir désamorcer les conflits est obligatoire, enfin, communiquer ses résultats, sa roadmap et sa vision sont un effort de tous les jours.

Qu’est-ce qui fait la différence dans ton métier ? Quel est ton petit plus ?

Indéniablement la passion !  J’ai travaillé dans diverses domaines et j’ai toujours transmis ma passion aux produits que je construisais. Les meilleurs Products Managers et Leaders sont des gens passionnés. Ils ont un rapport quasi-personnel avec leur produit. Ils ne transigent pas avec les performances et la qualité de celui-ci. Ils ont toujours une vision claire et ambitieuse de leur produit.

Quels conseils avisés donnerais-tu à quelqu’un qui veut exercer ce job ?

Juste lance-toi. Le Product Management est l’une des disciplines du digital les plus facile à expérimenter, et à laquelle se former.
Trouve une idée, parle aux gens, pivote, cherche la bonne solution et grâce à tous les outils No-Code du web, commence un mini prototype.
C’est le meilleur moyen d’expérimenter et de comprendre le quotidien d’un Product Manager mais également de commencer à se créer un portfolio de produit.

Qu’est-ce qu’on ne dit pas sur ton job et que tu t’apprêtes à nous confier ? ;)

A quel point c’est un métier bouillonnant, difficile, mais surtout passionnant. Entre les rituels agiles, les nouveaux produits ou fonctionnalités à concevoir, le futur à planifier, etc… On ne s’ennuie jamais.

Merci pour ton témoignage & tes précieux conseils Benoît !

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François

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Sales Manager France and South Europe @FOXIT

 

Hello François, en quoi consiste ton job de Sales Manager France & South Europe chez @Foxit ?

Je travaille chez Foxit Software, Editeur de logiciels autour du PDF. Nous sommes N2 Mondial derrière Adobe, l’acteur historique. Dans ce contexte, mon job consiste à leur ravir la première place ;)
En d’autres termes :
>80% du temps : je développe du new business sur le territoire France et Europe du Sud, avec pour cibles les top entreprises (CAC 40, etc…
>20% du temps : je gère des clients existants pour détecter de nouvelles opportunités commerciales

Quelles sont précisément tes missions ?

1. Une mission de vente directe 
La mission de mon équipe est de gérer l’ensemble du cycle de vente. Concrètement, nous appliquons une méthode en entonnoir qui se décompose comme suit :
>Cibler des entreprises ayant une appétence ou un besoin concernant l’édition de PDFs
>Identifier les bonnes personnes au sein des entreprises
>Entrer en contact avec elles. Pour cela, nous travaillons avec des outils tel que Linkedin Sales Navigator, mais aussi de l’emailing BtoB, comme Salesloft, ou même Hunter.io pour reconstituer des adresses emails ! Il faut être tenace et créatif sur cette étape, qui est souvent le parent pauvre du New Biz !
>Comprendre leurs enjeux, les forces en présence, et adopter le bon discours commercial en fonction
>« Closer » le plus de deals possibles

2. Une mission de vente indirecte 
Approcher des partenaires qui ont une présence commerciale chez mes prospects, établir des accords avec eux pour qu’ils nous revendent chez leurs clients.

Comment sont constituées tes équipes ? Combien de personnes manages-tu et quels sont leurs profils ?

Les équipes sont constituées par métier (ventes, marketing, IT..) et par pays.
Je manage deux personnes : une qui prend des RDVs pour moi, par email ou téléphone et une autre qui gère des contrats de petite taille.

Avec quels services travailles-tu au quotidien ?

Je travaille ponctuellement avec le marketing, qui appuie nos actions commerciales et prend des initiatives pour développer notre présence sur nos marchés et notre notoriété. Plus fréquemment, presque quotidiennement, je m’appuie sur une équipe d’ingénieurs pour répondre aux questions les plus techniques, mais aussi pour accompagner nos clients sur des tests de nos solutions.
Enfin, notre service financier crée du liant entre les différents services pour valider et appliquer les contrats, puis livrer au client ce qu’il doit recevoir.

Quelle formation conseilles-tu pour exercer ton métier ?

Une école de commerce est la formation de base pour cela. Mais rien de vaut la formation du terrain avec de bons managers pour bien démarrer !

Quelles compétences sont nécessaires ? (Hard/Soft Skills)

Les compétences requises sont d’ordre technique, et métier. Côté technique, il faut maîtriser l’environnement logiciel (grands enjeux du marché, environnements technique, etc…). Sur l’aspect métier, il faut avoir une base des techniques de vente : écoute active, traitement des objections, négociation….

Qu’est-ce qui fait la différence dans ton métier ? Quel est ton petit plus ?

Il faut avoir de la structure et de l’énergie. Ce que je dis toujours, c’est que mes deux piliers sont la méthode et l’attitude. La méthode permet d’avoir des standards de qualité et de ne pas s’appuyer sur le hasard : on sait où l’on en est par rapport à des critères préétablis. L’attitude concerne l’énergie et la passion, qui sont selon moi nécessaires pour écouter, comprendre et convaincre !

Quels conseils avisés donnerais-tu à quelqu’un qui veut exercer ce job ?

De vraiment s’intéresser à ce qu’il/elle vend , à son marché, aux gens à qui il/elle vend : c’est le premier pas pour être convaincant(e) !

Qu’est-ce qu’on ne dit pas sur ton job et que tu t’apprêtes à nous confier ? ;)

Que ça reste un milieu difficile : il y a beaucoup de mensonges, de non-dits, de déceptions, de pression, de portes fermées aux visages. Mais quand on gagne, ça rend la victoire encore plus belle !

Merci pour ton témoignage & tes précieux conseils François :)

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Alice

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Head of Brand France @MADE.COM

 

Hello Alice, en quoi consiste ton job de Head Of Brand chez @MADE.COM ?

Je suis Directrice de la marque MADE.COM, pour le marché français. En d’autres termes, je participe à implanter la marque MADE au sein du paysage français des autres marques de déco & lifestyle. Pour ce faire, nous nous employons à créer des histoires et des expériences de marque qui soient juste par rapport à ce que MADE est, juste par rapport au marché et aux tendances.

Quelles sont précisément tes missions ?

Travailler le positionnement de MADE, sa mission, ses valeurs et la promesse qu’elle peut apporter à notre communauté de clients.
Travailler la brand awareness & la brand consideration en m’appuyant sur les leviers suivants : RP & partenariats, marketing d’influence, expérience dans nos showrooms et présence en medias (offline & online).
Enfin, je travaille également sur des sujets connexes qui viennent nourrir la marque et sa mission, tels que notre politique RSE et notre politique RH.

Comment sont constituées tes équipes ? Combien de personnes manages-tu et quels sont leurs profils ?

Pour chacune des missions évoquées ci-dessus, j’ai la chance d’avoir des équipes qui m’accompagnent au quotidien pour sortir les projets.
Je manage une équipe de 11 personnes qui se compose comme suit :
>RP & Partenariats avec une personne qui vient notamment du monde des agences RP Design. C’est grâce à elle que je grandis chaque jour et apprends de nouvelles choses dans l’univers du design. Et nous avons aussi une formidable stagiaire qui nous aide au quotidien sur ces missions la.
>Influence : 3 personnes travaillent sur notre communauté Instagram et Youtube prioritairement. Nous développons aussi Pinterest qui est un formidable terrain de jeu d’expression pour nous.
>Showrooms : avec deux showrooms, l’un à Paris et l’un à Lyon, et en tout 14 personnes qui les animent au quotidien, les deux showrooms managers travaillent avec moi sur les sujets de visual merchandising, expérience de marque dans le showroom, relation client.
>Investissements medias: il y a dans l’équipe une Campaign Manager qui vient d’agence média, la aussi une forte expertise pour nous aider à construire notre plan media et à choisir les canaux les plus pertinents pour nous.
>Un pôle créatif en interne dédié au marché français : avec 2 concepteurs rédacteurs et 1 directeur artistique. C’est grâce à eux que nous réussissons à mettre en mots et en images tout le travail fait en coulisse autour de la marque.

Avec quels services travailles-tu au quotidien ?

Avec les services Trading (ceux qui tiennent la boutique en ligne), le service Performance (ceux qui gèrent l’acquisition) et bien sur avec le département créa que nous avons en interne puisque chez MADE nous avons la particularité d’avoir tout internalisé.
En réalité il y a encore plus de monde avec lequel je travaille au quotidien car lorsque cela touche à la marque, in fine, nous sommes en transverse sur beaucoup de sujets.

Quelle formation conseilles-tu pour exercer ton métier ?

Me concernant je suis diplômée du CELSA après avoir fait deux années de classe préparatoire littéraire. Toutefois j’aurai tendance à dire que pour faire ce métier, il n’y a pas forcément de trajet spécifique à emprunter. Avoir un parcours littéraire est bien sur utile au quotidien mais ce que j’aime justement dans mon métier c’est qu’il s’enrichit des différents parcours des uns et des autres. Après avoir fait le CELSA je suis allée en publicité pendant 9 ans. Les personnes avec lesquelles je travaille au quotidien et mes homologues ont quant à eux fait un passage par la mode, par le cinéma ou par la musique. Rien à voir avec mon parcours mais un point en commun : la curiosité et l’intérêt très vif pour les histoires de marque.

Quelles compétences sont nécessaires ? (Hard & Soft Skills)

Je dirai en premier lieu la curiosité ! S’intéresser à tout, au sein de la catégorie pour laquelle on travaille mais aussi et surtout en dehors de cette catégorie est très important. C’est en se nourrissant des retours d’expériences d’autres marques que l’on fait grandir la sienne.
Il faut avoir aussi un esprit synthétique pour arriver à digérer tout ce que l’on voit autour de nous et le transformer en une histoire pour notre marque. Rigueur, méthodologie et précision sont aussi très importants pour ne pas s’éparpiller.
Et enfin chez MADE, il faut parler anglais !

Qu’est-ce qui fait la différence dans ton métier ? Quel est ton petit plus ?

La créativité mêlée à la dimension littéraire. J’ai la chance de travailler à la fois les mots et les images.

Quels conseils avisés donnerais-tu à quelqu’un qui veut exercer ce job ?

Apprends à t’écouter et à suivre ton instinct. Et sache bien t’entourer, tout seul tu n’y arriveras pas.

Qu’est-ce qu’on ne dit pas sur ton job et que tu t’apprêtes à nous confier ? ;)

Depuis un an que je suis chez MADE.COM, j’ai redécoré mille fois chacune des pièces de ma maison … Depuis mon fils et mon mari me prennent pour une dingue de l’aménagement d’espace ;) !

Merci pour ton témoignage & tes précieux conseils Alice !

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Natacha

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Head Of Digital @SmurfitKapa

 

Hello Natacha, en quoi consiste ton job de Head Of Digital chez @SmurfitKapa ?

Mon job c’est de répondre à la question : comment fait-on pour transformer notre entreprise, par où commence t-on.
Parce que je suis partisante du fait que la transformation numérique n’est pas juste l’intégration pures des technologies dans l’entreprise, je mets en place un accompagnement théorique et pratique qui permet de prendre les bonnes « décisions digitales » en accord avec la stratégie métier de l’entreprise.

Quelles sont précisément tes missions ?

Actuellement, j’interviens majoritairement sur deux axes de transformation : business & humain.
J’applique une roadmap digitale sur ces grands axes et mon objectif principal c’est d’écouter, de comprendre et d’analyser le besoin pour proposer des solutions techniques en marketing digital par exemple, en méthode de travail comme l’agilité puis de m’assurer que ces pratiques sont et seront bénéfiques.

Avec quels services travailles-tu au quotidien ?

L’avantage de mon métier, c’est que je peux travailler avec tous les services de l’entreprise, ce qui le rend très riche d’enseignements !

Quelle formation conseilles-tu pour exercer ton job ?

Une formation supérieure mêlant technique, commerce et communication, ainsi que beaucoup de pratique à travers les stages par exemple ou du volontariat.

Quelles compétences sont nécessaires ? (Hard & Soft Skills)

Je dirai que pour exercer le métier de head of digital, il faut des qualifications qui sont celles que l’on prête à la transformation digitale :
– Un background technique (dev/web/infra)
– Un bon sens de la comm et du marketing dans son aspect commercial
– Une capacité à fédérer et gérer des projets de bout en bout comme un vrai coach
Côté perso, il est impératif pour moi d’avoir une vraie culture numérique, de maîtriser le lexique de la transformation. Une curiosité pour la tech et sa littérature, ainsi que le digital général sont aussi des bons points.

Qu’est-ce qui fait selon toi la différence dans ton métier ? Quel est ton petit plus ;) ?

La créativité ! C’est une très bonne base d’innovation et c’est aussi une compétence qui permet de résoudre un tas de problème et d’emporter l’adhésion des équipes.

Quels conseils avisés donnerais-tu à quelqu’un qui veut exercer ce job ?

Que l’invention de l’ampoule électrique n’est pas née de l’innovation continue de la bougie !
Ce n’est pas de moi, mais c’est mon mantra et c’est un très bon remède face aux doutes dans ce métier.

Qu’est-ce qu’on ne dit pas sur ton job et que tu t’apprêtes à nous confier ? ;)

Que c’est un job déterminant dans les deux sens du terme.
Il est déterminant pour l’entreprise qui prend son virage et déterminant personnellement et professionnellement pour la personne qui le fait.
Bon courage ;)

Merci pour ton témoignage & tes précieux conseils Natacha !

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Le QQOQCCP de la marque employeur

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Le 18/07/2017 – Tribune d’Emilie Roman, co-fondatrice & directrice associée d’Enoa RH Consulting

Aujourd’hui, les recruteurs accordent de plus en plus d’importance aux qualités humaines. Pour être Avec l’arrivée sur le marché du travail des Millenials – ou Génération Z –, la tendance s’intensifie encore : le salaire et/ou le titre ne suffisent plus à convaincre les talents de rejoindre une entreprise et, surtout, d’y rester. Aujourd’hui, ces jeunes collaborateurs, qui constitueront une bonne partie des effectifs de demain, font passer les convictions avant les profits, que cela soit dans leur vie personnelle ou vis-à-vis de leur employeur.

Quoi : montrer l’entreprise sous son plus beau jour
L’entreprise doit redoubler d’effort pour capter le lien, attirer, fédérer, fidéliser les jeunes générations zapping – deux tiers des salariés issus. Lire la suite de l’article 

« Stratégies »

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Simplon.co

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Simplon.Co
Fabriques sociales de codeurs – Ecoles numériques – Réseau de formation aux métiers du numérique

 

Le concept

Simplon.co propose des formations pour apprendre à créer des sites Web et en faire son métier.Elles ont 3 particularités, elles sont :
*Intensives : en 6 mois et se font par la pratique,
*Gratuites : les bénéficiaires n’ont pas de frais à payer,
*Prioritairement ouverte aux personnes insuffisamment représentées dans l’informatique : jeunes de moins de 25 ans (peu ou pas diplômées) issues des quartiers prioritaires politique de la ville et des milieux ruraux, aux seniors (+de 45 ans), ainsi qu’aux femmes (objectif de parité hommes/femmes) et personnes en situation de handicap.

Notre objectif : faire de l’apprentissage du numérique un levier de cohésion sociale.

Crée en 2013, Simplon est aujourd’hui présent à Montreuil (93) et dans 15 villes en France (Marseille, Lyon, Roubaix, Narbonne, La Réunion, etc.) ainsi qu’à l’étranger (Roumanie & Afrique de l’Ouest). Simplon est en cours d’essaimage et diversifie ses référentiels au-delà du développement d’applications web et webmobiles (technicien d’assistance utilisateur, data-artisan, référent digital, etc.).

Rencontre avec Erwan Kezzar sympathique cofondateur de Simplon.

Comment est venue l’idée de créer « Simplon.co ». Racontez nous votre l’histoire !

En 2008 avec l’un des cofondateurs de Simplon, nous avions créé une petite agence Web (création de sites & applications mobiles pour des petites/moyennes entreprises). Novices et autodidactes, nous avons réussi à nous former de A à Z sur le développement Web & la gestion de projet… Fort de ce constat et au vu des nombreuses opportunités présentes dans le numérique, nous nous sommes lancés dans la formation & la programmation informatique. Nous savions qu’il y avait des personnes motivées et aptes à apprendre ces compétences numériques, mais qui hélas n’avaient pas accès à la formation professionnelle. C’est cette conjonction qui a occasionné le concept de Simplon.co.

Quels types de formations proposez-vous ?

  • Nous proposons principalement des formations professionnalisantes de 6 mois sur des compétences numériques : développement d’applications web et webmobile principalement. Elles sont gratuites pour les bénéficiaires, et débouchent sur un emploi, des stages ou des contrats de professionnalisation.
  • Egalement des formations de 1 à 3 jours à des salariés, des cadres dirigeants, des particuliers ou des porteurs de projets. Différentes thématiques et compétences sont alors proposées : la culture numérique, l’optimisation de la productivité, les méthodes agiles, les méthodes d’amorçage de projets de type startup, l’initiation à la programmation d’objets connectés etc. Ces formations sont payantes, et font généralement appel à des interventions de simplonien-ne-s.

A qui vous adressez-vous ?

A toute personne ayant envie d’apprendre les métiers du numérique !
Jusqu’ici, les apprenant-e-s de Simplon sont à 80% demandeur-se-s d’emploi, 57% ont un niveau bac ou infra-bac, environ 50% sont originaires de territoires prioritaires, et 31% sont des profils féminins. 

Comment choisissez-vous vos Simploniens(nnes) ? Quelles sont les étapes pour intégrer Simplon ?

Les candidats doivent passer des épreuves d’auto-apprentissage sur des plates-formes en ligne gratuites et accessibles à tout débutant, comme Codecademy.com. L’occasion de voir si ils sont motivés, si le contenu de la formation les intéresse et si ils ont les capacités d’apprendre en autonomie et de manière proactive.
– Une candidature écrite est soumise via un questionnaire en ligne où une partie des candidats est sélectionnée pour des entretiens individuels & des épreuves de travail en groupe (permettant d’évaluer leurs capacités de collaboration en équipe).
– Enfin, les dernier-e-s candida-t-e-s pré-sélectionné-e-s intègrent « la prairie » une période d’immersion en pré-rentrée qui permet de voir si ils/elles sont prêts à intégrer Simplon.

Pourquoi  « Simplon » ?

Lorsque l’idée nous est venue avec mon co-fondateur Andrei j’habitais rue du Simplon, un quartier populaire du Nord de Paris. Nous avions donné le nom Silicon Simplon à notre projet, en contrepied à la Silicon Valley et à son idéologie. Lorsqu’on a déposé les statuts, nous avons opté pour Simplon, avec l’extension .co qui, en vogue chez les startups, évoque la collaboration, la co-création, le collectif, etc.

Qui constitue le board  de Simplon.co ?

Nous sommes actuellement cinq membres du Comité de Direction : mon associé et co-fondateur Frederic Bardeau, qui est Président, moi-même, qui suis co-fondateur et Directeur de la pédagogie, de la Formation et de l’Insertion, ainsi qu’une DAF/Secrétaire Générale, un Directeur du Réseau des Ecoles, et un Directeur du Développement. Nous employons 46 ETP, qui sont principalement : des formateurs-trices, des chef-fes de projet, des développeur-se-s des chargé-e-s d’insertion, ainsi que des fonctions centrales (administratif et comptabilité).
Les prochains profils qui rejoindront l’équipe seront voués à renforcer la structuration des activités, notamment celles ayant trait aux financements de la Formation Professionnelle.

Quelles sont vos perspectives d’évolution ?

Nous avons deux principaux axes d’évolution :
*Scale up : 15 Simplon sont aujourd’hui en activité, et l’objectif est de continuer à déployer des Simplon sur les territoires en France, Europe, Afrique francophone, et au Moyen-Orient.
*Scale down : élargir le catalogue de formations gratuites et professionnalisantes que nous proposons, afin de couvrir d’autres métiers qui font appels à des compétences numériques.
Ces formations seront certifiantes dès qu’elles donneront des preuves de réussite !

Une anecdote Simplonnienne sympa à partager ;) ?

Lors d’une audition générale dans le cadre du programme gouvernemental « Grande Ecole du Numérique », l’un de nos anciens apprenants d’un quartier sensible de Villeneuve-la-Garenne a raconté comment il avait appris le développement web et pris goût à tout ça chez Simplon.co. Lui qui n’avait pas de diplôme et ne voyait pas vraiment de perspectives d’avenir, a raconté comment il alternait désormais entre un CDI et des prestations en indépendant très bien facturées.
Son allocution est devenue le texte qui ouvre le rapport « Grande Ecole du Numérique », en première page :)

Vous souhaitez en savoir plus sur SIMPLON

Visite & inscription par ici
Egalement TEDxParis / SIMPLON : le code informatique pour révéler les talents – intervention de Erwan Kezzar  ici 

Merci Erwan pour le café & la visite ! A très vite pour coder ;)

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Robert

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Robert

« Chief Digital Officer & Gentleman »

 

Ce que vous devez savoir sur lui

Fin stratège, marketer & business developer du digital, Robert allie expertise, savoir-faire et esprit analytique à sa grande créativité ! Cette phrase par Rob Siltanen lui va comme un gant : « Here’s to the crazy ones … The ones who see things differently … while some may see them as the crazy ones, we see genius. Because the people who are crazy enough to think they can change the world, are the ones who do ».

Son histoire professionnelle

En 2000, Robert démarre sa carrière dans le domaine du conseil stratégique en matière de performance, marketing & développement digital. Aussi à l’aise en agence que chez l’annonceur ou un pure player, il est à l’origine du lancement et de la croissance de divers sites internet majeurs du e-commerce, du tourisme et de l’éditorial/culturel, tant en France qu’à l’international.

En 2005, la société Aposition (Groupe Isobar) lui propose un poste de Consultant et Business Developer dans le domaine du Search Marketing où il excelle pendant plus de deux ans, en accompagnant un grand nombre d’acteurs d’Internet dans leur stratégie de croissance. Il évolue ensuite chez le Groupe Fullsix comme Directeur Général de leur filiale de services d’acquisition digitale SEMS, où il gère jusqu’à 30 collaborateurs.

Robert accepte ensuite, l’offre d’un ancien client et devient le Directeur International Marketing Digital & Search de la société Twenga. Il apporte à celle-ci une importante croissance en terme de popularité, visibilité et trafic : grâce à son travail elle devient top 8 parmi les comparateurs de prix en Europe en juillet 2008 et top 3 parmi les comparateurs de prix en France en Novembre 2008 !

En 2009, il fonde une agence d’amélioration de la performance digitale qui pilote, active et optimise tous les leviers capables d’améliorer la conversion d’un site internet en adéquation avec ses objectifs. Parmi ses clients : les sites de Kelkoo, Expedia, Moby, Harrods of London, Best-of-Media Group, LCL, Nokia, LaRepubblica, RetailMeNot, LeGuide, SFR… et bien d’autres !

En mars 2014, suite à un projet de fusion de sa société avec une autre structure et, de nouveau, l’envie de rejoindre l’annonceur, il décide, en parallèle de son activité entrepreneuriale, de rejoindre la marketplace Videdressing, avec le titre de Head of Search. Il conservera ces 2 fonctions jusqu’en mai 2015 et apportera à cette dernière, dans un contexte difficile, une forte croissance.

L’entreprise de ses rêves…

Robert détient toujours ses parts dans la société qu’il a fondée. Néanmoins, son envie d’accompagner de l’intérieur une société dans son développement digital reste intacte ! Il  vise un poste de SVP/VP, Chief Digital Officer, Chief Marketing Officer (Bussiness Dev + Comm), Directeur Stratégie Digitale, Directeur Acquisition & Performance Digitale. Annonceur, Startup ou Pure Player,  Robert est ouvert et mobile à l’international ! Toute entreprise où le côté humain et le bonheur de ses collaborateurs sont des caractéristiques essentielles. Une entreprise (e-commerce / Marketplaces / Comparateurs) dans les secteurs de la mode, le luxe, la culture, l’art, le divertissement, le tourisme, qui ose innover, emprunter des chemins nouveaux et exceller, en s’amusant avec passion, dans la réalisation de tous ses projets. Un lieu où un out-of-the-box-thinker de talent se sente chez soi !

Ce qui nous a séduites

Son irrésistible accent, sa spontanéité et son fort capital sympathie ! Orienté humain c’est un candidat entier, rigoureux et perfectionniste qui n’hésite pas à dire ce qu’il pense. Il possède un parcours riche, complet et fourmille d’idées pour accompagner une structure qui souhaite se digitaliser. Incollable sur le digital & parfaitement trilingue (italien, anglais, français) il est indispensable à toute entreprise qui souhaite se développer !

Vous souhaitez le rencontrer ?

Rien de plus simple, contactez-nous, on s’occupe de vous organiser une rencontre ;)

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